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Bishop Dupanloup was one of the leading figures of the liberal Catholicism in France in the 19th century. From the private correspondence of the priest of Savoy, the objective is to highlight the networks which were set up and structured by the priest of Savoy to defend the interests of the Catholic Church in a context of revolutionary tensions.Under the Second Republic, from 1848 to 1851, Dupanloup and his networks particularly focused on the struggle for freedom of education and from 1849 on the struggle for the vote of the Falloux bill, a bill aimed to completely reorganize public and private education. Around Dupanloup an ensemble aggregated, made of parties, networks and personalities of various origins, lay and ecclesiastical, religious and political, who were known as the "Dupanloup party". This "party" relied above all on the "duo" Dupanloup-Montalembert, who turned into a "trio" when Alfred de Falloux became minister of public education and worship with the primary objective of obtaining the freedom for the Secondary education and to support the temporal authority of the pope. Strategies appear in the correspondence and private writings of Dupanloup that form the backdrop of the public action of the pedagogical priest. These epistolary exchanges form a tight grid between individuals sharing more or less the same convictions and objectives and aiming to tilt the revolutionary process in their favor. It is in the private space of correspondence that Dupanloup already built his public action. Studying the networks and the battles of the party of Dupanloup under the Second Republic makes it possible to go back more precisely to a part of history which is quite unknown. The conflicts which agitated the political, social and religious life of the Second Republic were indeed revealing of the ideological, political, social and religious bubbling turmoil of the mid-nineteenth century. It crystallized public debates that still animated the Europe of the 21st century, notably on the question of secularism or the secularization of society. The evolution of Dupanloup's thinking during this period reveals the tensions and dissensions which agitated liberal Catholics themselves but also their relationship with the clergy and with society.It seems relevant to understand how a group of conservative Catholics, a minority itself within the liberal Catholic movement, managed to rise to the top of republican institutions, whereas from 1848 to 1851 revolutionary days multiplied and radicalized. Can we conclude with a victory of the "Dupanloup party"? Was the Social Revolution which aborted in June 1848 a Counter-Revolution or paradoxically a Catholic Revolution ? ; Mgr Dupanloup est l'une des figures de proue du catholicisme libéral en France au XIXe siècle. À partir de la correspondance privée du prêtre de Savoie, il s'agit de mettre en exergue les réseaux mis en place et structurés par le prêtre de Savoie pour défendre les intérêts de l'Église catholique dans un contexte de tensions révolutionnaires. Ainsi sous la Seconde République, de 1848 à 1851, Dupanloup et ses réseaux se concentrent particulièrement sur la lutte pour la liberté de l'enseignement et à partir de 1849 sur la lutte pour le vote du projet de loi Falloux, un projet de loi visant à réorganiser entièrement l'instruction publique et privée. Autour de Dupanloup s'agrège tout un ensemble de partis, de réseaux et de personnalités d'origines diverses, laïcs et ecclésiastiques, religieux et politiques qu'on a pu réunir sous l'appellation de « parti Dupanloup ». Ce « parti » repose avant tout sur le « duo » Dupanloup-Montalembert, devenu « trio » dès lors qu'Alfred de Falloux est devenu ministre avec comme objectif prioritaire d'obtenir la liberté de l'enseignement secondaire et de soutenir l'autorité temporelle du pape. Des stratégies apparaissent dans la correspondance et les écrits privés de Dupanloup qui constituent les coulisses de l'action publique du prêtre pédagogue. Ces échanges épistolaires forment un maillage resserré entre des individus partageant plus ou moins les mêmes convictions et objectifs et visant à incliner le processus révolutionnaire en leur faveur. C'est dans l'espace privé de la correspondance que Dupanloup construit déjà son action publique. Étudier les réseaux et le combats du parti de Dupanloup sous la Seconde République permet de revenir plus précisément sur un pan de l'histoire assez méconnu. Les conflits qui agitent la vie politique, sociale et religieuse de la Seconde République sont, en effet, révélateurs du bouillonnement idéologique, politique, social et religieux du milieu du XIXe siècle. Il cristallise des débats publics qui animent encore l'Europe du XXIe siècle, notamment sur la question de la laïcité ou de la sécularisation de la société. L'évolution de la pensée de Dupanloup durant cette période révèle les tensions et dissensions qui agitent les catholiques libéraux dans leur rapport entre eux-mêmes, mais aussi dans leur relation avec le clergé et avec la société.Il semble ainsi pertinent de comprendre comment un groupe de catholiques conservateurs, lui-même en minorité au sein du mouvement catholique libéral, est parvenu à se hisser au sommet d'institutions républicaines alors que de 1848 à 1851 les journées révolutionnaires se multiplient et se radicalisent. Peut-on conclure à une victoire du « parti Dupanloup » ? La Révolution sociale avortée dès juin 1848 s'est-elle mue en Contre-Révolution ou bien paradoxalement en Révolution catholique ?

Bishop Dupanloup was one of the leading figures of the liberal Catholicism in France in the 19th century. From the private correspondence of the priest of Savoy, the objective is to highlight the networks which were set up and structured by the priest of Savoy to defend the interests of the Catholic Church in a context of revolutionary tensions.Under the Second Republic, from 1848 to 1851, Dupanloup and his networks particularly focused on the struggle for freedom of education and from 1849 on the struggle for the vote of the Falloux bill, a bill aimed to completely reorganize public and private education. Around Dupanloup an ensemble aggregated, made of parties, networks and personalities of various origins, lay and ecclesiastical, religious and political, who were known as the "Dupanloup party". This "party" relied above all on the "duo" Dupanloup-Montalembert, who turned into a "trio" when Alfred de Falloux became minister of public education and worship with the primary objective of obtaining the freedom for the Secondary education and to support the temporal authority of the pope. Strategies appear in the correspondence and private writings of Dupanloup that form the backdrop of the public action of the pedagogical priest. These epistolary exchanges form a tight grid between individuals sharing more or less the same convictions and objectives and aiming to tilt the revolutionary process in their favor. It is in the private space of correspondence that Dupanloup already built his public action. Studying the networks and the battles of the party of Dupanloup under the Second Republic makes it possible to go back more precisely to a part of history which is quite unknown. The conflicts which agitated the political, social and religious life of the Second Republic were indeed revealing of the ideological, political, social and religious bubbling turmoil of the mid-nineteenth century. It crystallized public debates that still animated the Europe of the 21st century, notably on the question of secularism or the secularization of society. The evolution of Dupanloup's thinking during this period reveals the tensions and dissensions which agitated liberal Catholics themselves but also their relationship with the clergy and with society.It seems relevant to understand how a group of conservative Catholics, a minority itself within the liberal Catholic movement, managed to rise to the top of republican institutions, whereas from 1848 to 1851 revolutionary days multiplied and radicalized. Can we conclude with a victory of the "Dupanloup party"? Was the Social Revolution which aborted in June 1848 a Counter-Revolution or paradoxically a Catholic Revolution ? ; Mgr Dupanloup est l'une des figures de proue du catholicisme libéral en France au XIXe siècle. À partir de la correspondance privée du prêtre de Savoie, il s'agit de mettre en exergue les réseaux mis en place et structurés par le prêtre de Savoie pour défendre les intérêts de l'Église catholique dans un contexte de tensions révolutionnaires. Ainsi sous la Seconde République, de 1848 à 1851, Dupanloup et ses réseaux se concentrent particulièrement sur la lutte pour la liberté de l'enseignement et à partir de 1849 sur la lutte pour le vote du projet de loi Falloux, un projet de loi visant à réorganiser entièrement l'instruction publique et privée. Autour de Dupanloup s'agrège tout un ensemble de partis, de réseaux et de personnalités d'origines diverses, laïcs et ecclésiastiques, religieux et politiques qu'on a pu réunir sous l'appellation de « parti Dupanloup ». Ce « parti » repose avant tout sur le « duo » Dupanloup-Montalembert, devenu « trio » dès lors qu'Alfred de Falloux est devenu ministre avec comme objectif prioritaire d'obtenir la liberté de l'enseignement secondaire et de soutenir l'autorité temporelle du pape. Des stratégies apparaissent dans la correspondance et les écrits privés de Dupanloup qui constituent les coulisses de l'action publique du prêtre pédagogue. Ces échanges épistolaires forment un maillage resserré entre des individus partageant plus ou moins les mêmes convictions et objectifs et visant à incliner le processus révolutionnaire en leur faveur. C'est dans l'espace privé de la correspondance que Dupanloup construit déjà son action publique. Étudier les réseaux et le combats du parti de Dupanloup sous la Seconde République permet de revenir plus précisément sur un pan de l'histoire assez méconnu. Les conflits qui agitent la vie politique, sociale et religieuse de la Seconde République sont, en effet, révélateurs du bouillonnement idéologique, politique, social et religieux du milieu du XIXe siècle. Il cristallise des débats publics qui animent encore l'Europe du XXIe siècle, notamment sur la question de la laïcité ou de la sécularisation de la société. L'évolution de la pensée de Dupanloup durant cette période révèle les tensions et dissensions qui agitent les catholiques libéraux dans leur rapport entre eux-mêmes, mais aussi dans leur relation avec le clergé et avec la société.Il semble ainsi pertinent de comprendre comment un groupe de catholiques conservateurs, lui-même en minorité au sein du mouvement catholique libéral, est parvenu à se hisser au sommet d'institutions républicaines alors que de 1848 à 1851 les journées révolutionnaires se multiplient et se radicalisent. Peut-on conclure à une victoire du « parti Dupanloup » ? La Révolution sociale avortée dès juin 1848 s'est-elle mue en Contre-Révolution ou bien paradoxalement en Révolution catholique ?

Bishop Dupanloup was one of the leading figures of the liberal Catholicism in France in the 19th century. From the private correspondence of the priest of Savoy, the objective is to highlight the networks which were set up and structured by the priest of Savoy to defend the interests of the Catholic Church in a context of revolutionary tensions.Under the Second Republic, from 1848 to 1851, Dupanloup and his networks particularly focused on the struggle for freedom of education and from 1849 on the struggle for the vote of the Falloux bill, a bill aimed to completely reorganize public and private education. Around Dupanloup an ensemble aggregated, made of parties, networks and personalities of various origins, lay and ecclesiastical, religious and political, who were known as the "Dupanloup party". This "party" relied above all on the "duo" Dupanloup-Montalembert, who turned into a "trio" when Alfred de Falloux became minister of public education and worship with the primary objective of obtaining the freedom for the Secondary education and to support the temporal authority of the pope. Strategies appear in the correspondence and private writings of Dupanloup that form the backdrop of the public action of the pedagogical priest. These epistolary exchanges form a tight grid between individuals sharing more or less the same convictions and objectives and aiming to tilt the revolutionary process in their favor. It is in the private space of correspondence that Dupanloup already built his public action. Studying the networks and the battles of the party of Dupanloup under the Second Republic makes it possible to go back more precisely to a part of history which is quite unknown. The conflicts which agitated the political, social and religious life of the Second Republic were indeed revealing of the ideological, political, social and religious bubbling turmoil of the mid-nineteenth century. It crystallized public debates that still animated the Europe of the 21st century, notably on the question of secularism or the secularization of society. The evolution of Dupanloup's thinking during this period reveals the tensions and dissensions which agitated liberal Catholics themselves but also their relationship with the clergy and with society.It seems relevant to understand how a group of conservative Catholics, a minority itself within the liberal Catholic movement, managed to rise to the top of republican institutions, whereas from 1848 to 1851 revolutionary days multiplied and radicalized. Can we conclude with a victory of the "Dupanloup party"? Was the Social Revolution which aborted in June 1848 a Counter-Revolution or paradoxically a Catholic Revolution ? ; Mgr Dupanloup est l'une des figures de proue du catholicisme libéral en France au XIXe siècle. À partir de la correspondance privée du prêtre de Savoie, il s'agit de mettre en exergue les réseaux mis en place et structurés par le prêtre de Savoie pour défendre les intérêts de l'Église catholique dans un contexte de tensions révolutionnaires. Ainsi sous la Seconde République, de 1848 à 1851, Dupanloup et ses réseaux se concentrent particulièrement sur la lutte pour la liberté de l'enseignement et à partir de 1849 sur la lutte pour le vote du projet de loi Falloux, un projet de loi visant à réorganiser entièrement l'instruction publique et privée. Autour de Dupanloup s'agrège tout un ensemble de partis, de réseaux et de personnalités d'origines diverses, laïcs et ecclésiastiques, religieux et politiques qu'on a pu réunir sous l'appellation de « parti Dupanloup ». Ce « parti » repose avant tout sur le « duo » Dupanloup-Montalembert, devenu « trio » dès lors qu'Alfred de Falloux est devenu ministre avec comme objectif prioritaire d'obtenir la liberté de l'enseignement secondaire et de soutenir l'autorité temporelle du pape. Des stratégies apparaissent dans la correspondance et les écrits privés de Dupanloup qui constituent les coulisses de l'action publique du prêtre pédagogue. Ces échanges épistolaires forment un maillage resserré entre des individus partageant plus ou moins les mêmes convictions et objectifs et visant à incliner le processus révolutionnaire en leur faveur. C'est dans l'espace privé de la correspondance que Dupanloup construit déjà son action publique. Étudier les réseaux et le combats du parti de Dupanloup sous la Seconde République permet de revenir plus précisément sur un pan de l'histoire assez méconnu. Les conflits qui agitent la vie politique, sociale et religieuse de la Seconde République sont, en effet, révélateurs du bouillonnement idéologique, politique, social et religieux du milieu du XIXe siècle. Il cristallise des débats publics qui animent encore l'Europe du XXIe siècle, notamment sur la question de la laïcité ou de la sécularisation de la société. L'évolution de la pensée de Dupanloup durant cette période révèle les tensions et dissensions qui agitent les catholiques libéraux dans leur rapport entre eux-mêmes, mais aussi dans leur relation avec le clergé et avec la société.Il semble ainsi pertinent de comprendre comment un groupe de catholiques conservateurs, lui-même en minorité au sein du mouvement catholique libéral, est parvenu à se hisser au sommet d'institutions républicaines alors que de 1848 à 1851 les journées révolutionnaires se multiplient et se radicalisent. Peut-on conclure à une victoire du « parti Dupanloup » ? La Révolution sociale avortée dès juin 1848 s'est-elle mue en Contre-Révolution ou bien paradoxalement en Révolution catholique ?

Bishop Dupanloup was one of the leading figures of the liberal Catholicism in France in the 19th century. From the private correspondence of the priest of Savoy, the objective is to highlight the networks which were set up and structured by the priest of Savoy to defend the interests of the Catholic Church in a context of revolutionary tensions.Under the Second Republic, from 1848 to 1851, Dupanloup and his networks particularly focused on the struggle for freedom of education and from 1849 on the struggle for the vote of the Falloux bill, a bill aimed to completely reorganize public and private education. Around Dupanloup an ensemble aggregated, made of parties, networks and personalities of various origins, lay and ecclesiastical, religious and political, who were known as the "Dupanloup party". This "party" relied above all on the "duo" Dupanloup-Montalembert, who turned into a "trio" when Alfred de Falloux became minister of public education and worship with the primary objective of obtaining the freedom for the Secondary education and to support the temporal authority of the pope. Strategies appear in the correspondence and private writings of Dupanloup that form the backdrop of the public action of the pedagogical priest. These epistolary exchanges form a tight grid between individuals sharing more or less the same convictions and objectives and aiming to tilt the revolutionary process in their favor. It is in the private space of correspondence that Dupanloup already built his public action. Studying the networks and the battles of the party of Dupanloup under the Second Republic makes it possible to go back more precisely to a part of history which is quite unknown. The conflicts which agitated the political, social and religious life of the Second Republic were indeed revealing of the ideological, political, social and religious bubbling turmoil of the mid-nineteenth century. It crystallized public debates that still animated the Europe of the 21st century, notably on the question of secularism or the secularization of society. The evolution of Dupanloup's thinking during this period reveals the tensions and dissensions which agitated liberal Catholics themselves but also their relationship with the clergy and with society.It seems relevant to understand how a group of conservative Catholics, a minority itself within the liberal Catholic movement, managed to rise to the top of republican institutions, whereas from 1848 to 1851 revolutionary days multiplied and radicalized. Can we conclude with a victory of the "Dupanloup party"? Was the Social Revolution which aborted in June 1848 a Counter-Revolution or paradoxically a Catholic Revolution ? ; Mgr Dupanloup est l'une des figures de proue du catholicisme libéral en France au XIXe siècle. À partir de la correspondance privée du prêtre de Savoie, il s'agit de mettre en exergue les réseaux mis en place et structurés par le prêtre de Savoie pour défendre les intérêts de l'Église catholique dans un contexte de tensions révolutionnaires. Ainsi sous la Seconde République, de 1848 à 1851, Dupanloup et ses réseaux se concentrent particulièrement sur la lutte pour la liberté de l'enseignement et à partir de 1849 sur la lutte pour le vote du projet de loi Falloux, un projet de loi visant à réorganiser entièrement l'instruction publique et privée. Autour de Dupanloup s'agrège tout un ensemble de partis, de réseaux et de personnalités d'origines diverses, laïcs et ecclésiastiques, religieux et politiques qu'on a pu réunir sous l'appellation de « parti Dupanloup ». Ce « parti » repose avant tout sur le « duo » Dupanloup-Montalembert, devenu « trio » dès lors qu'Alfred de Falloux est devenu ministre avec comme objectif prioritaire d'obtenir la liberté de l'enseignement secondaire et de soutenir l'autorité temporelle du pape. Des stratégies apparaissent dans la correspondance et les écrits privés de Dupanloup qui constituent les coulisses de l'action publique du prêtre pédagogue. Ces échanges épistolaires forment un maillage resserré entre des individus partageant plus ou moins les mêmes convictions et objectifs et visant à incliner le processus révolutionnaire en leur faveur. C'est dans l'espace privé de la correspondance que Dupanloup construit déjà son action publique. Étudier les réseaux et le combats du parti de Dupanloup sous la Seconde République permet de revenir plus précisément sur un pan de l'histoire assez méconnu. Les conflits qui agitent la vie politique, sociale et religieuse de la Seconde République sont, en effet, révélateurs du bouillonnement idéologique, politique, social et religieux du milieu du XIXe siècle. Il cristallise des débats publics qui animent encore l'Europe du XXIe siècle, notamment sur la question de la laïcité ou de la sécularisation de la société. L'évolution de la pensée de Dupanloup durant cette période révèle les tensions et dissensions qui agitent les catholiques libéraux dans leur rapport entre eux-mêmes, mais aussi dans leur relation avec le clergé et avec la société.Il semble ainsi pertinent de comprendre comment un groupe de catholiques conservateurs, lui-même en minorité au sein du mouvement catholique libéral, est parvenu à se hisser au sommet d'institutions républicaines alors que de 1848 à 1851 les journées révolutionnaires se multiplient et se radicalisent. Peut-on conclure à une victoire du « parti Dupanloup » ? La Révolution sociale avortée dès juin 1848 s'est-elle mue en Contre-Révolution ou bien paradoxalement en Révolution catholique ?

В статье характеризуются основные источники финансовых поступлений в бюджет Томского и Тобольского отделов Императорского Православного Палестинского общества. Отмечается, что собранные средства в дальнейшем использовались для решения культурно-просветительских, благотворительных и научных задач, способствовали укреплению российского присутствия в Святой Земле, решению проблем русских паломников. Указывается, что средства, собираемые западно-сибирскими отделами общества, формировались из нескольких источников: пожертвования представителей местной деловой и политической элиты, имевшие в региональных отделах второстепенное значение; единовременные и ежегодные членские взносы, достигшие наибольших значений в первые годы существования отделов. Определенную роль играли кружечный сбор, производившийся через установленные в людных местах стационарные емкости; пожертвования к святым местам, сделанные для поминовения усопших родственников или за здравие родных и знакомых; продажа изданий Императорского Православного Палестинского общества и религиозной литературы; благотворительные сборы после Палестинских чтений. Главным источником средств на нужды Святой Земли и русских паломников являлся Вербный сбор, ежегодно проводившийся в неделю Ваий. Получаемые в итоге суммы были вполне сопоставимы со всеми остальными доходами западно-сибирских отделов ИППО, вместе взятыми, достигая 2,2 тыс. руб. в год в Тобольском отделе и 6,4 тыс. руб. в Томском отделе (в 1901/1902 отчетном году). Указываются меры, предпринимаемые западно-сибирскими отделами для активизации сборов: публикация на страницах городских газет и епархиальных ведомостей воззваний «о содействии к наилучшему устроению Вербного сбора»; рассылка приглашений приходским священникам, в некоторой степени носивших характер обязательных предписаний; развертывание научно-популярной пропагандистской работы среди широких слоев населения по ознакомлению с прошлым и настоящим Святой Земли через внебогослужебные собеседования и чтения; раздача печатных палестинских листков. Делается вывод, что максимальных размеров пожертвования достигли к началу ХХ в., что совпало с периодом наибольшей активности местных отделов Императорского Православного Палестинского общества. В ходе и после Первой русской революции становится очевидной тенденция уменьшения поступлений в кассу отделов. Выявлены причины постепенного сокращения поступлений в отделы Императорского Православного Палестинского общества, среди которых выделяются увеличение различного рода денежных сборов на благотворительные и иные нужды, когда благочестивому человеку поневоле приходилось делать выбор куда пожертвовать имеющиеся у него, как правило ограниченные, средства? Предпочтение могло быть отдано в пользу имевших вполне осязаемый и конкретный результат направлений деятельности: на приходской храм, школу, нужды переселенцев и др. Помощь православным учреждениям далекой Палестины не могла восприниматься как первостепенная задача. С началом Первой мировой войны, прервавшей связь России со Святой Землей, сборы на нужды ИППО в глазах православного населения окончательно утратили свою актуальность. Второй фактор секуляризация общественного сознания, прежде всего горожан, представителей молодого поколения. Ключевыми здесь оказались события революции 19051907 гг., существенно повлиявшие на ситуацию в стране, радикализировавшие массовое сознание. ; The articleconsidersthe main sourcesof fi nancialrevenuesof the Tomsk andTobolskdepartmentsof the Imperial OrthodoxPalestine Society. The funds collected were subsequentlyused to addresscultural, educational, charitable andscientific issues as well as to deal with the questions of enforcementand strengtheningRussia's presencein the Holy Land. The money raised by the Western Siberian departments of the Imperial Orthodox-Palestine Society came from several sources. First of all, donations were made by local business and political elite, though they were so meager that they hardly ever reached the regional departments; secondly, there were one-time and annual membership dues, which were particularly large in the early years of departments. Other sources included kruzhechnye church plate collections, made with the help of stationary containers which were put in crowded places; donations for the holy places, given for the commemoration of relatives or for the health of relatives or friends; money raised from selling publications of the Imperial OrthodoxPalestine Society as well as religious literature; donations made after the Palestine reading forums. The article points out that the main revenue was generated through the annual Palm Sunday collections organized during Vayi week in all parishes of the Tomsk and Tobolsk eparchies. As a result, their total revenue was bigger than that of all the Western-Siberian departments, reaching 2,200 roubles a year in the Tobolsk and 6,400 roubles in the Tomsk departments. The article also considers the measures taken by Western-Siberian departments to raise more money, by publishing calls in city and eparchy newspapers for "actions to make the Palm Sunday collections better-organized"; by sending out invitations to parish clergy, which in fact were mandatory statements; by popularizing among various groups of society the information about the past and present of the Holy Land through after-sermon meetings and readings; distributing Palestine leafl ets. The authors conclude that donations reached the highest level by the beginning of the XX century, which was also the period of the most heightened activity of the Imperial OrthodoxPalestine Society. During and after the first Russian Revolution contributions to the departments tended to obviously go down. The article also reveals the reasons for the gradual cutbacks of contributions into the Imperial OrthodoxPalestine Society. One of them was the increasing number of various collections for charity or other needs when devout believers had to make a choice where to give their scanty means to? They were likely to prefer to send donations to establishments which could produce concrete and more tangible results such as a parish church, school, migrants' needs, etc. Another reason for cutbacks was secularization of the society particularly of city dwellers and younger generation. The key reason though was the Revolution of 1905-1907 which signifi cantly affected the situation in the country and made the Russian mentality more radical.

La literatura sobre la historia de los franciscanos en México durante los siglos XVI al XIX va de abundante a carente, abundan los estudios en el siglo XVI y en el XIX prácticamente no existen. El interés de la presente tesis es recuperar la historia de los franciscanos en México hacia el siglo XIX, un siglo que hizo crisis en la orden evangelizadora de América, producto de los efectos negativos de la Ilustración, los conflictos internos de las comunidades religiosas, resultado de la pérdida del carisma franciscano, la secularización de las doctrinas y el golpe de gracia con la aplicación de las Leyes de Reforma a mediados del siglo XIX. En particular se estudia la historia del Convento de Nuestro Seráfico Padre San Francisco de Bucareli, diferenciándolo de la antigua misión de Bucareli, se hace especial énfasis en la presencia de los franciscanos de la Provincia de Michoacán y su gran obra iniciada en 1896 consistente en la construcción del convento con dos patios, una biblioteca, cocina, refectorio, la construcción de un acueducto de más de cuatro kilómetros que conduciría el agua desde el arroyo del plátano al conventito como lo llaman los lugareños, ubicado en una loma distante 100 metros aproximadamente del pueblo. La razón que se ofrece para la construcción del citado convento en la zona del semidesierto queretano es la misma que aporta el M.R.P. Fray Antonio de Jesús Muñoz y Ortiz, delegado general para el gobierno de las cinco Provincias Franciscanas existentes a finales del S. XIX en la República mexicana: procurar el establecimiento de la observancia regular y de la vida común en estas Provincias de su cargo, y hacer cuanto está dispuesta,¿, para que se salgan del estado de postración y abatimiento á [sic] que están sometidos por las circunstancias de los tiempos, y vuelvan a aquel primitivo esplendor y movimiento con que en otros tiempos brillaban¿ y dieron tan abundantísimos frutos de santidad y perfección espiritual en nuestra iglesia mexicana; la apertura del noviciado en enero de 1900 para las cinco agonizantes provincias franciscanas de México, generó un entusiasmo por el establecimiento de la vida común en todo el país, hasta su cancelación con la aplicación de la restauración de 1908 promovida por el M.R.P. Comisario General fray José M. Bottaro. Desafortunadamente, el convento de Bucareli no logró el objetivo de restaurar la vida religiosa en la República Mexicana, pues la crisis de la orden franciscana en el S. XIX se prolongó hasta mediados del S. XX y rebasaba con mucho las posibilidades del propio noviciado. ; Literature on the history of the Franciscans in Mexico from the XVI to the XIX centuries goes from abundant to scarce. There are many studies on the XVI Century and practically none on the XIX Century. The focus of this thesis is on recovering the history of the Franciscans in Mexico in the XIX Century when there was a crisis in this evangelizing order of the Americas. This was the product of the negative effects of the Enlightenment, internal conflicts within the religious communities, a result of the loss of Franciscan charisma, the secularization of doctrines and the final blow ¿ the application of the Reform Laws beginning in the middle of the century. We have especially focused on the study of the history of the Nuestro Seráfico Padre San Francisco de Bucareli Convent, differentiating it from the old Bucareli mission. We put special emphasis on the presence of the Franciscans in Michoacán Province and the great work begun in 1896 which consisted of the construction of the convent with two patios, a library, kitchen, refectory and the construction of an aqueduct more than four kilometers long that brought water from the Plátano stream to the conventito (little convent), as the local people call it, located on a hill approximately 100 meters from the town. The reason given for the construction of this convent in the semi-desert area of Querétaro is the same given by M.R.P. Friar Antonio de Jesús Muñoz y Ortiz, general delegate for the government of the five Franciscan Provinces which existed at the end of the XIX Century in the Mexican Republic: to try to establish regular observance and the common life in these Provinces under his charge and do whatever is necessary¿so that they may be freed of the state of prostration and dejectedness to which they are subjected by the circumstances of the times, returning to that primitive splendor and movement which in other times made them shine.and gave such abundant fruits of holiness and spiritual perfection within our Mexican church. The opening of the novitiate in 1900 for the five dying Franciscan provinces in Mexico generated enthusiasm for the establishment of the common life in all of the country, until its cancellation with the application of the 1908 restoration promoted by the M.R.P. Commissary General, Friar José M. Bottaro. Unfortunately, the Bucareli convent did not achieve the objective of restoring the religious life in the Mexican Republic, since the crisis of the Franciscan Order in the XIX Century continued until the middle of the XX Century and greatly surpassed the possibilities of the novitiate itself