Particular Justice: Michel Bastarache and Family Law
In: AT THE FOREFRONT OF DUALITY: ESSAYS IN HONOUR OF MICHEL BASTARACHE, pp. 117-141, Nicolas Lambert, ed., Yvon Blais, 2011
62 Ergebnisse
Sortierung:
In: AT THE FOREFRONT OF DUALITY: ESSAYS IN HONOUR OF MICHEL BASTARACHE, pp. 117-141, Nicolas Lambert, ed., Yvon Blais, 2011
SSRN
This paper takes Justice Wilson's majority judgments in the Pelech v. Pelech trilogy (1987) as point of departure for an inquiry into the life over time of family law judgments and family law scholarship. It argues that it is worth attending to the ways in which the experience of critically reading those judgments today is different than it was at the time of their release. A contemporary rereading of the trilogy and of the sophisticated feminist literature critical of it shows the contingency of scholarly interventions. Subsequent developments in political economy, notably the intensified downloading of the state's responsibility for the costs of social reproduction, have altered the context from which we read Justice Wilson's views on the state's duty to support former spouses. The privatization of the process for family dispute resolution contrasts with the privatization of the substantive duty to provide support denounced by scholars in the 1990s. Moreover, recent criticisms of the post-divorce family unit and efforts to make space for alternative family configurations lend a different resonance to Justice Wilson's comments on the importance of valuing people's intentions in terminating family relationships.
BASE
In: Uniform Law Review, Band 13, S. 39-58
SSRN
In: Columbia Human Rights Law Review, Band 40, Heft 2, S. 425-478
SSRN
In: (2007) 2(1) Les Ateliers de l'Ethique (Article 30)
SSRN
In: Canadian journal of law and society: Revue canadienne de droit et société, Band 21, Heft 2, S. 1-23
ISSN: 1911-0227
RésuméLes débats récents concernant le mariage des couples de même sexe appellent à une réflexion plus large sur la rivalité entre les normes qui prétendent gouverner le mariage. Lors de ces débats, deux prétentions prirent l'avant-scène: l'une voulant que la loi suprême du mariage se trouve dans les traditions religieuses, et l'autre selon laquelle le mariage civil serait purement séculaire et trouverait sa loi suprême dans laCharte canadienne des droits et libertés. Cet article identifie certaines similarités au sein de ces deux prétentions. En particulier, chacune suppose erronément l'uniformité interne des communautés culturelles. Un examen de l'historique des amendements aux lois portant sur le mariage révèle qu'aucune de ces prétentions ne reflète fidèlement la tradition canadienne du droit du mariage. Les amendements aux lois concernant les degrés prohibés de liens de parenté et l'introduction de la loi fédérale sur le divorce illustrent le développement par le Parlement d'un mariage civil ou profane, par opposition consciente aux formes religieuses. Depuis les années 1880, les lois portant sur le mariage ont été modifiées périodiquement au motif que dans une société séculaire et plurielle, l'imposition de normes religieuses aux non-croyants est illégitime. Le Parlement ne s'est pas inspiré uniquement des normes explicites, dites autoritaires, mais a également considéré la pratique sociale comme une source de normes relatives au mariage. En somme, les réformes du passé révèlent une riche tradition de débat et de contestation, au cours de laquelle les Églises elles-mêmes n'ont pas constamment maintenu que les règles du mariage civil devraient être à l'image des règles religieuses. Contrairement aux prétentions des adeptes de la Charte, le mariage civil et le mariage religieux ne sont pas dénués de liens. Ils se situent au contraire dans une relation de tension et de différences qui requiert des ajustements constants.
In: Canadian journal of law and society: Revue canadienne de droit et société, Band 18, Heft 2, S. 45-67
ISSN: 1911-0227
RésuméL'auteur, à partir de l'exemple de la pratique des grandes entreprises de payer à leurs employés des primes basées sur leur performance, fait état de deux types de contraintes s'appliquant aux employeurs: d'une part, les règles imposées par la loi; d'autre part, les recommandations des manuels de gestion des ressources humaines. Le droit considère les primes à travers le prisme étroit et traditionnel des règles portant sur les modalités de rémunération dans le cadre de la relation contractuelle avec l'employé. À l'opposé, la science de la gestion les traite comme une forme de communication avec l'employé et établit des recommandations concernant la conception et la mise en œuvre de programmes de primes qui révèlent une certaine notion d'équité administrative. L'auteur s'interroge sur les liens que cette notion d'équité administrative entretient avec le principe d'équité procédurale du droit public. Les différences entre ces deux conceptions de l'équité suggèrent que, contrairement à l'hypothèse mimétique, les entreprises qui adoptent des pratiques se voulant équitables ne font pas que reproduire les normes issues du contexte gouvernemental. Au contraire, l'équité administrative semble s'auto-générer à l'intérieur du champ social semi-autonome des entreprises. S'inspirant des travaux de Teubner sur les systèmes autopoïetiques, l'auteur considère comment le système juridique peut faciliter cette auto-régulation tout en conservant une certaine capacité d'intervention.
SSRN
Queer theory, neoliberalism and urban governance / Jon Binnie -- Regulating "perversion" : the role of tolerance in de-radicalizing the rights claims of sexual subalterns / Ratna Kapur -- Cinema of queer desires : Bombay cinema and emergent sexualities / Shohini Ghosh -- Post-apartheid fraternity, post-apartheid democracy, post-apartheid sexuality : queer reflections on Jane Alexander's Butcher boys / Jaco Barnard-Naud -- The judicial virtue of sexuality / Leslie J. Moran -- Reproductive outsiders - the perils and disruptive potential of reproductive coalitions / Jenni Millbank -- Queer/religious potentials in us same-sex marriage debates / Jeffrey A. Redding -- What's queer about polygamy? / Margaret Denike -- An "imperial" strategy? : the use of comparative and international law in arguments about LGBT rights / Nicholas Bamforth -- Reproducing empire in same sex relationship recognition and immigration law reform / Nan Seuffert -- Unsettled / Ruthann Robson.
In: (2022) 72:2 University of Toronto Law Journal 189-215
SSRN
In: Canadian journal of law and society: Revue canadienne de droit et société, Band 35, Heft 2, S. 153-156
ISSN: 1911-0227
In: Social & legal studies: an international journal, Band 25, Heft 5, S. 525-543
ISSN: 1461-7390
In contrast with prescriptions for law reform for unmarried cohabitants, this article studies legislative inertia on the subject. It compares France and the Canadian province of Quebec, drawing on theoretical treatment of boundaries from critical geography, queer theory, and sociolegal work on law reform. Abstinence from legislating for cohabitants has not secured legal stasis. Informally and indirectly, ad hoc responses to cohabitation have amended the boundaries of marriage and fundamental legal categories. A conservative approach to marriage and cohabitation has failed to conserve marriage. We identify a gap, not between law and social life but between law and its prevailing justification, that cohabitants are free to choose to marry or to conclude contracts. Legislative and judicial developments show that this justification fails to persuade. Finally, we read France and Quebec's approach to cohabitation as symptomatic of an impoverished misreading of the civil law tradition.
In: "Marriage, Family, and Federal Concerns" in Peter Oliver, Patrick Macklem & Nathalie Des Rosiers, eds., The Oxford Handbook of the Canadian Constitution (New York: Oxford University Press, 2017) 575–594
SSRN
In: Canadian journal of women and the law: Revue juridique "La femme et le droit", Band 27, Heft 1, S. vi-xi
ISSN: 1911-0235