International audience ; Etude statistique sur la réalité de la dynamique de contagion tuberculeuse dans l'îlot insalubre n° 16 de Paris. Conjonction des données statistiques avec les volontés politiques de la municipalité parisienne avant 1945.
International audience ; Etude statistique sur la réalité de la dynamique de contagion tuberculeuse dans l'îlot insalubre n° 16 de Paris. Conjonction des données statistiques avec les volontés politiques de la municipalité parisienne avant 1945.
International audience ; Etude statistique sur la réalité de la dynamique de contagion tuberculeuse dans l'îlot insalubre n° 16 de Paris. Conjonction des données statistiques avec les volontés politiques de la municipalité parisienne avant 1945.
The assumption of contagion is often employed as an argument for the demarcation of areas considered dangerous to public health. This article examines how it was used in the case of the insalubrious district of Saint Gervais (Paris). The district was identified thanks to statistics available from the health records of Parisian apartment houses, which have been kept since 1894. The author's main concern is the existence of "maisons meurtrières" (deathtraps) denounced by contemporary documents although deaths from tuberculosis were progressively decreasing. The examination of statistics giving the number of inhabitants and fatalities from tuberculosis in each apartment building shows that, with the exception of those with furnished rooms, only a small proportion of these dwellings actually had a high death rate from tuberculosis between 1894 and 1930. It also shows that the delimitation of the insalubrious area was based on the idea that the illness was irreversible, allowing the "deathtraps" discovered in earlier stages to be added to those found in each subsequent check. This method made it possible to designate "infected districts" and to justify a policy of city planning.
International audience ; Les implantations rurales du sionisme historique, la stratégie de création d'un nouveau semis urbain via les « villes de développement », initiée dans les années 1950, ou encore la métropolisation contemporaine illustrent la volonté permanente de l'État hébreu d'occuper l'espace ainsi que le rôle fondamental de la politique du logement.
International audience ; Les implantations rurales du sionisme historique, la stratégie de création d'un nouveau semis urbain via les « villes de développement », initiée dans les années 1950, ou encore la métropolisation contemporaine illustrent la volonté permanente de l'État hébreu d'occuper l'espace ainsi que le rôle fondamental de la politique du logement.
International audience ; Les implantations rurales du sionisme historique, la stratégie de création d'un nouveau semis urbain via les « villes de développement », initiée dans les années 1950, ou encore la métropolisation contemporaine illustrent la volonté permanente de l'État hébreu d'occuper l'espace ainsi que le rôle fondamental de la politique du logement.
International audience ; Les implantations rurales du sionisme historique, la stratégie de création d'un nouveau semis urbain via les « villes de développement », initiée dans les années 1950, ou encore la métropolisation contemporaine illustrent la volonté permanente de l'État hébreu d'occuper l'espace ainsi que le rôle fondamental de la politique du logement.
International audience ; Les implantations rurales du sionisme historique, la stratégie de création d'un nouveau semis urbain via les « villes de développement », initiée dans les années 1950, ou encore la métropolisation contemporaine illustrent la volonté permanente de l'État hébreu d'occuper l'espace ainsi que le rôle fondamental de la politique du logement.
International audience ; La loi Borloo de 2003 aurait marqué un tournant majeur dans les politiques publiques sur les territoires dits « sensibles ». Une enquête sur l'École de la rénovation urbaine, créée deux ans plus tard pour former les professionnels à cette politique, conduit à nuancer ce constat. La formation qu'elle dispense relève plutôt d'un hybride idéologique, qui accueille aussi bien les héritages de la politique de la ville des années 1980 que la gestion managériale aujourd'hui mise en avant. La loi Borloo de 2003 sur la rénovation urbaine est souvent présentée comme un moment charnière dans l'histoire récente des modes d'intervention publique dans les territoires dits sensibles. La rénovation urbaine aurait remisé au placard une politique de la ville essoufflée, incertaine (Jaillet 2000), bureaucratisée, sans projet et sans dynamique, en fermant le dossier brûlant des 751 Zones Urbaines Sensibles ouvert depuis plus de vingt ans. Le discours des décideurs politiques et des experts d'alors aurait rayé d'un trait de plume une politique jugée « molle » et « inefficace », fondée sur le principe « erroné » d'une réparation sociale et bâtie des territoires. « Difficilement évaluable », celle-ci aurait peiné à enrayer efficacement les violences et les pauvretés endémiques des quartiers. Serait donc venu le temps d'une ambitieuse rénovation urbaine, « enrayant les errements passés », orchestrée par une nouvelle agence de l'État (l'Agence nationale pour la rénovation urbaine ou ANRU), dispensant avec l'aide du 1 % patronal une aide efficace pour de « vrais projets », matériellement visibles sur le terrain : la destruction des « barres » et « tours » et la reconstruction de quartiers mixtes en termes de peuplement 2. Quelques années après le lancement du programme de la rénovation urbaine, on peut toutefois nuancer cette lecture de la rupture idéologique. Une enquête sur les réseaux d'acteurs gravitant autour de l'École de la rénovation urbaine et des savoirs qui y sont transmis conduit en effet à infléchir ...
International audience ; La loi Borloo de 2003 aurait marqué un tournant majeur dans les politiques publiques sur les territoires dits « sensibles ». Une enquête sur l'École de la rénovation urbaine, créée deux ans plus tard pour former les professionnels à cette politique, conduit à nuancer ce constat. La formation qu'elle dispense relève plutôt d'un hybride idéologique, qui accueille aussi bien les héritages de la politique de la ville des années 1980 que la gestion managériale aujourd'hui mise en avant. La loi Borloo de 2003 sur la rénovation urbaine est souvent présentée comme un moment charnière dans l'histoire récente des modes d'intervention publique dans les territoires dits sensibles. La rénovation urbaine aurait remisé au placard une politique de la ville essoufflée, incertaine (Jaillet 2000), bureaucratisée, sans projet et sans dynamique, en fermant le dossier brûlant des 751 Zones Urbaines Sensibles ouvert depuis plus de vingt ans. Le discours des décideurs politiques et des experts d'alors aurait rayé d'un trait de plume une politique jugée « molle » et « inefficace », fondée sur le principe « erroné » d'une réparation sociale et bâtie des territoires. « Difficilement évaluable », celle-ci aurait peiné à enrayer efficacement les violences et les pauvretés endémiques des quartiers. Serait donc venu le temps d'une ambitieuse rénovation urbaine, « enrayant les errements passés », orchestrée par une nouvelle agence de l'État (l'Agence nationale pour la rénovation urbaine ou ANRU), dispensant avec l'aide du 1 % patronal une aide efficace pour de « vrais projets », matériellement visibles sur le terrain : la destruction des « barres » et « tours » et la reconstruction de quartiers mixtes en termes de peuplement 2. Quelques années après le lancement du programme de la rénovation urbaine, on peut toutefois nuancer cette lecture de la rupture idéologique. Une enquête sur les réseaux d'acteurs gravitant autour de l'École de la rénovation urbaine et des savoirs qui y sont transmis conduit en effet à infléchir ...
International audience ; La loi Borloo de 2003 aurait marqué un tournant majeur dans les politiques publiques sur les territoires dits « sensibles ». Une enquête sur l'École de la rénovation urbaine, créée deux ans plus tard pour former les professionnels à cette politique, conduit à nuancer ce constat. La formation qu'elle dispense relève plutôt d'un hybride idéologique, qui accueille aussi bien les héritages de la politique de la ville des années 1980 que la gestion managériale aujourd'hui mise en avant. La loi Borloo de 2003 sur la rénovation urbaine est souvent présentée comme un moment charnière dans l'histoire récente des modes d'intervention publique dans les territoires dits sensibles. La rénovation urbaine aurait remisé au placard une politique de la ville essoufflée, incertaine (Jaillet 2000), bureaucratisée, sans projet et sans dynamique, en fermant le dossier brûlant des 751 Zones Urbaines Sensibles ouvert depuis plus de vingt ans. Le discours des décideurs politiques et des experts d'alors aurait rayé d'un trait de plume une politique jugée « molle » et « inefficace », fondée sur le principe « erroné » d'une réparation sociale et bâtie des territoires. « Difficilement évaluable », celle-ci aurait peiné à enrayer efficacement les violences et les pauvretés endémiques des quartiers. Serait donc venu le temps d'une ambitieuse rénovation urbaine, « enrayant les errements passés », orchestrée par une nouvelle agence de l'État (l'Agence nationale pour la rénovation urbaine ou ANRU), dispensant avec l'aide du 1 % patronal une aide efficace pour de « vrais projets », matériellement visibles sur le terrain : la destruction des « barres » et « tours » et la reconstruction de quartiers mixtes en termes de peuplement 2. Quelques années après le lancement du programme de la rénovation urbaine, on peut toutefois nuancer cette lecture de la rupture idéologique. Une enquête sur les réseaux d'acteurs gravitant autour de l'École de la rénovation urbaine et des savoirs qui y sont transmis conduit en effet à infléchir ...
International audience ; La loi Borloo de 2003 aurait marqué un tournant majeur dans les politiques publiques sur les territoires dits « sensibles ». Une enquête sur l'École de la rénovation urbaine, créée deux ans plus tard pour former les professionnels à cette politique, conduit à nuancer ce constat. La formation qu'elle dispense relève plutôt d'un hybride idéologique, qui accueille aussi bien les héritages de la politique de la ville des années 1980 que la gestion managériale aujourd'hui mise en avant. La loi Borloo de 2003 sur la rénovation urbaine est souvent présentée comme un moment charnière dans l'histoire récente des modes d'intervention publique dans les territoires dits sensibles. La rénovation urbaine aurait remisé au placard une politique de la ville essoufflée, incertaine (Jaillet 2000), bureaucratisée, sans projet et sans dynamique, en fermant le dossier brûlant des 751 Zones Urbaines Sensibles ouvert depuis plus de vingt ans. Le discours des décideurs politiques et des experts d'alors aurait rayé d'un trait de plume une politique jugée « molle » et « inefficace », fondée sur le principe « erroné » d'une réparation sociale et bâtie des territoires. « Difficilement évaluable », celle-ci aurait peiné à enrayer efficacement les violences et les pauvretés endémiques des quartiers. Serait donc venu le temps d'une ambitieuse rénovation urbaine, « enrayant les errements passés », orchestrée par une nouvelle agence de l'État (l'Agence nationale pour la rénovation urbaine ou ANRU), dispensant avec l'aide du 1 % patronal une aide efficace pour de « vrais projets », matériellement visibles sur le terrain : la destruction des « barres » et « tours » et la reconstruction de quartiers mixtes en termes de peuplement 2. Quelques années après le lancement du programme de la rénovation urbaine, on peut toutefois nuancer cette lecture de la rupture idéologique. Une enquête sur les réseaux d'acteurs gravitant autour de l'École de la rénovation urbaine et des savoirs qui y sont transmis conduit en effet à infléchir ...