victor Hugo vuole convincere l'interlocutore a sposare l'idea di combattere strenuamente per la realizzazione di un'utopia, risvegliando sentimenti di entusiasmo e di impegno civile, sia pure senza arrivare ad articolare e ad elaborare nel dettaglio proposte e modalità di quella realizzazione che, però, affida al futuro, con «fede» e con «speranza» incrollabili.
International audience ; Les mots de la préface d'Angelo, tyran de Padoue (Comédie-Française, 1835) résument l'ambiguïté de l'usage hugolien des figures féminines au théâtre. L'ambition morale et sociale est clairement posée ; elle s'inscrit dans un combat de longue lutte, mené par Hugo, contre l'état d'infériorité où le Code civil place les femmes au XIXe siècle. Trente-sept ans après Angelo, Hugo, bientôt président d'honneur de la Ligue française pour le droit des femmes, écrit encore : "Il est douloureux de le dire : dans la civilisation actuelle, il y a une esclave. La loi a des euphémismes ; ce que j'appelle une esclave, elle l'appelle une mineure ; cette mineure selon la loi, cette esclave selon la réalité, c'est la femme. L'homme a chargé inégalement les deux plateaux du Code, dont l'équilibre importe à la conscience humaine ; l'homme a fait verser tous les droits de son côté et tous les devoirs du côté de la femme. Dans notre législation telle qu'elle est, la femme ne possède pas, elle n'este pas en justice, elle ne vote pas, elle ne compte pas, elle n'est pas. C'est là un état violent : il faut qu'il cesse. " Ces propos comme, auparavant, ceux de la préface d'Angelo, cantonnent " la " femme dans la position de victime en qui se concentrent et se résument toutes les violences sociales dénoncées par le poète : la figure féminine est entre ses mains l'outil d'auscultation et de dénonciation de la société moderne. Toutefois, par résistance aux mesquineries de proportion et de visée du drame bourgeois, comme aux actions sans lendemain d'un théâtre " utile " vite périmé, Hugo tire ses personnages dramatiques vers le statut de symboles, au risque de reconduire, du moins en apparence, les représentations usuelles de la " Femme ", ange et démon, coupable ou rédemptrice, mais toujours victime, chez Hugo, de l'anankè des lois. Entre essentialisation de la femme et compréhension historique des femmes, l'hésitation est constante car la pensée politique du philosophe ne saurait se déployer hors de l'imaginaire de l'écrivain.
International audience ; Les mots de la préface d'Angelo, tyran de Padoue (Comédie-Française, 1835) résument l'ambiguïté de l'usage hugolien des figures féminines au théâtre. L'ambition morale et sociale est clairement posée ; elle s'inscrit dans un combat de longue lutte, mené par Hugo, contre l'état d'infériorité où le Code civil place les femmes au XIXe siècle. Trente-sept ans après Angelo, Hugo, bientôt président d'honneur de la Ligue française pour le droit des femmes, écrit encore : "Il est douloureux de le dire : dans la civilisation actuelle, il y a une esclave. La loi a des euphémismes ; ce que j'appelle une esclave, elle l'appelle une mineure ; cette mineure selon la loi, cette esclave selon la réalité, c'est la femme. L'homme a chargé inégalement les deux plateaux du Code, dont l'équilibre importe à la conscience humaine ; l'homme a fait verser tous les droits de son côté et tous les devoirs du côté de la femme. Dans notre législation telle qu'elle est, la femme ne possède pas, elle n'este pas en justice, elle ne vote pas, elle ne compte pas, elle n'est pas. C'est là un état violent : il faut qu'il cesse. " Ces propos comme, auparavant, ceux de la préface d'Angelo, cantonnent " la " femme dans la position de victime en qui se concentrent et se résument toutes les violences sociales dénoncées par le poète : la figure féminine est entre ses mains l'outil d'auscultation et de dénonciation de la société moderne. Toutefois, par résistance aux mesquineries de proportion et de visée du drame bourgeois, comme aux actions sans lendemain d'un théâtre " utile " vite périmé, Hugo tire ses personnages dramatiques vers le statut de symboles, au risque de reconduire, du moins en apparence, les représentations usuelles de la " Femme ", ange et démon, coupable ou rédemptrice, mais toujours victime, chez Hugo, de l'anankè des lois. Entre essentialisation de la femme et compréhension historique des femmes, l'hésitation est constante car la pensée politique du philosophe ne saurait se déployer hors de l'imaginaire de l'écrivain.
International audience ; Les mots de la préface d'Angelo, tyran de Padoue (Comédie-Française, 1835) résument l'ambiguïté de l'usage hugolien des figures féminines au théâtre. L'ambition morale et sociale est clairement posée ; elle s'inscrit dans un combat de longue lutte, mené par Hugo, contre l'état d'infériorité où le Code civil place les femmes au XIXe siècle. Trente-sept ans après Angelo, Hugo, bientôt président d'honneur de la Ligue française pour le droit des femmes, écrit encore : "Il est douloureux de le dire : dans la civilisation actuelle, il y a une esclave. La loi a des euphémismes ; ce que j'appelle une esclave, elle l'appelle une mineure ; cette mineure selon la loi, cette esclave selon la réalité, c'est la femme. L'homme a chargé inégalement les deux plateaux du Code, dont l'équilibre importe à la conscience humaine ; l'homme a fait verser tous les droits de son côté et tous les devoirs du côté de la femme. Dans notre législation telle qu'elle est, la femme ne possède pas, elle n'este pas en justice, elle ne vote pas, elle ne compte pas, elle n'est pas. C'est là un état violent : il faut qu'il cesse. " Ces propos comme, auparavant, ceux de la préface d'Angelo, cantonnent " la " femme dans la position de victime en qui se concentrent et se résument toutes les violences sociales dénoncées par le poète : la figure féminine est entre ses mains l'outil d'auscultation et de dénonciation de la société moderne. Toutefois, par résistance aux mesquineries de proportion et de visée du drame bourgeois, comme aux actions sans lendemain d'un théâtre " utile " vite périmé, Hugo tire ses personnages dramatiques vers le statut de symboles, au risque de reconduire, du moins en apparence, les représentations usuelles de la " Femme ", ange et démon, coupable ou rédemptrice, mais toujours victime, chez Hugo, de l'anankè des lois. Entre essentialisation de la femme et compréhension historique des femmes, l'hésitation est constante car la pensée politique du philosophe ne saurait se déployer hors de l'imaginaire de l'écrivain.
International audience ; Les mots de la préface d'Angelo, tyran de Padoue (Comédie-Française, 1835) résument l'ambiguïté de l'usage hugolien des figures féminines au théâtre. L'ambition morale et sociale est clairement posée ; elle s'inscrit dans un combat de longue lutte, mené par Hugo, contre l'état d'infériorité où le Code civil place les femmes au XIXe siècle. Trente-sept ans après Angelo, Hugo, bientôt président d'honneur de la Ligue française pour le droit des femmes, écrit encore : "Il est douloureux de le dire : dans la civilisation actuelle, il y a une esclave. La loi a des euphémismes ; ce que j'appelle une esclave, elle l'appelle une mineure ; cette mineure selon la loi, cette esclave selon la réalité, c'est la femme. L'homme a chargé inégalement les deux plateaux du Code, dont l'équilibre importe à la conscience humaine ; l'homme a fait verser tous les droits de son côté et tous les devoirs du côté de la femme. Dans notre législation telle qu'elle est, la femme ne possède pas, elle n'este pas en justice, elle ne vote pas, elle ne compte pas, elle n'est pas. C'est là un état violent : il faut qu'il cesse. " Ces propos comme, auparavant, ceux de la préface d'Angelo, cantonnent " la " femme dans la position de victime en qui se concentrent et se résument toutes les violences sociales dénoncées par le poète : la figure féminine est entre ses mains l'outil d'auscultation et de dénonciation de la société moderne. Toutefois, par résistance aux mesquineries de proportion et de visée du drame bourgeois, comme aux actions sans lendemain d'un théâtre " utile " vite périmé, Hugo tire ses personnages dramatiques vers le statut de symboles, au risque de reconduire, du moins en apparence, les représentations usuelles de la " Femme ", ange et démon, coupable ou rédemptrice, mais toujours victime, chez Hugo, de l'anankè des lois. Entre essentialisation de la femme et compréhension historique des femmes, l'hésitation est constante car la pensée politique du philosophe ne saurait se déployer hors de l'imaginaire de ...
International audience ; Les mots de la préface d'Angelo, tyran de Padoue (Comédie-Française, 1835) résument l'ambiguïté de l'usage hugolien des figures féminines au théâtre. L'ambition morale et sociale est clairement posée ; elle s'inscrit dans un combat de longue lutte, mené par Hugo, contre l'état d'infériorité où le Code civil place les femmes au XIXe siècle. Trente-sept ans après Angelo, Hugo, bientôt président d'honneur de la Ligue française pour le droit des femmes, écrit encore : "Il est douloureux de le dire : dans la civilisation actuelle, il y a une esclave. La loi a des euphémismes ; ce que j'appelle une esclave, elle l'appelle une mineure ; cette mineure selon la loi, cette esclave selon la réalité, c'est la femme. L'homme a chargé inégalement les deux plateaux du Code, dont l'équilibre importe à la conscience humaine ; l'homme a fait verser tous les droits de son côté et tous les devoirs du côté de la femme. Dans notre législation telle qu'elle est, la femme ne possède pas, elle n'este pas en justice, elle ne vote pas, elle ne compte pas, elle n'est pas. C'est là un état violent : il faut qu'il cesse. " Ces propos comme, auparavant, ceux de la préface d'Angelo, cantonnent " la " femme dans la position de victime en qui se concentrent et se résument toutes les violences sociales dénoncées par le poète : la figure féminine est entre ses mains l'outil d'auscultation et de dénonciation de la société moderne. Toutefois, par résistance aux mesquineries de proportion et de visée du drame bourgeois, comme aux actions sans lendemain d'un théâtre " utile " vite périmé, Hugo tire ses personnages dramatiques vers le statut de symboles, au risque de reconduire, du moins en apparence, les représentations usuelles de la " Femme ", ange et démon, coupable ou rédemptrice, mais toujours victime, chez Hugo, de l'anankè des lois. Entre essentialisation de la femme et compréhension historique des femmes, l'hésitation est constante car la pensée politique du philosophe ne saurait se déployer hors de l'imaginaire de l'écrivain.
Victor Hugo is one of the romantic poets who has experience in politics. He criticized the Second Empire and Napoleon III almost all his life and his criticism became the cause of his exile. The third series of La Légende des Sièclesis the last book of poetry published before the death of Victor Hugo. Océan is an example of a poem in the third series that presents a contradiction between small and large spaces, restrictions and extensions. This article will link the meaning and function of the metaphor and structure of the poem used by Victor Hugo in the poem Océan with his personal life and historical context. This study uses qualitative methods with techniques for the study of literature. Through the analysis of the metaphorical function of Camp (2003) and the poetic structure of Schmitt and Viala (1982), Océan reflects Hugo as an innovative romantic poet who differs from the rules of classicism and he has placed the ocean and humans in the poem as representatives of Napoleon III specifically and the monarchy in general and French society in those days. The metaphors are used to describe the nature of the French government at that time.
Figuras capitales del movimiento romántico, tanto Victor Hugo como Novalis dotarán a los momentos más trágicos y agónicos de su existencia de un significado simbólico capaz de elevar sus espíritus hasta cimas etéreas, dominios metafísicos en los que ahondarán en busca de un sentido tanto existencial como poético capaz de explicar y transformar sus vidas. De este modo, la amada desaparecida se tornará en Novalis imagen generatriz, impulso creador, mientras que Hugo, siempre en vilo, siempre en lucha, padecerá y ansiará todo tipo de elementos en contra para agigantar su figura tras la consabida poetización a quesomete la realidad