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Les jeunes, acteurs du politique
In: Agora: débats, jeunesses, Band 2, Heft 1, S. 7-8
ISSN: 1968-3758
Les jeunes gens d'aujourd'hui
In: Acteurs de l'histoire
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Les jeunes, l'armée, la nation
In: Les champs de Mars: revue d'études sur la guerre et la paix, Band 6, Heft 2, S. 37-53
ISSN: 2427-3244
Comme forme d'identité collective et carégorie d'appartenance, la Nation ne suscite pas un fort mouvement d'adhésion de la part des jeunes. Cette distance à l,égard du sentiment d'identité nationale est particulièrement marquée parmi les jeunes d'origine étrangère. Elle ne s'explique pas par un rejet de la société française mais plutôt par une faible identification à la collectivité nationale. ces incertitudes sur le sentiment d'appartenance nationale ne semblent pas avoir de répercussions très marquées sur les attitudes à l'égard de l'armée. Une conception utilitaire de l'armée prend le pas sur la conception patriotique. L'armée est jugée nécessaiie mais peu de jeunes y voient une forme d'accomplissement d'un idéal. Cette attitude pragmatique est assez nerte en ce qui concerne les intentions d'engagement qui sont essentieliement fondées sur des préoccupations matérielles liées au marché de l'emploi.
Les jeunes et le temps
In: Lien social et politiques: revue internationale et interdisciplinaire de sciences humaines consacrée aux thèmes du lien social, de la sociabilité, des problèmes sociaux et des politiques publiques, Heft 43, S. 33-40
ISSN: 1703-9665
L'exploitation des données canadiennes les plus récentes sur l'emploi du temps mène à conclure que l'on peut identifier trois grandes trajectoires chez les jeunes. La première a trait aux usages du temps, relativement spécifiques par rapport aux adultes : importance du temps scolaire, plus de temps libre consacré aux sorties et aux pratiques de sociabilité, davantage d'activités physiques et plus de temps consacré aux activités culturelles. La seconde a trait aux représentations du temps ; à mesure qu'ils avancent en âge, les jeunes s'insèrent progressivement et inéluctablement dans l'ordre temporel adulte; ils apprennent à devoir planifier leur temps, à devenir des bourreaux de travail, à manquer de temps pour leurs loisirs et même à devoir réduire leurs heures de sommeil. On peut ainsi parler de « culture à deux temps ». La troisième trajectoire a trait à la participation à la culture ; en observant la dynamique intergénérationnelle en ce qui concerne les médias et les pratiques culturelles, on constate que des processus importants de renouvellement sont à l'œuvre, portés en grande partie par les jeunes générations d'aujourd'hui.
Les jeunes et la mobilité
In: Empan, Band 67, Heft 3, S. 60-64
Résumé Les travailleurs sociaux s'étonnent parfois des résistances manifestées par les jeunes face aux contraintes de mobilité qu'impose l'économie contemporaine, tout spécialement pour les postes à bas niveau de qualification. Outre les problèmes de logistique et de coût qu'ils rencontrent, de nombreux jeunes n'ont pas de culture de la mobilité (en termes d'envie et/ou de compétence). D'où la nécessité d'une action volontariste, diversifiée et à l'écoute du terrain, pour permettre des changements d'attitude. C'est à cette tâche que s'est attelée la Fédération des maisons de quartier de Saint-Nazaire, pour que les actions en faveur de la mobilité trouvent pleinement leur place dans l'accompagnement des jeunes en difficulté.
Etude sur les jeunes
In: Cahiers du CERES / Série psychologique, 1
Die Studie untersucht die psychologischen Probleme der Jugend im Spannungsfeld zwischen islamisch-arabischer und westlicher Kultur in den Bereichen Eltern-Kind-Beziehung, Schule und gesellschaftsspezifisches Rollenverhalten. (DÜI-Wit)
World Affairs Online
Présentation: Les jeunes québécois : des « nomades » ?
In: Recherches sociographiques, Band 44, Heft 1, S. 19-34
ISSN: 1705-6225
La mobilité géographique n'est pas un phénomène nouveau, mais a pris de l'importance chez les jeunes adultes au cours des dernières décennies. L'ampleur en est d'autant plus apparente qu'elle n'est plus masquée par l'accroissement démographique naturel. Les explications du phénomène ont cependant changé et suivent en cela les tendances sociales de l'époque : qu'il suffise de mentionner la facilité de déplacement favorisée par les moyens de communication de même que la quête de formation et d'expériences liée aux exigences contemporaines d'insertion sociale et professionnelle. Une enquête fut effectuée au Québec au cours des dernières années. Des entretiens ont fourni un riche matériel qualitatif et ont été suivis d'un sondage représentatif de la population auprès de plus de 5 000 individus de 20 à 34 ans. L'analyse de ces données propose plus qu'un constat. Elle constitue une recherche d'explication dont ne rendent plus compte les motifs habituellement évoqués.
L'errance racontée par les jeunes
De nombreux jeunes connaissent et subissent « l'errance ». A Bruxelles, ils sont plusieurs centaines de mineurs et de jeunes majeurs à se retrouver à la rue chaque année. Dans le présent numéro de PAUVéRITé, plusieurs de ces jeunes s'expriment sur le parcours les ayant mené à la rue, les difficultés vécues mais aussi tous les moyens et stratégies qu'ils ont pu ou dû mettre en œuvre pour pouvoir survivre. Ils relatent également leur rapport aux structures d'aide sociale et le délicat passage entre celles dédiées à la jeunesse et celles pour adultes. Tous ces propos sont illustrés, soutenus, appuyés ou nuancés par une lecture sociologique des auteurs.
BASE
L'errance racontée par les jeunes
De nombreux jeunes connaissent et subissent « l'errance ». A Bruxelles, ils sont plusieurs centaines de mineurs et de jeunes majeurs à se retrouver à la rue chaque année. Dans le présent numéro de PAUVéRITé, plusieurs de ces jeunes s'expriment sur le parcours les ayant mené à la rue, les difficultés vécues mais aussi tous les moyens et stratégies qu'ils ont pu ou dû mettre en œuvre pour pouvoir survivre. Ils relatent également leur rapport aux structures d'aide sociale et le délicat passage entre celles dédiées à la jeunesse et celles pour adultes. Tous ces propos sont illustrés, soutenus, appuyés ou nuancés par une lecture sociologique des auteurs.
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Les jeunes collaboratrices et les jeunes collaborateurs face à l'épuration : une justice à part ?
In: Le mouvement social, Band 278, Heft 1, S. 115-135
ISSN: 1961-8646
Cet article se penche sur un groupe d'épurés méconnu : les mineurs accusés de faits de collaboration à la Libération. Grâce à un corpus de 1 300 filles et garçons jugés dans six départements représentatifs de la France sous l'Occupation, l'objectif est d'examiner l'attitude des tribunaux de l'épuration à l'égard des mineurs durant une période où l'État cherche à éloigner les jeunes délinquants de droit commun du droit pénal. Alors que l'ordonnance du 2 février 1945 pose comme principe la primauté de la prévention sur la répression, les pratiques de la justice exceptionnelle de l'épuration s'alignent-elles sur celles de la justice ordinaire ? Pour répondre à cette question et après avoir présenté le visage des justiciables, on étudie successivement la répression judiciaire des jeunes, les faits qui leur sont reprochés et le décalage existant entre les peines prononcées et les peines réellement subies. Limitée au territoire français, l'étude invite enfin à une histoire connectée et transnationale des épurations des mineurs en Europe au sortir de la Seconde Guerre mondiale.
Le cyberharcèlement chez les jeunes
In: Enfance, Band 3, Heft 3, S. 421-439
ISSN: 1969-6981
Nous présentons une synthèse de la littérature internationale sur l'implication des jeunes dans la cyberviolence et le harcèlement. Ces deux phénomènes font l'objet d'études empiriques depuis la fin des années 1990. Leur définition et leurs caractéristiques font toujours l'objet de débats, ce qui influe sur l'étude de la prévalence en termes d'inconsistance quant aux méthodes et phénomènes observés. Toutefois, malgré les écarts d'une étude à l'autre, on ne peut nier l'importance du phénomène dont les conséquences négatives se vérifient au niveau psychologique, social et scolaire. Les recherches sur les risques associés à la victimisation comme à l'agression font consensus sur différents points : l'impact du temps passé en ligne, de l'activité sur les réseaux sociaux, les différences selon le sexe ainsi que l'importance de facteurs culturels et contextuels que les études comparatives internationales ont permis de mettre en lumière. Les différences, notamment en termes culturels et de socialisation mériteraient une investigation plus approfondie afin d'orienter la prévention et la remédiation.