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Autorità, potere e spirito sono tre categorie che vengono diversamente comprese e articolate. Nello sviluppo dei modelli di capitalismo e nelle varie forme di leadership, la dimensione trascendente (evocata dall'autorità) arretra a favore di quella immanente (che contrassegna il potere), lasciando tuttavia irrisolte questioni cruciali per le organizzazioni e il modello di sviluppo socio-economico, nei loro (imprescindibili) nessi con la dimensione antropologica che il termine 'spirito', in senso weberiano, manifesta. Il testo ripercorre l'evoluzione dei modelli gestionali nelle imprese dentro le diverse forme di capitalismo attorno a tre passaggi temporali: gli albori del capitalismo occidentale moderno, le trasformazioni avvenute nel '900 e soprattutto a inizio del XXI secolo con il capitalismo delle piattaforme, le possibili alternative verso un nuovo spirito del capitalismo. In questi passaggi, l'articolazione 'autorità-potere', nonostante apparentemente irrilevante, in realtà sopravvive mettendo in luce la cruciale questione del riferimento a una dimensione 'spirituale' che riguarda le forme organizzate.

Dans l'après-crise, un nouveau modèle de développement, plus qualitatif et pluridimensionnel, se profile au sein des démocraties occidentales : le capitalisme de la valeur contextuelle. Il s'agit d'un modèle soit économique – centré sur la valorisation des ressources humaines, sociales et environnementales – soit culturel fondé sur les prémisses anthropologiques anti-utilitaristes qui caractérisent la méta-perspective convivialiste. Les épigones de ce modèle sont les entreprises de la valeur contextuelle dont on expose ici les traits en les appelant « génératives », par analogie avec le type d'action sociale – action générative – que leurs études nous a permis de modéliser.

Savoir ce qui fait la valeur d'un animal – et ce qui fait celle d'un humain – est une interrogation au cœur du débat sur la « question animale » à laquelle le paradigme du don permet d'apporter des éléments de réponse. À l'appui d'une recherche en sociologie sur la relation de travail entre éleveurs et animaux, cet article montre que la valeur d'un animal peut être appréhendée à partir de la vie et de la mort que les humains leur donnent. L'investissement des éleveurs dans le travail repose sur un don de la vie bonne aux animaux, qui est à la fois une volonté de légitimation de leur mise à mort pour l'alimentation humaine et un geste de gratitude. La gratitude reconnaît ce que sont les animaux d'élevage – des êtres qui ont une vie à vivre avant d'être tués et de mourir – et ce qu'ils donnent aux hommes : la vie.

Simmel's work has often been interpreted as a succession of disparate phases of development following contradictory epistemological paradigms and intellectual stances. By analysing the 'money or life metaphor' Hans Blumenberg delivered the paradigmatic assessment for the consistency of Simmel's philosophical work. The present paper critically extends this approach in order to understand the meaning of Simmel's life and forms paradigm and shows that its preeminent theoretical contribution concerns sociological theory. From the analysis emerges that Simmel's delivers a consistent alternative to Parson's conception of functional differentiation in form of a theory of qualitative societal differentiation. In this frame, Simmel's critical adoption and transformation of Marx' theory of societal conflict allows for the foundation of an open-end theory of the development of modernity in the different domains of culture.