Suchergebnisse

'The life history approach is peculiarly ignored in teaching contexts' wrote Ken Plummer in 1983 (p.74). Things may have changed on ordinary social science degrees, but offender/prisoner autobiographies — akin to the life story approach — are a still underused resource in the training of probation officers. The criminological importance of such autobiographies was recently affirmed by the late Steve Morgan (1999), adroitly re–therorised by Goodey (2000) and used constructively by Wilson and Reuss (2000) in a study of prison(er) education. This article describes, from experience, how they can be used at the beginning of a probation training programme, to develop a preliminary understanding of desistance, and to open up debate on what works with offenders and what doesn't, in and out of prison. An historical background to British prisoner autobiographies is provided to ground this approach to teaching in a distinctive criminological discourse, to provide a resource for those who wish to take debate on prisoner autobiographies further, and to indicate the kind of impact that the best of this writing has had on the penal reform process. The article should be read both as a contribution to an overdue, and at present meagre, debate on how an academically sound and vocationally relevant curriculum for trainee probation officers can be constructed, and as an at least partial substantiation of the deeper argument that probation training can draw productively on traditions of penal reform which it has hitherto neglected.

Il est des livres qui forcent l'intérêt avant même qu'on les ait lus, qui aiguisent l'appétit de connaissance par leurs seuls titre et texte de quatrième de couverture, qui dénotent un projet intellectuel qu'on pense ne pas pouvoir ignorer.

Il est désormais entendu que le genre biographique n'est plus à jeter aux orties. Ceux-là mêmes qui placent le social au coeur des observations de l'activité humaine trouvent quelque pertinence au détour biographique. A condition bien sûr de poser l'individu non comme le représentant mais comme le point d'appui des forces qui le travaillent et le façonnent. La jeunesse de Maurras, sujet auquel on aurait trop vite fait de reprocher sa minceur, est ainsi une fenêtre ouverte sur toute l'histoire politique et culturelle de la fin du 19e siècle. Davantage même : par la plus savante des rétrospections, les cent premières pages de l'ouvrage laissé par Victor Nguyen ne sont ni plus ni moins qu'une puissante interprétation du siècle dernier. Elles contribuent à en dissiper quelque peu l'opacité.