Gramsci und Althusser: eine Kritik der Althusserschen Rezeption von Gramscis Philosophie
In: Das Argument
In: Sonderband N.F., 248
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In: Das Argument
In: Sonderband N.F., 248
Dieses Buch problematisiert "die Sophistik" als Gegenstand der Philosophiegeschichte und stellt die These auf, "die Sophistik" sei das Resultat einer philosophischen Operation. Anhand der kritischen Diskussion relevanter Texte von Platon und Aristoteles wird versucht, eine eigentümliche sophistische λόγος-Form zu rekonstruieren. Der Konflikt zwischen Sophistik und Philosophie wird als ein Konflikt zwischen einer parametrischen und einer strategischen Rationalitätsform dargestellt. Fernando Oreja (Madrid, 1966) lebt in Berlin, ist promovierter Philosoph und Philosophiehistoriker mit Schwerpunkt Antike und arbeitet haupt- und freiberuflich als technischer Übersetzer für die Sprachen Deutsch und Spanisch.
Hauptbeschreibung: Blick zurück auf die antike Polis. In diesem Buch wird erstmals im Zusammenhang untersucht, wie sich das politische Denken im 20. Jahrhundert im Rückgriff auf aristotelische Denkfiguren erneuert hat - von den frühen Vorlesungen Martin Heideggers über Eric Voegelin, Leo Strauss und Hannah Arendt, Hans-Georg Gadamer, Joachim Ritter und Dolf Sternberger bis zu Alasdair MacIntyre und Martha Nussbaum. Biographische InformationenThomas Gutschker, geb. 1971; 1992-98 Studium der Politischen Wissenschaft, Komparatistik, Romanistik und Philosophie an der Universität Augsburg und a
In: Naqd: revue d'études et de critique sociale, Band 24, Heft 1, S. 15-45
L'auteur tient à souligner, en introduction à son propos, que la terreur a été appuyée au cours de l'histoire par des philosophies différentes et qu'inversement, différentes philosophies ont entretenu des liens avec la terreur. Il se pose la question de savoir si nous pouvons analyser ces deux réalités du point de vue de l'histoire, ce qui reviendrait à analyser leur lien en tant que faits historiques, réalités historiques. Pour Ranabir Samaddar, il convient d'identifier les différentes sortes de terreur qui existent, et de les distinguer, au moment même où l'on cherche à faire disparaître leurs différences à travers l'invention et l'emploi du terme "terrorisme" et de "terroriste". Cette généralisation se rattache, elle aussi, à une idéologie. Il est donc essentiel de rendre véritablement compte de l'évolution de la philosophie en période de terreur – de sa complicité, de son ignorance, de son recul, ou tout simplement de son innocence, ou de son irrévérence – face aux questions historico-politiques complexes qui se posent aujourd'hui dans le contexte du discours sur la terreur et de la « guerre contre le terrorisme » déclarée de nos jours.
In: A contrario: revue interdisciplinaire de sciences sociales, Band 26, Heft 1, S. 53-68
L'essai expose les étapes d'un raisonnement par analogie qui lie ce que Freud décrit comme le travail de deuil à la conception que Wittgenstein se fait de la philosophie et à l'une des vertus que Cavell attribue à l'expérience cinématographique. Il s'appuie notamment sur des éléments d'une lecture du film Eternal Sunshine of the Spotless Mind (Gondry, 2004).
In: Gesammelte philosophische Schriften 2,1
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In: Estudios Nietzsche: revista de la Sociedad Española de Estudios sobre Friedrich Nietzsche (SEDEN), Heft 8, S. 243-245
ISSN: 2340-1494
Reseña crítica de la obra Ponton, Olivier, Nietzsche-Philosophie de la légèreté