Religion et politique. Discussions internationales / Religion and Politics. International Debates
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 49, Heft 1, S. 77-81
ISSN: 1777-5825
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In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 49, Heft 1, S. 77-81
ISSN: 1777-5825
In: Esprit, Band Novembre, Heft 11, S. 15-22
Les relations entre religion et politique relèvent de deux récits concurrents aux États-Unis. L'un insiste sur les Pères fondateurs et la Constitution ; l'autre sur la vertu des Puritains. Quelles traces cette division laisse-t-elle dans la politique contemporaine ? Comment les deux candidats à l'élection présidentielle se sont-ils inscrits dans cette histoire ?
In: http://mdz-nbn-resolving.de/urn:nbn:de:bvb:12-bsb10556793-2
Volltext // Exemplar mit der Signatur: München, Bayerische Staatsbibliothek -- J.publ.e. 234 d
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In: http://hdl.handle.net/2027/hvd.hnr4rv
"Notice sur la famille Ypsilanti", pp. 147-157. ; Mode of access: Internet.
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In: Histoire de la pensée
Ce que Dieu ou l'idée de Dieu est actuellement capable de déclencher provoque dans l'opinion éclairée de l'effroi. Face aux violences de l'époque qui s'en réclament, elle réagit par conjuration, affirmant soit qu'il n'y a pas de Dieu, soit que Dieu ne s'y trouve pas. Pour elle, la place de Dieu n'est pas dans la politique : le théologique et le politique n'ont en aucun cas partie liée.Ce livre prend un autre point de vue. Il cherche à fournir une parade à notre désemparement sans esquiver le problème théologico-politique contemporain, en le traduisant en termes socio-politiques. Pour cela, il ne fixe pas une fois pour toutes la place de Dieu - dans ou hors de la politique - mais suit les variations de son tracé au sein des sociétés modernes selon le sens de la justice qui les anime. Cette généalogie des nouages entre Dieu et l'idée moderne de justice a pour enjeu de retrouver une prise là où, aujourd'hui, nous vacillons le plus. Philosophe, Bruno Karsenti est directeur d'études à l'EHESS. Il est notamment l'auteur de L'Homme total, Sociologie, anthropologie et philosophie chez Marcel Mauss (PUF, 1997) ; D'une philosophie à l'autre. Les sciences sociales et la politique des modernes (Gallimard, 2013) ; et La question juive des modernes. Philosophie de l'émancipation (PUF, 2017)
Titre du fascicule : Images littéraires de la société contemporaine Dans le livre d'Erri de Luca, Aceto arcobaleno, Milan, Feltrinelli, 1992, le personnage qui, le premier, vient raconter son histoire de violence et de sang au narrateur utilise une expression évangélique pour nommer le destin qui lui est échu. Il déclare que son sort était joué dès le jet de la première pierre : " nella mia prima pietra tirata era già incluso l'uccidere e l'essere ucciso " [p. 32]. Question brûlante pour une génération, celle qui, lors des années 68, à vingt ans, pensa la politique en terme d'affrontement et estima qu'il était légitime de dire sa colère et son désir de changement en lançant des pavés ou des sampietrini. Personne alors ne pensait à la phrase du Christ devant la femme adultère " que celui de vous qui est sans péché lui jette la première pierre " [Jean, 8, 7]. Quel sens donner à cette traduction dans les mots du fils de l'homme de ce qui était alors pensé dans les termes de la politique radicale ? C'est cette question que pose cet article, en l'insérant dans une réflexion historiographique sur les " années '68 ".
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In: Collection Folio
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Band 97, Heft 1, S. 5-8
ISSN: 1777-5825
In: La revue internationale et stratégique: revue trimestrielle publiée par l'Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), Band 44, Heft 4, S. 33-40
L'effondrement du communisme a marqué la fin du processus menant à l'avènement d'un monde où l'absolu n'a plus sa place. Le religieux, basé sur la tradition, le passé, la stabilité, tente, avec difficultés, de s'adapter aux conséquences de cette réalité politique : un espace en perpétuelle mutation et un temps dont le sens n'est plus ni normatif ni collectif, mais individuel. L'individualisation du croire et le phénomène de « religion à la carte » – adaptation sociale du religieux – induisent des modifications dans la place attribuée au religieux par le politique. La croyance est en mouvement, individualisée, et ainsi inscrite dans la réalité. Elle deviendrait ainsi, pour le politique, « une ressource neutre, disponible à des fins de gestion d'une recomposition multiforme ». Et si le politique s'attache à utiliser le religieux, il ne fait que révéler son propre malaise, son incapacité à définir son rapport au sens et à ces « identités mobiles et plurielles ».
Entre 1903 et 1914, des écrivains du sud du Tarn ont publié quatre romans « ethnographiques » ayant pour cadre leur région : La Gorge, d'Albert Vidal ; Mémoires d'un jeune ouvrier, de Gaston Tournier ; Les jeux de la politique et de l'amour, de Jules Puech ; Le feu sous la cendre, de Gaston Mercier. La religion et ses rapports avec la politique marquaient tellement le pays que les quatre auteurs ont estimé indispensable d'aborder ces aspects : Vidal en observateur froid ; Puech en intellectuel républicain ; Tournier en protestant conservateur ; Mercier avec des outrances qui, analysées, constituent en elles-mêmes un témoignage.
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Entre 1903 et 1914, des écrivains du sud du Tarn ont publié quatre romans « ethnographiques » ayant pour cadre leur région : La Gorge, d'Albert Vidal ; Mémoires d'un jeune ouvrier, de Gaston Tournier ; Les jeux de la politique et de l'amour, de Jules Puech ; Le feu sous la cendre, de Gaston Mercier. La religion et ses rapports avec la politique marquaient tellement le pays que les quatre auteurs ont estimé indispensable d'aborder ces aspects : Vidal en observateur froid ; Puech en intellectuel républicain ; Tournier en protestant conservateur ; Mercier avec des outrances qui, analysées, constituent en elles-mêmes un témoignage.
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In: Sciences des religions
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionelles et politiques, Band 141, Heft 2, S. 51-63
Résumé Les croyances et la pratique religieuses ont décliné très fortement en Australie depuis les années 1960. Mais, depuis 1996, le langage et les thèmes religieux sont de plus en plus présents dans le discours politique de la nation. Cette tendance est évidente aussi bien dans les discours du Premier ministre, Julia Gillard, qui se déclare athée, que dans ceux du chef de l'opposition, Tony Abbott, un catholique fervent. La montée en puissance de la religion dans la culture politique australienne a moins à voir avec les croyances et les pratiques des citoyens qu'avec les associations symboliques que permet la religion, les vides qu'elle est censée combler dans un espace politique largement défini par l'engagement de l'Australie dans la prétendue « guerre contre la terreur » et le ralliement enthousiaste des deux principaux partis au consensus néolibéral.
In: Pouvoirs: revue française d'études constitutionnelles et politiques, Heft 141, S. 51-63
ISSN: 0152-0768
Religious belief and practice in Australia have fallen sharply since the 1960s. But, since 1996, religious language and themes have become increasingly prominent in the nation's political discourse. This trend is equally evident in the speeches of the Prime Minister, Julia Gillard, a self-declared atheist, and the Leader of the Opposition, Tony Abbott, a devout Catholic. The rising prominence of religion in Australia's political culture has less to do with the beliefs and practices of citizens than it does with religion's symbolic associations, and the supposed gaps that they fill in a political space profoundly shaped both by Australia's involvement in the so-called "War on Terror" and by both major parties' enthusiastic embrace of the neo-liberal consensus. Adapted from the source document.