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Cet article se propose de problématiser des expériences relativement récentes visant à greffer, dans un dessein avant tout non thérapeutique, des implants informatiques au sein du corps humain. Si ces pratiques sont en général présentées à travers leurs bénéfices communicationnels, nous les examinerons sous l'angle du contrôle et les éclairerons à la lumière de la science-fiction, important pourvoyeur d'avenirs sur le marché des idées et cadre mythologique dans la réception par le public de ces « progrès ». Pour argumenter et illustrer notre propos, nous serons amenées à décrire et analyser les modalités de fusion possibles entre la chair et le métal ainsi que les rapports qu'ont imaginés les auteurs de science-fiction entre l'animé et l'inanimé. Ce champ, tout en frontières et en hybridation, interroge la notion même d'humanité, dont l'essence et les limites sont bouleversées par la science et la technique, et la tendance de notre société à prévoir et prévenir toujours plus à rebours les problèmes potentiels.

Aus dem Beginenkonvent bei St. Jacobi in Hamburg sind 14 mittelniederdeutsche Handschriften überliefert, die einen einzigartigen Einblick in das religiöse Leben spätmittelalterlicher Frauen ermöglichen. Die Gebetbücher, zusammen mit Archivalien aus dem Konvent wie den Rechnungsbüchern der Meisterinnen oder Testamenten, weisen auf eine aktive Rolle des Konvents im spätmittelalterlichen Hamburg hin. Von ihrem religiösen Profil her fallen in den Hamburger Gebetbüchern insbesondere ordensübergreifende Einflüsse der Devotio moderna auf. Dies zeigt, dass diese Literatur unbedingt in einem geographisch und religiös weiteren Kontext zu lesen ist. Allein schon liturgische und materielle Ähnlichkeiten zu Traditionen norddeutscher Bistümer und Klöster, z.B. Klöstern der Lüneburger Heide, veranschaulichen, wie komplex die Vernetzung der religiösen Institutionen im Spätmittelalter war. Materiell gesehen führen die Hamburger Codices in die bislang wenig bekannte Buchkultur von semireligiosen Frauen ein.

Abstract

Knowledge management can be seen as an important precondition to build dynamic capabilities and comparative advantages (Teece et al., 1997). In this article we look at the interdependencies among knowledge management, the market segment chosen, and the strategy of multinational companies.


Based on the theoretical literature about dynamic capabilities and competition, we will build a model on the relationship of knowledge management and strategic management. We support the theoretical results with the findings of four cases involving multinational companies.


We differentiate among four settings of knowledge management and corporate strategy, depending on the dynamics of the market (external focus), the rate of innovation (internal focus), and the dominant kind of knowledge used in an industry.

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