Suchergebnisse

International audience ; The forms taken by protest policing in France largely reflect macro-economic policies: on the one hand, the late but profound deindustrialisation and, on the other, the slow then abrupt imposition of a so-called "new social compromise", that of the neoliberal order.If we draw a parallel history of policing and economic policies, we can first distinguish a period of pacification of the relationship with demonstrations (1970s-1990s), against a background of social compromise but slow deindustrialisation, followed by a stiffening of the relationship with the crowds, against the backdrop of the exacerbation of the urban crisis (2000s), before a real brutalisation, against the backdrop of a real neoliberal turn, notably during the "Macron years". ; Les formes que prend le maintien de l'ordre en France sont pour une grande part le reflet des politiques macro-économiques : d'un côté, la tardive mais profonde désindustrialisation et, de l'autre, la lente puis abrupte imposition d'un « nouveau compromis social », celui de l'ordre néolibéral. Car si l'on fait une histoire parallèle du maintien de l'ordre et des politiques économiques, on distingue d'abord une période de pacification du rapport aux manifestations (années 1970-1990), sur fond de compromis social mais de lente désindustrialisation, période suivie d'un progressif démantèlement de la pacification du rapport aux foules, sur fond d'exacerbation de la crise urbaine (années 2000), avant une vraie brutalisation, sur fond de vraie politique néolibérale, notamment durant « les années Macron ».

International audience ; The forms taken by protest policing in France largely reflect macro-economic policies: on the one hand, the late but profound deindustrialisation and, on the other, the slow then abrupt imposition of a so-called "new social compromise", that of the neoliberal order.If we draw a parallel history of policing and economic policies, we can first distinguish a period of pacification of the relationship with demonstrations (1970s-1990s), against a background of social compromise but slow deindustrialisation, followed by a stiffening of the relationship with the crowds, against the backdrop of the exacerbation of the urban crisis (2000s), before a real brutalisation, against the backdrop of a real neoliberal turn, notably during the "Macron years". ; Les formes que prend le maintien de l'ordre en France sont pour une grande part le reflet des politiques macro-économiques : d'un côté, la tardive mais profonde désindustrialisation et, de l'autre, la lente puis abrupte imposition d'un « nouveau compromis social », celui de l'ordre néolibéral. Car si l'on fait une histoire parallèle du maintien de l'ordre et des politiques économiques, on distingue d'abord une période de pacification du rapport aux manifestations (années 1970-1990), sur fond de compromis social mais de lente désindustrialisation, période suivie d'un progressif démantèlement de la pacification du rapport aux foules, sur fond d'exacerbation de la crise urbaine (années 2000), avant une vraie brutalisation, sur fond de vraie politique néolibérale, notamment durant « les années Macron ».

International audience ; The forms taken by protest policing in France largely reflect macro-economic policies: on the one hand, the late but profound deindustrialisation and, on the other, the slow then abrupt imposition of a so-called "new social compromise", that of the neoliberal order.If we draw a parallel history of policing and economic policies, we can first distinguish a period of pacification of the relationship with demonstrations (1970s-1990s), against a background of social compromise but slow deindustrialisation, followed by a stiffening of the relationship with the crowds, against the backdrop of the exacerbation of the urban crisis (2000s), before a real brutalisation, against the backdrop of a real neoliberal turn, notably during the "Macron years". ; Les formes que prend le maintien de l'ordre en France sont pour une grande part le reflet des politiques macro-économiques : d'un côté, la tardive mais profonde désindustrialisation et, de l'autre, la lente puis abrupte imposition d'un « nouveau compromis social », celui de l'ordre néolibéral. Car si l'on fait une histoire parallèle du maintien de l'ordre et des politiques économiques, on distingue d'abord une période de pacification du rapport aux manifestations (années 1970-1990), sur fond de compromis social mais de lente désindustrialisation, période suivie d'un progressif démantèlement de la pacification du rapport aux foules, sur fond d'exacerbation de la crise urbaine (années 2000), avant une vraie brutalisation, sur fond de vraie politique néolibérale, notamment durant « les années Macron ».

International audience ; The forms taken by protest policing in France largely reflect macro-economic policies: on the one hand, the late but profound deindustrialisation and, on the other, the slow then abrupt imposition of a so-called "new social compromise", that of the neoliberal order.If we draw a parallel history of policing and economic policies, we can first distinguish a period of pacification of the relationship with demonstrations (1970s-1990s), against a background of social compromise but slow deindustrialisation, followed by a stiffening of the relationship with the crowds, against the backdrop of the exacerbation of the urban crisis (2000s), before a real brutalisation, against the backdrop of a real neoliberal turn, notably during the "Macron years". ; Les formes que prend le maintien de l'ordre en France sont pour une grande part le reflet des politiques macro-économiques : d'un côté, la tardive mais profonde désindustrialisation et, de l'autre, la lente puis abrupte imposition d'un « nouveau compromis social », celui de l'ordre néolibéral. Car si l'on fait une histoire parallèle du maintien de l'ordre et des politiques économiques, on distingue d'abord une période de pacification du rapport aux manifestations (années 1970-1990), sur fond de compromis social mais de lente désindustrialisation, période suivie d'un progressif démantèlement de la pacification du rapport aux foules, sur fond d'exacerbation de la crise urbaine (années 2000), avant une vraie brutalisation, sur fond de vraie politique néolibérale, notamment durant « les années Macron ».

International audience ; The forms taken by protest policing in France largely reflect macro-economic policies: on the one hand, the late but profound deindustrialisation and, on the other, the slow then abrupt imposition of a so-called "new social compromise", that of the neoliberal order.If we draw a parallel history of policing and economic policies, we can first distinguish a period of pacification of the relationship with demonstrations (1970s-1990s), against a background of social compromise but slow deindustrialisation, followed by a stiffening of the relationship with the crowds, against the backdrop of the exacerbation of the urban crisis (2000s), before a real brutalisation, against the backdrop of a real neoliberal turn, notably during the "Macron years". ; Les formes que prend le maintien de l'ordre en France sont pour une grande part le reflet des politiques macro-économiques : d'un côté, la tardive mais profonde désindustrialisation et, de l'autre, la lente puis abrupte imposition d'un « nouveau compromis social », celui de l'ordre néolibéral. Car si l'on fait une histoire parallèle du maintien de l'ordre et des politiques économiques, on distingue d'abord une période de pacification du rapport aux manifestations (années 1970-1990), sur fond de compromis social mais de lente désindustrialisation, période suivie d'un progressif démantèlement de la pacification du rapport aux foules, sur fond d'exacerbation de la crise urbaine (années 2000), avant une vraie brutalisation, sur fond de vraie politique néolibérale, notamment durant « les années Macron ».

AbstractThis article reports on a study of children's experiences of being physically restrained by staff in a range of custodial settings. The research was carried out in collaboration with a team of young researchers, and generated rich and insightful accounts of children's experiences of legitimised violence in the form of 'restraint'. These lead us to reflect on whether this is a normal and justifiable feature of custody, or as oppressive and unacceptable to the extent that it represents a form of brutalisation, and an unnecessary, unjustifiable and repressive form of control, where the rights of children are routinely transgressed.

During the last weeks, a group of Greek anarchists that go by the name of Rubicon has attacked the Council of State and a number of other public buildings. So pervasive is the activity of this group of disruptors that it has become the background to a new normality in Greece. Rubicon is not a terrorist group, it is not a political party, it is not a group of vigilante Robin Hoods. It is the symptom of a disease. The disease is the brutalisation of a frustrated, enraged society that hates everyone and also hates itself.

Depuis la fin de la Guerre froide, un important courant historiographique a proposé une analyse du passé européen profondément renouvelée, nous invitant à repenser l'histoire du vieux continent sous un jour nettement plus sombre. Toutefois les notions de « cultures de guerre » et de « brutalisation » mis en valeur par ces travaux historiques récents ne peuvent dispenser les historiens d'évaluer le rôle tenu par les imaginaires et les pratiques de paix dans les sociétés européennes des XIXe-XXe siècle et de déterminer ainsi les contours d'une « culture de paix » en Europe à l'époque contemporaine.

This article describes the brutalisation of the bodies of Tutsi and Jewish victims in
1994 and during the Second World War, respectively, and contrasts the procedures adopted
by killers to understand what these deadly practices say about the imaginaries at work in
Rwanda and Poland. Dealing with the infernalisation of the body, which eventually becomes
a form of physical control, this comparative work examines the development of groups and
communities of killers in their particular social and historical context. Different
sources are used, such as academic works, reports from victims organisations and
non-governmental organisations, books, testimonies and film documentaries.

Gewalt an Schulen wird regelmäßig skandalisiert und erscheint oftmals als Symptom einer allgemeinen Verrohung von Gesellschaft. Demgegenüber haben viele Historiker/innen gerade die Schule in das Zentrum einer Zivilisierungsgeschichte der westdeutschen Gesellschaft seit 1945 gestellt. Der Beitrag nimmt diesen Deutungswiderspruch zum Ausgangspunkt einer Analyse schulischer Gewalt zwischen den frühen 1970er-Jahren und der Jahrtausendwende. Vorgeschlagen wird eine neue Lesart, die den Gegensatz der konkurrierenden Thesen von Gewaltzunahme und Gewaltabnahme aufhebt und stattdessen die sich wandelnden Vorstellungen dessen untersucht, was »Gewalt« eigentlich sei und wie sie überwunden werden könne. Seit den 1970er-Jahren mehrten sich die Arten von Gewalt, die mit Schule in Verbindung gebracht wurden. Eine Sensibilisierung gegenüber sehr unterschiedlichen Gewaltphänomenen war verbunden mit neuen Ansprüchen an Schule und schulische Kommunikation – Erwartungen, die von Lehrer/innen und Eltern als Fortschritt erfahren werden konnten, aber auch als Zumutung und Überforderung. ; In public discourse, school violence is often sensationalised and associated with a worrisome brutalisation of society. Many historians, on the other hand, see schools as the locus of the general civilisation of West German society after National Socialism. Taking these contradicting views as a starting point, the article examines school violence between the early 1970s and the turn of the century. It proposes going beyond the competing theses of brutalisation and civilisation and taking a more in-depth look at the changing conceptions of what ›violence‹ actually is and how it can be overcome. Since the 1970s, the forms of violence associated with schools have multiplied. The discovery of ever more varied shapes and shades of violence was intimately linked to new ideas and programmes seeking to abolish violence in the schools and classrooms. At the same time, however, these new initiatives drastically increased the demands on schools and educators. Some teachers and parents experienced the new demands positively, as part of a quest for a new democratic form of schooling, but many of them also felt increasingly steamrolled and overwhelmed by the task of freeing education from violence.

Heuser, B.: Atrocities in theory and practice: an introduction. - S- 2-28Benest, D.: A liberal democratic state and COIN: the case of Britain, or why atrocities can still happen. - S. 29-48 Frémeaux, J.: The French experience in Algeria: doctrine, violence and lessons learned. - S. 49-62 Shamir, E.: From retaliation to open bridges: Moshe Dayan's evolving approach toward the population in counter insurgency. - S. 63-79 Reis, B. C. ; Oliveira, P. A.: Cutting heads or winning hearts: late colonial Portuguese counterinsurgency and the Wiriyamu massacre of 1972. - S. 80-103 Mitton, K.: Irrational actors and the process of brutalisation: understanding atrocity in the Sierra Leonean conflict (1991-2002). - S. 104-122 Walton, C. D.: Victory through villainization: atrocity, global opinion, and insurgent strategic advantage. - S. 123-140

"Home SOS argues that the home is central to the violence and gendered contingency of existence in crisis ordinary Cambodia. Based on over 300 interviews and conducted over 15 years, this book focuses on women's experiences of survival-work in (un)eventful situations of domestic violence and forced eviction. Charting the journey of Cambodia's first-ever domestic violence law, alongside women's housing activism against forced eviction, Home SOS explores how the political economy of the country has conspired to limit - and in some cases quash - the transformative potential that each might hold. Together, domestic violence and forced eviction are shown to be interrelated oppressions and brutalisations of domestic life that gravitate and retrain multiple subfields of geography on to the home sphere as a public-private hybrid worthy of energised study"--

The use of political assassinations against key leaders of liberation movements has had a major impact on the course of history in Africa and the Middle East. Not only have some of the greatest of Third World leaders been killed but so, too, has the hope for political change they embodied. This survey of assassinations carried out by western states and their agents from the 1960s onwards reveals a bloody legacy of killings of leaders from Algeria, Cameroon, Congo, Ghana, Guinea-Bissau, Morocco, Mozambique, Palestine, South Africa, Togo and Zimbabwe – all of which were linked to the interests of western imperialism. Today's daily diet of suicide bombings and the targeting of civilians by both western militaries and jihadis is one consequence, it is suggested, of the brutalisation effected by the policy of political assassination.

Les toutes premières relations que les colonisateurs anglais établirent avec les Powhatans de Virginie au moment où ils débarquèrent à l'emplacement de la future Jamestown se transformèrent rapidement en collision. L'ambition derrière ce mémoire, est d'expliquer cette brutalisation des contacts, en comparant l'entreprise de colonisation de la Virginie avec celle de la Nouvelle-France, dans laquelle la qualité des relations franco-amérindiennes furent souvent mises en avant par différentes générations d'historiens. Une grande partie de ce travail consistera dans une discussion comparative des unités politiques amérindiennes. Il nous a semblé que l'organisation politique développée par les Powhatans de Virginie était plus complexe, entendons socialement stratifiée et politiquement centralisée, que celles développées par les sociétés de l'Amérique plus septentrionale, et de surcroît animée d'une volonté expansionniste ; autant de facteurs qui sont susceptibles d'expliquer le heurt entre la Chefferie amérindienne et la colonie virginienne.

Les toutes premières relations que les colonisateurs anglais établirent avec les Powhatans de Virginie au moment où ils débarquèrent à l'emplacement de la future Jamestown se transformèrent rapidement en collision. L'ambition derrière ce mémoire, est d'expliquer cette brutalisation des contacts, en comparant l'entreprise de colonisation de la Virginie avec celle de la Nouvelle-France, dans laquelle la qualité des relations franco-amérindiennes furent souvent mises en avant par différentes générations d'historiens. Une grande partie de ce travail consistera dans une discussion comparative des unités politiques amérindiennes. Il nous a semblé que l'organisation politique développée par les Powhatans de Virginie était plus complexe, entendons socialement stratifiée et politiquement centralisée, que celles développées par les sociétés de l'Amérique plus septentrionale, et de surcroît animée d'une volonté expansionniste ; autant de facteurs qui sont susceptibles d'expliquer le heurt entre la Chefferie amérindienne et la colonie virginienne.