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Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

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Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

Les archives ouvertes s'inscrivent de plus en plus solidement et durablement dans le paysage documentaire de l'enseignement supérieur. Si les organismes de recherche ont été précurseurs pour la création d'archives ouvertes, les grandes écoles, mais surtout les universités ont désormais massivement rejoint le mouvement. Signe de cette progression notable, 82 % des répondants disposent en 2017 d'une archive en production ou en cours de mise en œuvre, contre 62 % en 2014. L'adoption majoritaire de la plate-forme HAL (qui représente 79 % des archives en production et 84 % des archives des universités parmi les répondants) se renforce encore depuis 2014. La structuration d'un réseau des utilisateurs de HAL au sein du club utilisateur CasuHal, même si elle est relativement récente (septembre 2016), semble portée par une vraie dynamique puisque 68 % des établissements ayant une archive ouverte adhèrent ou projettent d'y adhérer.L'intégration des archives ouvertes à leur environnement technique progresse globalement mais toujours partiellement depuis 2014. L'intégration aux sites web institutionnels ainsi qu'aux catalogues de bibliothèques est désormais majoritairement effective, mais elle reste insuffisante vers les systèmes d'information des établissements, ENT, SI Recherche et outils de gestion RH. La place des archives ouvertes dans le contexte global d'un marché de la publication scientifique en plein questionnement (conflits ouverts avec les éditeurs, généralisation du Gold Open Access, questionnements autour de nouveaux modèles possibles de publication et d'évaluation, Open Science) progresse depuis 2014 mais semble encore insuffisamment prise en compte par les établissements porteurs, seule une petite majorité d'entre eux (53 %, contre 30,6 % en 2014) ayant inscrit en 2017 leur Archive Ouverte dans une politique globale d'établissement. D'où des freins récurrents au développement des projets, que l'on observe d'une part via des politiques de dépôt encore majoritairement, et notamment pour les universités, peu ...

"June 28, 1988." ; Caption title. ; Shipping list no.: 88-437-P. ; Distributed to some depository libraries in microfiche. ; Mode of access: Internet.

This 273-paged book outlines a number of the key dilemmas in animal welfare for today's, and tomorrow's, world. The issues discussed range from the welfare of hunted animals, to debates around intensive farming versus sustainability, and the effects of climate and environmental change. It explores the effects of fences on wild animals and human impacts on carrion animals; the impacts of tourism on animal welfare; philosophical questions about speciesism; and the quality and quantity of animal lives. The welfare impacts of human-animal interactions are explored, including human impacts on marine mammals, fish, wildlife, and companion and farm animals. Salient features of this book includes being concise, opinion-based views on important issues in animal welfare by world experts and key opinion leaders. Pieces based on experience, which balance evidence-based approaches and the welfare impacts of direct engagement through training, campaigning and education. A wide-ranging collection of examples and descriptions of animal welfare topics which outline dilemmas in the real world, that are sometimes challenging, and not always comfortable reading. This book is highly recommended for animal and veterinary scientists, ethologists, policy and opinion leaders, NGOs, conservation biologists and anyone who feels passionately about the welfare of animals.

The human response to the COVID-19 pandemic set in motion an unprecedented shift in human activity with unknown long-term effects. The impacts in marine systems are expected to be highly dynamic at local and global scales. However, in comparison to terrestrial ecosystems, we are not well-prepared to document these changes in marine and coastal environments. The problems are two-fold: 1) manual and siloed data collection and processing, and 2) reliance on marine professionals for observation and analysis. These problems are relevant beyond the pandemic and are a barrier to understanding rapidly evolving blue economies, the impacts of climate change, and the many other changes our modern-day oceans are undergoing. The "Our Ocean in COVID-19" project, which aims to track human-ocean interactions throughout the pandemic, uses the new eOceans platform (eOceans.app) to overcome these barriers. Working at local scales, a global network of ocean scientists and citizen scientists are collaborating to monitor the ocean in near real-time. The purpose of this paper is to bring this project to the attention of the marine conservation community, researchers, and the public wanting to track changes in their area. As our team continues to grow, this project will provide important baselines and temporal patterns for ocean conservation, policy, and innovation as society transitions towards a new normal. It may also provide a proof-of-concept for real-time, collaborative ocean monitoring that breaks down silos between academia, government, and at-sea stakeholders to create a stronger and more democratic blue economy with communities more resilient to ocean and global change. ; This is a multi-sector project that has a wide range of collaborations. We thank all project partners including the home institutions of the principal investigators and the industry partners who are spreading the word about the project including The Moreton Bay Foundation (Australia), Live Ningaloo (Australia), Cairns Emergency Vets (Australia), Project Manaia (Austria), Calabaza Sailing Cruises (Barbados), Ocean Eyes (Chile), Chile Divers (Chile), Chile Mio (Chile), Pintarroja (Chile), Panthalassa (Chile),Centro de Buceo (Chile), Fundacion Mar y Ciencia (Chile), Ocean Missions (Iceland), Gili Shark Conservation (Indonesia), Niyama (Maldives), Gozo Azul (Mozambique), Guinjata Dive Centre (Mozambique), Tropical Research & Conservation Centre (Nigeria), National Aquarium of New Zealand, Sustainable Ōtautahi Christchurch (New Zealand), Mar Nosso (Portugal), Canana, Pura Vida Diving (Spain), Club de Buceo (Spain), Manta Diver (Spain), Deep Ocean Diver (Spain), Thalassa Boat Tours (Thailand), Ocean Sanctuaries (US), The Adventure Boat (US), Wild Side Hawaii (US), Off The Grid Ocean Adventures (US), Pacific Marine Charters (US), Oceans Forward (US). ; There is no funding to acknowledge at this time. eOceans is solely owned by CWP and is sponsoring the project.

"Wer seine Armee modernisieren und gleichzeitig sparen will, muss Prioritäten setzen. Nur wo? Die Antwort: Für die Einsätze der Zukunft benötigt die Bundeswehr vor allem eine starke Marine - eine Binsenweisheit in einer Zeit, in der über 80 Prozent des Welthandels auf dem Seeweg erfolgen. Wann wird Berlin endlich beginnen, maritim zu denken? " (Autorenreferat)