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AbstractMoney is trumping creativity in academic science. This statement was previously given substance in an article I published, along with a companion paper by Mark Roulston in the Bulletin of the American Meteorological Society (Carlson, 2006a;Roulston, 2006) and in a subsequent address I gave to the Heads and Chairs meeting in Boulder, Colorado (Carlson, 2006b). Here, I expand further on the issues treated in these papers, and make a plea for changing the way funding is administered in academic science. Using examples I show that the present worsening situation places a dead hand on the spirit and creative output of academic scientists, especially junior faculty. I suggest a possible solution, which would enable academic scientists to function in a stable environment, free from spurious financial pressures and dictates from university administration and funding agencies.

This volume provides a collection of critical new perspectives on social capital theory by examining how social values, power relationships, and social identity interact with social capital. This book seeks to extend this theory into what have been largely under-investigated domains, and, at the same time, address long-standing, classic questions in the literature concerning the forms, determinants, and consequences of social capital. Social capital can be understood in terms of social norms and networks. It manifests itself in patterns of trust, reciprocity, and cooperation. The authors argue

Depuis le début du XIXe siècle, ce n'est plus le secret qui légitime les « arts de gouvernement » en Europe. C'est la science. Elections, colonies, propagande, état civil, hygiène, risques naturels : les territoires de cette revendication, promue nouveau Graal de la raison bureaucratique, ont donné naissance à des savoirs de plus en plus professionnalisés. Ce sont d'eux que viennent en droite ligne les « expertises » qui aujourd'hui encore trame l'administration du politique. S'intéresser, comme y invite cet ouvrage, à ses savoirs mais aussi à ces figures, revues, théories ou disciplines aujourd'hui sans sépulture, ce n'est pas céder à une passion érudite. C'est œuvrer à une histoire sociale : celle des registres de scientificité dont s'est continûment enorgueillie la conduite du pouvoir politique. C'est se donner les moyens d'interroger les instruments de connaissance et de légitimation par lesquels se font puis se défont les modèles d'action gouvernementale, ceux qui ont accompagné l'extension des interventions de l'Etat. Car ces « sciences de gouvernement », qu'elles soient oubliées ou toujours actuelles, décriées ou pourvues de titres académiques, n'ont cessé d'apporter de la majesté au politique. Un éclat d'objectivité dont se targuent toujours les pratiques du gouvernement de la Cité.

Depuis le début du XIXe siècle, ce n'est plus le secret qui légitime les « arts de gouvernement » en Europe. C'est la science. Elections, colonies, propagande, état civil, hygiène, risques naturels : les territoires de cette revendication, promue nouveau Graal de la raison bureaucratique, ont donné naissance à des savoirs de plus en plus professionnalisés. Ce sont d'eux que viennent en droite ligne les « expertises » qui aujourd'hui encore trame l'administration du politique. S'intéresser, comme y invite cet ouvrage, à ses savoirs mais aussi à ces figures, revues, théories ou disciplines aujourd'hui sans sépulture, ce n'est pas céder à une passion érudite. C'est œuvrer à une histoire sociale : celle des registres de scientificité dont s'est continûment enorgueillie la conduite du pouvoir politique. C'est se donner les moyens d'interroger les instruments de connaissance et de légitimation par lesquels se font puis se défont les modèles d'action gouvernementale, ceux qui ont accompagné l'extension des interventions de l'Etat. Car ces « sciences de gouvernement », qu'elles soient oubliées ou toujours actuelles, décriées ou pourvues de titres académiques, n'ont cessé d'apporter de la majesté au politique. Un éclat d'objectivité dont se targuent toujours les pratiques du gouvernement de la Cité.

Depuis le début du XIXe siècle, ce n'est plus le secret qui légitime les « arts de gouvernement » en Europe. C'est la science. Elections, colonies, propagande, état civil, hygiène, risques naturels : les territoires de cette revendication, promue nouveau Graal de la raison bureaucratique, ont donné naissance à des savoirs de plus en plus professionnalisés. Ce sont d'eux que viennent en droite ligne les « expertises » qui aujourd'hui encore trame l'administration du politique. S'intéresser, comme y invite cet ouvrage, à ses savoirs mais aussi à ces figures, revues, théories ou disciplines aujourd'hui sans sépulture, ce n'est pas céder à une passion érudite. C'est œuvrer à une histoire sociale : celle des registres de scientificité dont s'est continûment enorgueillie la conduite du pouvoir politique. C'est se donner les moyens d'interroger les instruments de connaissance et de légitimation par lesquels se font puis se défont les modèles d'action gouvernementale, ceux qui ont accompagné l'extension des interventions de l'Etat. Car ces « sciences de gouvernement », qu'elles soient oubliées ou toujours actuelles, décriées ou pourvues de titres académiques, n'ont cessé d'apporter de la majesté au politique. Un éclat d'objectivité dont se targuent toujours les pratiques du gouvernement de la Cité.

At head of title: The Government of the Philippine Islands. Department of the Interior. Bureau of Science . ; Caption title. ; Mode of access: Internet.

Having geographical proximity and a high volume of trade with China, the first country to record an outbreak of the new Coronavirus disease (COVID-19), Vietnam was expected to have a high risk of transmission. However, as of 4 April 2020, in comparison to attempts to containing the disease around the world, responses from Vietnam are seen as prompt and effective in protecting the interests of its citizens, with 239 confirmed cases and no fatalities. This study analyzes the situation in terms of Vietnam's policy response, social media and science journalism. A self-made web crawl engine was used to scan and collect official media news related to COVID-19 between the beginning of January and April 4, yielding a comprehensive dataset of 14,952 news items. The findings shed light on how Vietnam—despite being under-resourced—has demonstrated political readiness to combat the emerging pandemic since the earliest days. Timely communication on any developments of the outbreak from the government and the media, combined with up-to-date research on the new virus by the Vietnamese science community, have altogether provided reliable sources of information. By emphasizing the need for immediate and genuine cooperation between government, civil society and private individuals, the case study offers valuable lessons for other nations concerning not only the concurrent fight against the COVID-19 pandemic but also the overall responses to a public health crisis.

Peter Katzenstein is a prodigiously productive scholar. As a comparativist, a student of international relations, an historian, and one who has successfully bridged the qualitative and quantitative divide in our discipline, he has made signal contributions to general international relations, political economy, security studies, European and German studies, Asian and Japanese studies, and political science in general. In this brief résumé, seven of his friends and collaborators highlight his major contributions.