Over the last twenty years, there has been a large increase both in terms of number of interconnected hosts and in terms of link capacities. At the beginning of the ARPANET in 1969, more than forty years ago, there were four nodes, all located in the USA and connected with a link speed of 50 kilobits per second. In 1986, when the NSFNET, the network of the US universities, was created, the number of hosts was over a few thousands, but the backbone links' speeds were still of 56 kilobits per second. From that moment on, the growth in number of interconnected hosts and in link capacity has been exponential, thanks to the success of popular applications like the WWW and technological advances like SDH, SONET or DWDM in the fiber optics networks domain or like ATM and the DSL technologies derived from it. The current-day Internet interconnects billions of users (half a billion hosts in late 2006) all around the world, has a cumulated core links speed over several Terabits per second and access links up to 10 Gbps. Another fundamental technological change is also that nowadays, access links start having speeds in the same order of magnitude as the backbone link's speed. For instance, it is common to find data centers where the nodes are interconnected with 1 Gbps or 10 Gbps links and have a connection to the outside with a similar speed. This change is important as only a few connections would be necessary to cause saturation in the backbone. This situation is likely to spread as DSL technologies are gradually replaced by Fiber-To-The-Home (FTTH). 5 Mbps connections aggregated on OC48 (2.5 Gbps) links will then be replaced by 100 Mbps to 1 Gbps links aggregated over 10 Gbps links or less depending on the actual optical technology used in the access network. In such environments, high congestion levels might not be rare and might cause disruption to high-end applications. Lots of promising applications have emerged and would benefit from this increase in capacity like Video On Demand (VoD) that allows end-users to host their own high-definition movie entertainment whenever they want or scientific experiments that gather huge volumes of data (e.g. LHC) that need to be transported to computational facilities scattered all around the globe. The interaction of users with remote objects through the use of communication networks, also known as Telepresence, starts to have a paramount role in a variety of domains ranging from medical or military applications to space exploration. But these applications are still built on top of the very successful softwares or protocols like TCP and IP that were designed a long time ago for a context of low-speed networks. Their design was dictated by one goal: providing a robust and fair interconnection between existing networks. Now put in a high-speed networks context, these extremely robust and scalable protocols are still able to deliver but they are starting to show their limits in terms of performance, security, functionalities and flexibility. The most typical example is the quasi ``one-size-fits-all'' TCP protocol at the transport layer. This protocol was designed to provide a connection-oriented ``virtual circuit'' service for applications like remote login or file transfer. These two applications have two nearly conflicting sets of requirements: the first one needs a low delay and has low requirements for bandwidth while the second one mostly requires high bandwidth. Both require reliable transmissions. TCP was designed as a ``one-size-fits-all'' protocol but as the capacity of the links increased in the wired networks, as the intrinsic characteristics changed for the wireless networks and as the application requirements diverged, TCP is no longer able to scale up in performance. Multiple solutions have been proposed over time, but today's protocol designers have a large disadvantage over those forty years ago: making four similar computers interact is not exactly the same thing as designing a communicating software or protocol fit to be used by billions of vastly heterogeneous computers. Introducing change in a system of such a scale is problematic: it makes it very improbable to make a complete overnight migration of every element in the network, especially if it requires an upgrade of all physical equipments. Thus the change can only be gradual and as software updates in the end-hosts at the very edge of the networks, as it would be easier than changing core hardware elements. The fear to see congestion collapse events in the Internet as in the late 80s is coming back. Caused by too much traffic on crowded links leading to poor performance for everybody over long periods of time, it had advocated for the introduction of a congestion control mechanism in the transport protocol. If the new solutions are behaving selfishly when sharing the common resources (the links), this fear is grounded. It is then necessary to provide ways to assert if a given solution has the appropriate properties before allowing it to roam freely over a large-scale shared system. ; Au cours des vingt dernières années, c'est une évolution très rapide non seulement en termes de nombre d'éléments inter-connectés mais surtout en termes de capacités des liens qui a pu être constatée au sein des réseaux de communications. A la création du réseau ARPANET en 1969, il y a plus de quarante ans, quatre ordinateurs, tous situés aux États-Unis étaient connectés avec des liens avec un débit de 50 kilobits par seconde. En 1986, à la création du réseau des universités américaines, le NSFNET, le nombre de machines dépassait déjà plusieurs milliers mais le débit des liens de coeur était encore de 56 kilobits par seconde. A partir de ce moment, la croissance à la fois en termes de nombre d'éléments inter-connectés et de capacités des liens a été exponentielle, grâce au succès de nouvelles applications populaires comme le WWW ou les avancées technologiques comme SDH, SONET ou DWDM dans le domaine des réseaux de fibres optiques et ATM et les protocoles DSL qui en dérivent. L'Internet actuel interconnecte des milliards d'utilisateurs (un demi-milliard de machines fin 2006) répartis partout dans le monde, pouvant utiliser des liens de coeur dont les débits cumulés sont supérieurs à plusieurs Térabits par seconde et dont les liens d'accès peuvent atteindre jusqu'à 10 Gigabits par seconde. Une autre évolution technologique fondamentale est que, aujourd'hui, certains liens d'accès ont des débits du même ordre de grandeur que les débits des liens de coeur auxquels ils sont connectés. Il est aujourd'hui courant de trouver des fermes de serveurs où les noeuds sont interconnectés avec des liens à 1 Gbps ou 10 Gbps et qui ont une connexion vers l'extérieur avec un débit similaire. Cette modification est importante car désormais quelques connexions suffisent à provoquer une saturation des liens de coeur. Cette situation risque d'empirer au fur et à mesure du remplacement des technologies DSL par la Fibre-Jusqu'à-La-Maison (FTTH). Des connexions à 5 Mbps agrégées sur des liens OC48 (2.5 Gbps) vont alors être remplacées par des connexions à 100 Mbps, voire 1 Gbps, agrégées sur des liens à 10 Gbps, voire moins suivant la technologie optique utilisée sur le réseau d'accès. Il est fort probable que dans de tels environnements des niveaux de congestion élevés ne soient pas rares, engendrant des perturbations pour de nombreuses applications. Un grand nombre d'applications prometteuses ont émergé et pourraient bénéficier de capacités de communication accrues, comme par exemple la Vidéo-à-la-Demande (VoD) qui permet aux utilisateurs de regarder des films en haute définition chez eux quand ils le désirent ou les expériences scientifiques générant des quantités massives de données (comme le LHC) qui doivent être acheminées dans des centres de calcul répartis tout autour du globe. L'interaction d'utilisateurs avec des objets distants via un réseau de communication ou Téléprésence commence également à prendre un rôle prépondérant dans de nombreux domaines allant du médical au militaire en passant par l'exploration spatiale. Mais ces applications sont encore construites au dessus de logiciels ou de protocoles à succès comme TCP et IP, conçus il y a longtemps pour un contexte de réseaux bas-débit. Le conception était dirigé par un but principal: fournir une interconnexion robuste entre des réseaux existants. Plongés maintenant dans un contexte de réseaux très haut-débit, ces protocoles extrêmement robustes et capables de passer à l'échelle sont toujours en activité mais commencent à montrer leurs limites en termes de performance, sécurité, fonctionnalités et flexibilité. L'exemple le plus typique est TCP au niveau de la couche de transport. TCP a été conçu comme un protocole ``à tout faire'' mais à mesure que la capacité des liens augmente dans les réseaux fixes, que les caractéristiques intrinsèques changent pour les réseaux sans fils et que les besoins des applications divergent, TCP n'est plus capable de permettre une utilisation performante pour tous des capacités nominales des liens du réseau. De nombreuses solutions ont été proposées, mais les concepteurs de protocoles d'aujourd'hui ont un large désavantage par rapport à ceux d'il y a quarante ans. Faire fonctionner ensemble quatre machines identiques n'est pas exactement pareil que concevoir un logiciel de communication ou protocole susceptible d'être utilisé entre des milliards de machines hétérogènes. Apporter du changement dans un système d'une telle ampleur est problématique: il n'est pas possible d'envisager une migration massive du jour au lendemain surtout si des équipements physiques sont concernés. Le changement ne peut être que graduel et via des mises à jour logicielles dans les hôtes d'extrémité. La peur d'un effondrement de l'Internet dû à la congestion comme à la fin des années 80 resurgit. Causés par une surabondance de trafic réseau sur des liens saturés, ces troubles ont mis en avant la nécessité d'introduire un mécanisme de contrôle de congestion dans les protocoles de transport. Si les nouvelles solutions introduites se comportent de façon égoïste quand elles partagent une ressource commune (un lien), alors cette peur est fondée. Il est donc nécessaire de fournir des moyens de vérifier si une solution donnée possède les propriétés adéquates avant de l'introduire dans un système partagé à très large échelle.
The modelling of energy systems, which coevolved from socio-technological interactions and their interplay with the economy, plays a key role in the development of national and international policies to solve the problem of energy poverty. The other important issues addressed by energy system modelling are change in energy infrastructure, develop energy strategies, paving pathways towards technological sustainability and predicting future energy demand. Almost all energy system models are based on optimization of the lowest energy production cost, where the total cost is contributed jointly by the energy carrier's price and the cost of the associated technology subject to technical parameters. Minimizing the investment cost associated with a given technology is extremely important to sustain the surge in energy demand of the global market. Therefore, how the model applies endogenous investment costs to forecast the future benefit associated with the current knowledge subject to uncertainty in learning rates is an important aspect of energy system modelling and analysis. The influence of uncertainties in learning rates on global learning concepts without and with a technology gap (knowledge gap and time lag) is of concern in order to identify the road map of the technologies across regions. In this modelling study, five regional global models based on TIMES have been developed (TIMES is a model generator and stands for "The Integrated MARKAL EFOM System"). The regions are defined as 25 European nations (EU25), Rest of OECD (R_OECD), Rest of Non-OECD (R_NOECD), India and China, according to the nations included inside each region and also on their economic categorisation. It is a demand driven, bottom-up and technology abundant model, where GDP, population, and traffic demands are the main drivers for the development of energy demand in the past, present and future. It is a long-term model (1990-2100) consisting of 19 periods with unequal period lengths (5, 8 and 10 years). Each year is divided into three seasons and each season is further divided into day and night, as the smallest time resolution. The entire Reference Energy System (RES) is represented in the Global TIMES G5 model by extraction; inter-regional exchange; refineries; hydrogen (H2) production; synthetic fuel production; bio-fuel production; electricity and heat production; Carbon Capture and Storage (CCS); and sector-wise energy demands of industry, commerce, residential and transport, non-energy use and finally an integrated climate module. In the extraction sector, hard coal, lignite, crude oil and natural gas are modelled in four steps with the help of default cost-potential curves. Inter-regional exchanges of ten commodities are modeled for each region inside the TIMES G5 model. The final energy demand of end-use sectors such as industry, commerce and residential are modelled by different end use technologies to satisfy the users' energy demand. Natural and artificial carbon pools are included in the modelling aspect for the abatement of CO2 or carbon concentrations in the atmosphere to reduce climate warming. Two climate stabilization scenarios of CO2emissions of 500-ppmv and 550-ppmv have been used in order to estimate the sectoral restructuring of the energy system across different regions as well as its effect on atmospheric and deep ocean layer temperature rise. The phaseout of polluting fuels and the integration of non-polluting or less polluting fuels and renewable energy sources inside the sectoral energy system predominate across all regions. Sectoral energy demand and total final energy demand decreases in individual regions. Technologies such as fuel cells, fusion technology, Integrated Gasification Combined Cycle (IGCC) with CO2 sequestration, Combined Cycle Gas Turbine (CCGT) with CO2 sequestration and hydrogen production with CO2 sequestration are selected in the stabilization scenarios. The CO2 emission by fossil fuels, by sectors and by regions decreases. The atmospheric temperature rises by a maximum of 2.41oC and the ocean bed temperature rises by a maximum of 0.33oC up to the year 2100. The TIMES G5 global model has been developed to test global learning processes for the effect of uncertainties on learning rates of innovative technologies, i.e., technology diffusion across world regions subject to uncertainty in LRs for three PRs has been considered on implementation of floor cost approach The global learning process considering technology gap methodologies (knowledge gap and time lag) has been developed and tested for three different progress ratios of each technology for uncertainty of the technological return. Knowledge gap represents higher specific cost of the technology for developing regions and time lag approach presents a time lag in capacity transfer to developing regions compared to developed regions. This study shows the penetration and integration of new technologies such as IGCC, CCGT, solar photovoltaic (PV), wind onshore, wind offshore and geothermal heat pumps inside the energy system of different regions. Variations result observed by the inclusion of global learning without and with technology gaps in the form of higher specific cost (knowledge gap) and time lag. IGCC technology reaches its maximum potential in all scenarios across the globe. IGCC technology is preferred in the case of global learning without knowledge gap and time lag across developing regions compared to global learning with knowledge gap. CCGT technology development in manufacturing region decreases in global learning with technology knowledge gap compared to without knowledge gap concept. Wind onshore penetrates more in EU25 and R_OECD regions and in energy systems in a global learning concept without knowledge gap. Developed regions use more learning technology in the global learning with time lag concept because of the advantage of early investment cost reduction of learning technologies contributed by developing regions. Geothermal Heat Pump (geothermal HP) penetrates more across all regions and in all scenarios as the technology is modeled for global learning without knowledge gap and time lag. Bio-gasification, solid oxide fuel cells and molten carbonate fuel cells do not enter any energy system under any scenario. It is observed that learning technology diffuses more in higher learning rates and less in lower learning rates across the regions and the globe. The development of specific costs of innovative technologies is observed differently by period for developing and developed regions in global learning with technology gap in the form of higher specific cost approach. ; Die Modellierung von Energiesystemen entwickelte sich im Spannungsfeld von sozio-ökonomischen und technologischen Fragestellungen. Sie spielt eine Schlüsselrolle für Strategien in der nationalen und internationalen Energiepolitik und dient dazu, Probleme wie die Verknappung von Energieressourcen zu erkennen und zu lösen, Möglichkeiten zur Veränderung von Infrastrukturen im Energiesektor aufzuzeigen, den Weg für eine technologische Nachhaltigkeit zu ebnen und den zukünftigen Energiebedarf zu prognostizieren. Fast alle Energiesystemmodelle basieren auf der Optimierung der Kosten der Energieerzeugung, welche die Kosten für Energieträger und Anlagentechnologien in Abhängigkeit verschiedener technologisch-ökonomischer Parameter beinhalten. Die Anlagentechnologien stellen hierbei die Hauptkomponente sowohl der Energiekosten als auch für die wirtschaftliche Entwicklung dar. Die Reduktion der Investitionskosten für Anlagen zur Energieerzeugung ist eine wesentliche Fragestellung. Hierbei ist von großer Bedeutung, wie das Energiesystemmodell endogen Investitionskosten einsetzen kann, um zukünftige Potenziale ausgehend von den derzeitigen Kenntnissen zu prognostizieren. Der Einfluss der Unsicherheit von Lernraten bei der Endogenisierung des Lernprozesses und der Technologieauswahl muss hierzu untersucht werden. In einem globalen Lernkonzept unter Berücksichtigung von sogenannten Technologielücken, d. h. von zeitlichen Verzögerungen zwischen Verfügbarkeit und Implementierung von Technologien, kann die Entwicklung und Implementierung von neuen Technologien anhand von spezifischen Kosten und einer ggf. verzögerten Marktdurchdringung in verschiedenen Regionen untersucht werden. Im Rahmen dieser Studie wurde ein fünf Regionen Modell auf Basis des TIMES (The Integrated Markal Efom System) Modell-Generators entwickelt. Die Regionen sind definiert als die 25 europäischen Staaten (EU25), die restlichen Länder der OECD, die restlichen Länder außerhalb der OECD, Indien und China. Das Modell ist gesteuert durch den Energiebedarf, verwendet einen "Bottom-up"-Ansatz und beinhaltet die unterschiedlichsten Technologien. GDP, Bevölkerung und Verkehrsleistung sind die wesentlichen Faktoren für die Entwicklung des Energiebedarfs. Bei dem Modell handelt es sich um ein Langzeitmodell (Zeitraum 1990 bis 2100), das aus 19 Zeitperioden mit unterschiedlichen Längen (5, 8 und 10 Jahre) besteht. Jedes Jahr ist in drei Abschnitte unterteilt und jeder Abschnitt in Tag und Nacht als der höchsten zeitlichen Auflösung. Das gesamte Referenzenergiesystem (RES) wird im globalen TIMES G5 Modell durch die Energieträgergewinnung, den überregionalen Markt, Raffinerien, die Produktion von Synthesekraftstoffen, Biokraftstoffen, Wasserstoff, Strom und Wärme, Technologien zur CO2-Abscheidung und -Speicherung, den sektoralen Energiebedarf von Industrie, Gewerbe, Haushalten und Verkehr, den stofflichen Einsatz von fossilen Energieträgern und schließlich durch ein integriertes Klimamodul abgebildet. Die Gewinnung der Energieträger Steinkohle, Braunkohle, Rohöl und Erdgas wird in vier Schritten mit Kostenpotenzialkurven modelliert. Für jede Region wird der überregionale Handel von zehn Gütern innerhalb des TIMES G5-Modells abgebildet. Der Endenergiebedarf von Sektoren wie der Industrie, dem Gewerbe und den Haushalten wird mit unterschiedlichen Endnutzertechnologien modelliert. Natürliche und anthropogene Verfahren der CO2-Abscheidung und -Speicherung werden als CO2-Senken und Maßnahmen zur Minderung der Klimaerwärmung berücksichtigt. Im Rahmen der Arbeit wurden zwei Szenarien zur Stabilisierung der CO2-Emissionen auf einem Niveau von 500 ppmv und 550 ppmv betrachtet, um die sektorale Restrukturierung des Energiesystems in verschiedenen Regionen sowie den Temperaturanstieg in der Atmosphäre und am Meeresgrund abzuschätzen. In allen Regionen des sektoralen Energiesystems geht die Nutzung klimaschädlicher Energieträger zurück. Stattdessen dominiert die Nutzung nicht- oder weniger klimaschädlicher Energieträger sowie die Verwendung erneuerbarer Energiequellen. Der sektorale Energiebedarf und der totale Endenergiebedarf der einzelnen Regionen verringern sich. Technologien wie Brennstoffzellen, Fusionstechnologie, kombinierte Gas- und Dampf-Prozesse mit CO2-Abscheidung (mit integrierter Kohlevergasung (IGCC) oder mit Gasturbine (CCGT)) und Wasserstoffproduktion mit CO2-Abscheidung werden in den Stabilisierungsszenarien eingesetzt. Die CO2-Emissionen je Brennstoff, Sektor und Region verringern sich, die Temperatur der Atmosphäre steigt bis zum Jahr 2100 um maximal 2,41 °C an, die Temperatur am Meeresboden um maximal 0,33 °C. Das globale Modell TIMES G5 wurde entwickelt, um die globalen Lernprozesse im Hinblick auf die Unsicherheit der Lernrate von innovativen Technologien untersuchen zu können. Um die mögliche Bandbreite der Modellergebnisse zu begrenzen, wurde ein Ansatz basierend auf Mindestkosten entwickelt und angewendet. Die globalen Lernprozesse unter Berücksichtigung von Technologielücken wurden mit drei unterschiedlichen Fortschrittsraten je Technologie untersucht, welche die Unsicherheiten der technologischen Entwicklung in Bezug auf Implementierung und Kosten darstellen. Es wurde untersucht, inwiefern Technologielücken bei vergleichbaren Prozessen und Zeitperioden sich als höhere spezifische Kosten der Technologien in Entwicklungsländern und niedrigere spezifische Kosten in entwickelten Regionen widerspiegeln. In einem weiteren Ansatz wurden die Technologielücken als zeitlich verzögerte Kapazitätsentwicklungen abgebildet. Die spezifischen Kosten neuer Technologien in den Regionen unterscheiden sich bei beiden gewählten Ansätzen in Abhängigkeit von Diskontraten, Technologielücken je Periode und der Länge der untersuchten Zeitperioden. Im Ergebnis stellt die Arbeit die Marktdurchdringung und Integration von neuen Technologien wie IGCC, CCGT, Photovoltaikanlagen, "Onshore"- und "Offshore"-Windkraftanlagen und geothermischen Wärmepumpen in den Energiesystemen verschiedener Regionen dar. Unterschieden wird dabei zwischen der Anwendung eines globalen Lernkonzepts mit und ohne Berücksichtigung von Technologielücken, die in Form von höheren spezifischen Kosten der Technologien (knowledge gap) und einer zeitlichen Verschiebung ihrer Verfügbarkeit (time gap) abgebildet werden. IGCC Technologien erreichen in allen Szenarien ihr maximales Potenzial. Sie werden in sich entwickelnden Regionen bevorzugt bei Anwendung des globalen Lernkonzepts ohne knowledge gap und ohne time gap eingesetzt. Die Entwicklung der CCGT-Technologie in produzierenden Regionen verlangsamt sich beim globalen Lernkonzept mit knowledge gap gegenüber dem Konzept ohne knowledge gap. Die Marktdurchdringung von Onshore Windkraftanlagen findet vor allem in den Regionen EU25 und R_OECD und bei Anwendung des Lernkonzepts ohne knowledge gap statt. Entwickelte Regionen setzen Lerntechnologien insbesondere beim Lernkonzept mit time gap ein, wegen des Vorteils der frühen Investitionskostenreduzierung von Lerntechnologien aus sich entwickelnden Regionen. Geothermische Wärmepumpen werden in allen Regionen und Szenarien bevorzugt eingesetzt, da diese Technologie mit dem globalen Lernkonzept ohne knowledge gap und ohne time gap modelliert wurden. Biomassevergasung, Festoxid-Brennstoffzellen und Schmelz-Karbonat-Brennstoffzellen finden in keinem der Szenarien Eingang in eines der Energiesysteme. Weiter wurde beobachtet, dass das Spektrum der eingesetzten Lerntechnologien bei Annahme hoher Lernraten größer ist als bei niedrigen Lernraten. Die Entwicklung der spezifischen Kosten für innovative Technologien verläuft in Abhängigkeit vom globalen Lernkonzept, den betrachteten Technologielücken und den resultierenden verschiedenen spezifischen Technologiekosten in Entwicklungsländern und entwickelten Ländern unterschiedlich.
Inhaltsangabe: Zusammenfassung: Die Arbeit beginnt mit der Erkenntnis, dass Deutschland längst ein Einwanderungsland geworden ist. Um das Phänomen der Einwanderung überhaupt verstehen und richtig einordnen zu können, beschäftigt sich das erste Kapitel jedoch zuerst mit der Ursache von Wanderungsbewegungen. Hierzu wird das Push-Pull-Faktoren-Modell herangezogen. Dieses Modell bietet Erklärungsversuche sowohl für erzwungene Migration (Push-Faktoren), als auch für freiwillige Migration (Pull-Faktoren). Zur letzteren Kategorie zählt vor allem der Wohlstand der westlichen Welt, als auch die freiheitlich-demokratischen Grundwerte, die in den Ländern Europas und Nordamerikas garantiert sind. Die erzwungene Migration hingegen basiert auf Faktoren wie Krieg, Armut, Hunger, aber auch und zunehmend Umweltschäden (Degradation von Ackerflächen, Wassermangel, auch der Klimawandel ganz allgemein). Fasst man alle Faktoren zusammen, kommt man unweigerlich zu dem Schluss, dass sowohl die Pull-, als auch in noch stärkerem Maße die Push-Faktoren in den kommenden Jahren und Jahrzehnten zu drastisch steigendem Migrationsdruck auf Europa führen werden. Dieser Migrationsdruck wird die Wohlstandsinsel Europa vor allem aus Afrika, aber auch in erheblichem Maße aus Osteuropa und Asien treffen. Basierend auf der Ausgangslage steigender Migrationszahlen nach Europa stellt sich in Kapitel zwei die Frage, wie man als Mehrheitsgesellschaft mit einer steigenden Zahl von Zuwanderern umgehen soll. In diesem Zusammenhang werden Begriffe wie Integration, Assimilation, Separation und Exklusion behandelt und gegeneinander abgegrenzt. Darüber hinaus werden verschiedene (nationale) Modelle vorgestellt, wie die Mehrheitsgesellschaften mit den Minderheiten umgehen und miteinander interagieren. Auch weltpolitische sowie religiöse Einflüsse auf die jeweiligen nationalen integrationspolitischen Grundkonzepte werden aufgeführt. Zum Abschluss werden die Kosten (monetär, jedoch auch politisch, moralisch und sozial) aufgeführt, die die Nicht-Integration von Zuwanderern und Eingesessenen verursachen. Nachdem die Themen Migration und Integration allgemein bzw. für Europa abgesteckt sind, wendet sich das dritte Kapitel nun der Integrationspolitik in Deutschland zu. Ausgehend von der aktiven Anwerbephase ausländischer Arbeitskräfte in der Wirtschaftswunder-Zeit der noch jungen Bundesrepublik werden verschiedene Phasen erläutert, die sich von der "Ignoranz" für das Integrationsproblem zur "Akzeptanz" in den späten 90er Jahren entwickeln. Zur Jahrtausendwende scheint es, als habe die Politik in Deutschland erkannt, dass die "Gastarbeiter" auf Dauer bei uns bleiben werden und dass es endlich an der Zeit wäre, sich aktiv mit diesem Problem zu beschäftigen. Das Kapitel vier nun beschäftigt sich mit dem Ort, an dem Integration scheitert oder gelingt: den Kommunen. Als hervorragendes Beispiel für gute Integrationsarbeit wird die Stadt Wien angeführt. Dort wird die Integrationspolitik schon seit langem ernst genommen. Seit einigen Jahren nun hat die österreichische Hauptstadt ihre Integrationspolitik weiter entwickelt und sich dem Diversity Management verschrieben. In der Zwischenbetrachtung wird der erste Teil der Dissertation nochmals zusammengefasst und die Frage aufgeworfen, welche Aufgaben es für ein Gelingen der Integration in deutschen Kommunen zu bewältigen gibt. Basierend auf der Erkenntnis, dass in Zukunft mehr Menschen einwandern werden, dass zusätzlich zu dieser "Neu-Integration" auch noch eine "nachholende Integration" für die bereits bei uns lebenden Menschen notwendig ist, angesichts der Tatsache, dass es die deutsche Politik noch immer nicht geschafft hat, sachlich mit dem Thema Einwanderung umzugehen, verlangt das Thema Integration nach einem ganzheitlichen Konzept. Dieses muss sowohl die politischen wie die zivilgesellschaftlichen Akteure im Integrationsprozess vernetzen können, als auch wirkungsorientiert und nachvollziehbar steuerbar sein. Ein solches Konzept kann aus dem betriebswirtschaftlichen Konzept des Controllings kommen und wird in den nun folgenden Kapiteln der Arbeit vorgestellt. Das fünfte Kapitel beginnt mit einer Definition des Controlling-Begriffs allgemein und des Controlling-Regelkreises im Besonderen, ehe es dann einschwenkt auf ein spezielles Controlling-Werkzeug: die Balanced Scorecard (BSC). Die BSC wurde ursprünglich von den beiden amerikanischen Professoren Robert S. Kaplan und David P. Norton erdacht, um die allzu oft klaffende Lücke zwischen strategischen Zielen einer Unternehmung und deren operative Umsetzung im Tagesgeschäft zu schließen. Hierzu ist es notwendig, nicht ausschließlich die Finanzkennzahlen einer Firma zu betrachten, sondern auch andere Dimensionen mit einzubeziehen. Kaplan und Norton schlagen Bereiche vor wie "Kunden", "Prozesse" oder "Lernen". Nur über eine ganzheitliche Betrachtung einer Unternehmung kann langfristig der Erfolg sichergestellt werden. Ist es aber möglich, einen politischen sowie sozial-gesellschaftlichen Prozess wie die Integration mit einer Methodik zu steuern, die aus der Betriebswirtschaft kommt? Ist denn die Integration überhaupt steuerbar? Mit diesen Fragen beschäftigt sich das sechste Kapitel und gibt Antworten darauf, welche Bereiche des Integrationsprozesses über Kennzahlen erfassbar und somit steuerbar sind, und welche nicht. Basierend auf dieser Abgrenzung erlaubt das Kapitel sieben Seitenblicke auf Beispiele in der Gesellschaft, bei denen das Konzept der Balanced Scorecard bereits erfolgreich außerhalb der Domäne der Wirtschaft umgesetzt wird. Das Beispiel der amerikanischen Stadt Charlotte, deren Stadtverwaltung mit der BSC steuert, wird hierbei genauer vorgestellt. Als Schlussfolgerung wird festgehalten, dass es sehr wohl möglich ist, den Integrationsprozess in Kommunen mit der BSC zu steuern, dies jedoch gewisse Anpassungen sowohl in der Terminologie als auch in der Methodik erfordert. Das Kapitel acht nun wendet sich einem konkreten Fall zu: der Stadt Ulm. Nach einer Analyse der Chancen und Risiken im Integrationsumfeld (externe Analyse) werden die Stärken und Schwächen der Integrationspolitik selbst betrachtet. Daraus wiederum ergibt sich eine Integrationsstrategie für Ulm, die sich auf die folgenden Schwerpunkte konzentriert: Sprache, Bildung, Arbeit und Sozialisation. Diese Schwerpunkte werden nun in Dimensionen der Balanced Score Card "übersetzt", die sich fortan als Balanced Integration Card (BIC) darstellt. Innerhalb jeder dieser Dimensionen werden Projekte definiert, die mithilfe von Projekt-Definitionsblättern konkrete Ziele, Verantwortlichkeiten, Maßnahmen und Budgets beinhalten. Das Erreichen der jeweiligen Ziele schließlich wird anhand extra dafür festgelegter Kennzahlen gemessen. Die "Ziel-Maßnahmen-Matrix" schließlich fasst alle Ziele innerhalb der Dimensionen auf ein Blatt zusammen und liefert somit einen komprimierten Überblick über die in Ulm laufenden Aktivitäten zur Verbesserung der Integration: transparent, nachvollziehbar und messbar. Mit Hilfe der gesammelten Informationen aus der BIC lässt sich im Schlussabschnitt der Arbeit nun endlich eine konkrete, auf Fakten basierende Aussage darüber treffen, nicht nur ob Integration in Ulm funktioniert, sondern auch in welchen Bereichen es Fort- oder Rückschritte gibt. Die Ausweitung des Zahlenmaterials auf den Zeitraum von 10 Jahren erlaubt darüber hinaus Aussagen über den längerfristigen Trend. Dadurch ist es möglich festzustellen, wo besonders schnell gehandelt werden muss. Die Ergebnisse selbst sind ernüchternd, erschreckend und verlangen schnelles Handeln seitens der Politik, um (weitere) gesellschaftliche Schäden zu verhindern. Die BIC ist hierbei von entscheidender Bedeutung, denn sie liefert Auskunft darüber, wo gehandelt werden muss und ob die Maßnahmen greifen. Es liegt jetzt an der Politik, letzten Endes aber auch an uns allen, diese Information der BIC umzusetzen und endlich mit der Integration ernst zu machen. Inhaltsverzeichnis: Inhaltsverzeichnis EINLEITUNG:ICHBINAUSLÄNDER!4 KAPITEL I.AUSGANGSLAGE:DEUTSCHLAND,EINEINWANDERUNGSLAND8 HETEROGENE BEVÖLKERUNGSSTRUKTUR IN DEUTSCHLAND8 URSACHENFORSCHUNG: MIGRATION12 Die räumliche Dimension der Migration13 Die Binnenwanderung13 Internationale Wanderung15 Die zeitliche Dimension der Migration16 Die kausale Dimension der Migration17 ERKLÄRUNGSANSATZ ZUR MIGRATION: DAS PUSH-PULL-FAKTORENMODELL20 Freiwillige Migration: die Pull-Faktoren25 Erzwungene Migration: die Push-Faktoren26 Krieg26 Armut27 Kindersterblichkeit, Hunger und medizinischer Notstand29 Umweltkatastrophen32 Umweltflüchtlinge – die vergessenen Opfer33 Ursachen der Umweltmigration34 Deposition34 Degradation34 Desaster37 Destabilisierung39 ZUSAMMENFASSUNG,FAZITUNDAUSBLICK41 KAPITEL II.FOKUS:INTEGRATION44 EXKURS.DIEKOSTENDERNICHT-INTEGRATION44 Die nicht monetären Aspekte eines Scheiterns der Integration44 Der finanzielle Aspekt der Nicht-Integration45 Begriffsbestimmung: Akkulturation48 Integration49 Assimilation50 Separation50 Exklusion50 Zusammenfassung51 Internationale Politik und interreligiöser Dialog52 Weltpolitische Einflussfaktoren auf die kommunale Integrationsarbeit52 Das Exklusionsmodell57 KAPITEL III.STATUS:INTEGRATIONSPOLITIKINDEUTSCHLAND59 VON DER NICHTAKZEPTANZGESELLSCHAFTLICHER REALITÄT.60 Die Anwerbephase60 Die Konsolidierungsphase62 Die Phase der Integrationskonzepte63 Die Phase der Begrenzungspolitik64 Die Phase der restriktiven gesetzlichen Regelungen64 ZUR ZÖGERNDEN ANERKENNUNG DER TATSACHEN66 Die Reform des Staatsangehörigkeitgesetztes66 Die Reform des Zuwanderungsgesetzes67 KAPITEL IV.ORTDERENTSCHEIDUNG:DIEKOMMUNEN70 DIEKOMMUNEALS"ROBUSTEINTEGRATIONSMASCHINE"70 Kommune als Primus inter Pares in der kommunalen Integrationspolitik71 Institutioneller Handlungsrahmen für Kommunen72 Kommunale Ressourcen für Integration73 Der Wiener Integrationsfonds: ein Bekenntnis zur Integration80 Beispielprojekt "Besiedlungsmanagement"84 Beispielprojekt "Sprachoffensive"85 Beispielprojekt "Bildungsdrehscheibe – Alles ist LERNBAR"87 DIVERSITY UND DIVERSITY MANAGEMENT88 BEURTEILUNG UND AUSBLICK95 ZWISCHENBETRACHTUNG.WELCHEAUFGABENGILTESZUBEWÄLTIGEN?97 KAPITELV.LÖSUNGSANSATZ:DIEBALANCEDSCORECARDIMCONTROLLINGREGELKREIS100 DEFINITION CONTROLLING100 Die Vision101 Die Mission102 Die Umfeld und Unternehmensanalyse: SWOT103 Die Strategiefindung104 Die operative Umsetzung: Ziele, Maßnahmen und Erfolgsmessung106 HISTORIE UND ZIELSETZUNG DER BALANCED SCORECARD107 Die Finanzperspektive109 Die Kundenperspektive109 Die interne Prozess-Perspektive110 Die Lern- und Entwicklungsperspektive110 Das Projekt-Definitionsblatt: Übersicht ist alles115 EXKURS.GRAPHISCHEDARSTELLUNGDERBALANCEDSCORECARD116 ZUSAMMENFASSUNG.VORTEILEDERBALANCEDSCORECARD117 KAPITELVI.EINWURF:ISTINTEGRATIONÜBERHAUPTSTEUERBAR?118 INTEGRATION MIT DEM HERZEN… ODER WAS MANN NICHT MESSEN KANN118 KAPITEL VII.SEITENBLICKE: CONTROLLING UND DIE BALANCED SCORECARD AUßERHALB DER FREIEN WIRTSCHAFT – EIN KONZEPT SETZT SICH DURCH128 DIE BALANCED SCORECARD FÜR NON-PROFIT-ORGANISATIONEN128 Die BSC in der öffentlichen Verwaltung129 Beispiel: Die City-Scorecard der Stadt Charlotte130 Die Gender Scorecard des Kulturwirtschaftlichen Gründerzentrums in Bochum132 WEITERE BEISPIELE UND ANREGUNGEN133 KAPITEL VIII.LÖSUNGSANSATZ: DIE BALANCED INTEGRATION CARD FÜR ULM136 Die Kontaktstelle für ausländische Bürgerschaft: Ulm bekennt sich zu seiner Heterogenität138 Ulms Vision: Vom friedlichen und gleichberechtigten Zusammenleben aller Bürger140 Die externe Analyse: Chancen und Risiken im Integrationsumfeld142 Das Migrationsumfeld142 Das wirtschaftliche Umfeld143 Das demographische Umfeld144 Das soziale Umfeld147 Das schulische und wissenschaftliche Umfeld147 Die interne Analyse: Stärken und Schwächen der Ulmer Integrationspolitik148 Stärken: Erfahrung, Kompetenz und Heterogenität148 Schwächen: Angespannte Finanzressourcen und mangelnder Sinn für die Querschnittaufgabe Integration148 Strategiefindung: Nicht kleckern, klotzen!150 Strategieausformulierung und die Dimensionen der BIC151 Vernetzung der strategischen Stoßrichtungen: die Strategy Map160 EINWURF: ABER WO BLEIBT DENN DIE RELIGION?164 DIE TERRORISTEN MISSBRAUCHEN IHREN EIGENEN GLAUBEN!165 RELIGION IST PRIVATSACHE!166 RELIGION DARF KEIN TRENNENDER FAKTOR SEIN!166 MISSBRAUCH DER RELIGION IST DAS LETZTE GLIED IN EINER KETTE VON FEHLERN!167 Ziele, Maßnahmen und Kennzahlen: Das Herzstück der BIC168 Die BIC Dimension Sprache169 Die BIC Dimension (Aus)Bildung173 Die BIC Dimension Arbeit176 Die BIC Dimension Sozialisation179 Die Interne BIC-Perspektive186 ZUSAMMENFASSUNG, FAZIT UND SCHLUSSBEMERKUNG192 ANHANG.196 WEITERFÜHRENDE GEDANKEN UND MÖGLICHE FORSCHUNGSSCHWERPUNKTE196 WENN AUSLÄNDER DEUTSCHE WERDEN: STATISTIKPROBLEME196 MANAGING BY THE NUMBER: ÜBER ZEITREIHENANALYSEN UND BENCHMARKING197 GELUNGENE INTEGRATION KANN DER STARTSCHUSS FÜR NEUE PROBLEME SEIN199 "FRÜHWARNSYSTEM" AUSLÄNDER202 DIE VERZAHNUNG VON BALANCED SCORECARDS – ODER WIE MAN INTEGRATION AUF MEHREREN EBENEN ANGEHT204 DAS PROJEKT-DEFINITIONSBLATT: EINEVORLAGE207 DANKSAGUNG208 LITERATURVERZEICHNIS209Inhaltsverzeichnis:Inhaltsverzeichnis: Inhaltsverzeichnis EINLEITUNG:ICHBINAUSLÄNDER!4 KAPITEL I.AUSGANGSLAGE:DEUTSCHLAND,EINEINWANDERUNGSLAND8 HETEROGENE BEVÖLKERUNGSSTRUKTUR IN DEUTSCHLAND8 URSACHENFORSCHUNG: MIGRATION12 Die räumliche Dimension der Migration13 Die Binnenwanderung13 Internationale Wanderung15 Die zeitliche Dimension der Migration16 Die kausale Dimension der Migration17 ERKLÄRUNGSANSATZ ZUR MIGRATION: DAS PUSH-PULL-FAKTORENMODELL20 Freiwillige Migration: die Pull-Faktoren25 Erzwungene Migration: die Push-Faktoren26 Krieg26 Armut27 Kindersterblichkeit, Hunger und medizinischer Notstand29 Umweltkatastrophen32 Umweltflüchtlinge – die vergessenen Opfer33 Ursachen der Umweltmigration34 Deposition34 Degradation34 Desaster37 Destabilisierung39 ZUSAMMENFASSUNG,FAZITUNDAUSBLICK41 KAPITEL II.FOKUS:INTEGRATION44 EXKURS.DIEKOSTENDERNICHT-INTEGRATION44 Die nicht monetären Aspekte eines Scheiterns der Integration44 Der finanzielle Aspekt der Nicht-Integration45 Begriffsbestimmung: Akkulturation48 Integration49 Assimilation50 Separation50 Exklusion50 Zusammenfassung51 Internationale Politik und interreligiöser Dialog52 Weltpolitische Einflussfaktoren auf die kommunale Integrationsarbeit52 Das Exklusionsmodell57 KAPITEL III.STATUS:INTEGRATIONSPOLITIKINDEUTSCHLAND59 VON DER NICHTAKZEPTANZGESELLSCHAFTLICHER REALITÄT.60 Die Anwerbephase60 Die Konsolidierungsphase62 Die Phase der Integrationskonzepte63 Die Phase der Begrenzungspolitik64 Die Phase der restriktiven gesetzlichen Regelungen64 ZUR ZÖGERNDEN ANERKENNUNG DER TATSACHEN66 Die Reform des Staatsangehörigkeitgesetztes66 Die Reform des Zuwanderungsgesetzes67 KAPITEL IV.ORTDERENTSCHEIDUNG:DIEKOMMUNEN70 DIEKOMMUNEALS"ROBUSTEINTEGRATIONSMASCHINE"70 Kommune als Primus inter Pares in der kommunalen Integrationspolitik71 Institutioneller Handlungsrahmen für Kommunen72 Kommunale Ressourcen für Integration73 Der Wiener Integrationsfonds: ein Bekenntnis zur Integration80 Beispielprojekt "Besiedlungsmanagement"84 Beispielprojekt "Sprachoffensive"85 Beispielprojekt "Bildungsdrehscheibe – Alles ist LERNBAR"87 DIVERSITY UND DIVERSITY MANAGEMENT88 BEURTEILUNG UND AUSBLICK95 ZWISCHENBETRACHTUNG.WELCHEAUFGABENGILTESZUBEWÄLTIGEN?97 KAPITELV.LÖSUNGSANSATZ:DIEBALANCEDSCORECARDIMCONTROLLINGREGELKREIS100 DEFINITION CONTROLLING100 Die Vision101 Die Mission102 Die Umfeld und Unternehmensanalyse: SWOT103 Die Strategiefindung104 Die operative Umsetzung: Ziele, Maßnahmen und Erfolgsmessung106 HISTORIE UND ZIELSETZUNG DER BALANCED SCORECARD107 Die Finanzperspektive109 Die Kundenperspektive109 Die interne Prozess-Perspektive110 Die Lern- und Entwicklungsperspektive110 Das Projekt-Definitionsblatt: Übersicht ist alles115 EXKURS.GRAPHISCHEDARSTELLUNGDERBALANCEDSCORECARD116 ZUSAMMENFASSUNG.VORTEILEDERBALANCEDSCORECARD117 KAPITELVI.EINWURF:ISTINTEGRATIONÜBERHAUPTSTEUERBAR?118 INTEGRATION MIT DEM HERZEN… ODER WAS MANN NICHT MESSEN KANN118 KAPITEL VII.SEITENBLICKE: CONTROLLING UND DIE BALANCED SCORECARD AUßERHALB DER FREIEN WIRTSCHAFT – EIN KONZEPT SETZT SICH DURCH128 DIE BALANCED SCORECARD FÜR NON-PROFIT-ORGANISATIONEN128 Die BSC in der öffentlichen Verwaltung129 Beispiel: Die City-Scorecard der Stadt Charlotte130 Die Gender Scorecard des Kulturwirtschaftlichen Gründerzentrums in Bochum132 WEITERE BEISPIELE UND ANREGUNGEN133 KAPITEL VIII.LÖSUNGSANSATZ: DIE BALANCED INTEGRATION CARD FÜR ULM136 Die Kontaktstelle für ausländische Bürgerschaft: Ulm bekennt sich zu seiner Heterogenität138 Ulms Vision: Vom friedlichen und gleichberechtigten Zusammenleben aller Bürger140 Die externe Analyse: Chancen und Risiken im Integrationsumfeld142 Das Migrationsumfeld142 Das wirtschaftliche Umfeld143 Das demographische Umfeld144 Das soziale Umfeld147 Das schulische und wissenschaftliche Umfeld147 Die interne Analyse: Stärken und Schwächen der Ulmer Integrationspolitik148 Stärken: Erfahrung, Kompetenz und Heterogenität148 Schwächen: Angespannte Finanzressourcen und mangelnder Sinn für die Querschnittaufgabe Integration148 Strategiefindung: Nicht kleckern, klotzen!150 Strategieausformulierung und die Dimensionen der BIC151 Vernetzung der strategischen Stoßrichtungen: die Strategy Map.160 EINWURF: ABER WO BLEIBT DENN DIE RELIGION?164 DIE TERRORISTEN MISSBRAUCHEN IHREN EIGENEN GLAUBEN!165 RELIGION IST PRIVATSACHE!166 RELIGION DARF KEIN TRENNENDER FAKTOR SEIN!166 MISSBRAUCH DER RELIGION IST DAS LETZTE GLIED IN EINER KETTE VON FEHLERN!167 Ziele, Maßnahmen und Kennzahlen: Das Herzstück der BIC168 Die BIC Dimension Sprache169 Die BIC Dimension (Aus)Bildung173 Die BIC Dimension Arbeit176 Die BIC Dimension Sozialisation179 Die Interne BIC-Perspektive186 ZUSAMMENFASSUNG, FAZIT UND SCHLUSSBEMERKUNG192 ANHANG.196 WEITERFÜHRENDE GEDANKEN UND MÖGLICHE FORSCHUNGSSCHWERPUNKTE196 WENN AUSLÄNDER DEUTSCHE WERDEN: STATISTIKPROBLEME196 MANAGING BY THE NUMBER: ÜBER ZEITREIHENANALYSEN UND BENCHMARKING197 GELUNGENE INTEGRATION KANN DER STARTSCHUSS FÜR NEUE PROBLEME SEIN199 "FRÜHWARNSYSTEM" AUSLÄNDER202 DIE VERZAHNUNG VON BALANCED SCORECARDS – ODER WIE MAN INTEGRATION AUF MEHREREN EBENEN ANGEHT204 DAS PROJEKT-DEFINITIONSBLATT: EINEVORLAGE207 DANKSAGUNG208 LITERATURVERZEICHNIS209Textprobe:Textprobe: Kapitel II., Exkurs: Die Kosten der Nicht-Integration: Bevor ich mich nun näher mit der Begriffsbestimmung für Integration beschäftigen werde, möchte ich noch einen Exkurs in ein wichtiges Thema wagen: die Kosten der Nicht-Integration. Wie wir gesehen haben – und viele von uns ja in der Praxis auch wahrnehmen – ist Integration ein äußerst schwieriger und laufend andauernder Prozess. Altkanzler Helmut Schmidt spricht aufgrund dieser Schwierigkeiten mit der Integration heute sogar offen darüber, dass er "die Anwerbung von Gastarbeitern bedauert. (…). Insofern war es ein Fehler, dass wir zu Beginn der 60er Jahre Gastarbeiter aus fremden Kulturen ins Land holten." Wenn es aber nun so schwierig ist (manche meinen: unmöglich), die Einheimischen und die Migranten zu einer gemeinsamen, gleichberechtigte Gesellschaft zu integrieren, könnte man doch lapidar – und zweifelsohne wenig politisch korrekt - die Frage stellen: warum verwenden wir dann Ressourcen darauf? Warum Geld und Arbeit, Gefühle und Herzblut, warum Kopfzerbrechen und Vertrauen investieren, wenn der erfolgreiche Ausgang gar nicht sicher ist? Warum lassen wir den Dingen nicht einfach (weiterhin) ihren Lauf? Die Antwort darauf möchte ich im Folgenden versuchen zu geben. Die nicht-monetären Aspekte eines Scheiterns der Integration Der wichtigste Aspekt für das Eintreten in Sachen Integration ist der des (inneren) Friedens. Nur wenn es uns allen gelingt, in einer Gesellschaft zu leben, in der niemand aufgrund seiner Hautfarbe, seiner Herkunft oder seiner Religion diskriminiert wird, werden wir den inneren Frieden wahren können. Sobald sich eine Gruppe von Mitmenschen systematisch benachteiligt fühlt, wird sie sich abkapseln und die geltenden Normen, Rechte und Gesetzte nicht weiter beachten. Kriminalität und Gewalt, bis hin zur bewaffneten Auseinandersetzung könnten die Folge sein. Das Beispiel des Zerfalls von Jugoslawien – direkt vor Europas Haustür! – sollte uns alle daran erinnern, dass das Zusammenleben verschiedener Ethnien und Religionsgemeinschaften jeden Tag neu erarbeitet werden muss. Überspitzt formuliert, aber keinesfalls unzutreffend könnte man also sagen, wer Integrationsarbeit leistet, macht sich um den Frieden verdient. Ein weiterer Aspekt ist der der Wahrheit bzw. der Redlichkeit: es waren wir Deutschen, die die Ausländer regelrecht angeworben haben. Wir haben sie zu uns ins Land geholt, weil es bei uns Arbeitsplätze zu besetzen gab, die wir selbst nicht ausführen wollten: schmutzige, dreckige, erniedrigende Arbeit, für die ein Deutscher doch "viel zu gut" war. Diesen Menschen bzw. deren Kindern und Enkelkindern jetzt einen gleichberechtigten Zugang in die verschiedenen Bereiche unserer Gesellschaft (Bildung, Arbeit, Vereinsleben, etc.) zu ermöglichen, ist das Mindeste was wir tun können. Sich jetzt vor dem Problem der Integration zu verschließen, hieße die selbst verursachten Probleme nicht angehen zu wollen. Wer noch immer die Augen vor diesen Argumenten verschließt, ist ein egoistischer, kühl kalkulierender Mensch. Doch auch und gerade an diese Mitbürger möchte ich appellieren: Integration lohnt sich – im wahrsten Sinne des Wortes! Wie das gemeint ist, erläutere ich im nun folgenden Abschnitt. Der finanzielle Aspekt der Nicht-Integration "Eine Investition in Wissen bringt immer noch die besten Zinsen" (Benjamin Franklin, amerikanischer Politiker, Erfinder, Philosoph). Angesichts der schwierigen Probleme, die bei laufenden Integrationsbemühungen immer wieder zu konstatieren sind, stellt sich verstärkt die Frage nach den finanziellen Kosten eines Scheiterns der Integration. Natürlich darf Zuwanderung nicht allein auf monetäre Gewinne oder Verluste reduziert werden – schon gar nicht dürfen wir bei uns lebende Migranten nach ihrem wirtschaftlichen Nutzen oder Schaden beurteilen (und alle anderen Mitbürger natürlich auch nicht). Trotzdem ist eine volkswirtschaftliche Betrachtung der (Nicht) Integration in so fern zulässig, als sie uns Aufschluss über die Dringlichkeit der Aufgabe zu geben vermag. Hierzu finden sich in der Literatur verschiedene Quellen. Autoren wie Göbel oder Dr. Hans Dietrich von Loeffelholz betrachten den Bildungsstand der Migranten und die daraus resultierenden Chancen und Positionen auf dem Arbeitsmarkt. Beide haben in ihren Untersuchungen lediglich Westdeutschland analysiert, was in meinen Augen die Aussagekraft des Ergebnisses für Gesamtdeutschland aufgrund der extrem niedrigen Ausländeranteile der neuen Bundesländer nicht wesentlich beeinträchtigen dürfte.
Abstract.We analyze voluntary coalition formation using a unique panel data for 1,056 municipalities in the French region of Brittany between 1995 and 2002. We use a control function approach to develop a binary discrete choice model with spatial interactions. We find that a municipality's decision to cooperate over the provision local public goods depends on the decisions of its neighbours. Comparison with spatial econometrics models (SAR and Durbin) shows that the decision to cooperate is over estimated by these more traditional models. The results are in line with the recent applied spatial economics literature but are derived for a discrete choice model setting.
Volume 1 of 2 (601 p.), 23 cm. ; Filisola was an Italian-born soldier who fought in Mexico's war of independence from Spain, rising through the ranks and ultimately commanding the force which liberated Mexico City in 1821. He served in Guatemala during the period of Iturbide's annexation of that country and in various other capacities in the years before the revolution in Texas, where he was Santa Anna's second in command. The first volume of his memoirs describes the frontier-like state of the northern provinces, the constant warfare with the Comanches and other tribes, the effect on Texas of the war with Spain, and the controversial decision to allow Anglo settlers and their families to repopulate the mission towns. Filisola analyses the unexpected consequences of the Anglo influx, including the rise in criminal activities such as smuggling, a growing resistance to the central authority in Mexico City, and the various demands for greater autonomy in matters of taxation and the raising of militias. The reorganization of the Mexican Army is discussed, and there are descriptions of the personalities involved on both sides of the coming conflict, including Stephen F. Austin and Santa Anna.
In: Yanovskiy M, Socol Y. Are Lockdowns Effective in Managing Pandemics?; Int J Environ Res Public Health. 2022 Jul 29;;19(;15);:;9295 (;2022);. doi:; 10.3390/;ijerph19159295.
In: Butnaru, G.I.; Haller, A.-P.; Dragolea, L.-L.; Anichiti, A.; Tacu Hârs, an, G.-D. Students'Wellbeing during Transition from Onsite to Online Education: Are There Risks Arising from Social Isolation? Int. J. Environ. Res. Public Health 2021, 18, 9665. https://doi.org/10.3390/ ijerph18189665
In: Bollig, Michael (2016). Towards an Arid Eden? Boundary-making, governance and benefit-sharing and the political ecology of the new commons of Kunene Region, Northern Namibia. Int. J. Commons, 10 (2). S. 771 - 800. URTRECHT: IGITUR, UTRECHT PUBLISHING & ARCHIVING SERVICES. ISSN 1875-0281
Over the last two decades many sub-Saharan African countries have devolved rights and obligations in rural natural resource management from state to local communities in an effort to foster social-ecological sustainability and economic development at the same time. Often these governmental projects were launched in settings in which traditional commons, informed by both the demands of traditional subsistence-orientated agrarian systems and the tenure policies of colonial and postcolonial states were well established, and in which power struggles between rivaling traditional authorities, between seniors and juniors, and between state agents and local communities were pertinent. These moves were also embedded in (partially contradictory) discourses on decentralization, political participation, economic empowerment, and neo-liberally inspired commoditization of natural resources. In the process of devolvement rights and obligations were handed over to communities which were formalized in the process: formal membership, social and spatial boundaries, elected leadership, established models of governance, and accountability both to the wider community and to state bureaucracy. New commons1 were established around specified resources: pastures, water, forests, game. In the process these resources were (partially) commoditized: game owned by the community could be sold as trophies for hunting, lands could be rented out to private investors, and water had to be paid for. This contribution is intended to shed light on the process of establishing new commons - in the local context named conservancies - of game management in north-western Namibia. Game on communal lands had been state-owned and state-controlled in the colonial past. This did not preclude poaching but certainly inhibited significant degrees of commoditization. The new commons of game management are meant to do exactly this, in two steps: first specific rights (in this case management rights and transfer rights) are devolved to a well-defined community; then this community (or its committee) decides how to put the newly gained rights to good use and transfers such rights to private investors, tourism entrepreneurs and commercial hunters. While the first step is informed by discourses on participation and co-management, the second step is market-oriented and seeks so-called public-private partnerships.
In: Wilkitzki, Peter (2011). German Government Not Obliged to Seek Extradition of CIA Agents for 'Extraordinary Rendition' Comments on the El-Masri Judgment of the Cologne Administrative Court. J. Int. Crim. Justice, 9 (5). S. 1117 - 1128. OXFORD: OXFORD UNIV PRESS. ISSN 1478-1387
In a recent decision, which in different respects opens up new lines of enquiry, the Administrative Court of Cologne (Verwaltungsgericht Koln) dismissed an action by which the plaintiff sought to oblige Germany to request the extradition of 13 CIA agents involved in his 'extraordinary rendition' from the United States. This article describes the history of the case that has been met with great interest in the press and in legal circles, and analyses the reasoning of the Court on the admissibility and merits of the case.