Muslims and European Identity: Can Europe Represent Islam?
In: The Idea of Europe, p. 209-227
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In: The Idea of Europe, p. 209-227
In: Comparative studies of South Asia, Africa and the Middle East, Volume 36, Issue 1, p. 152-173
ISSN: 1548-226X
World Affairs Online
In: Man: the journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Volume 17, Issue 1, p. 193
In: Review of Middle East Studies, Volume 11, Issue 3, p. 35-37
ISSN: 2329-3225
In: Man: the journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Volume 9, Issue 4, p. 640
In: Man: the journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Volume 6, Issue 1, p. 144
In: Man: the journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Volume 6, Issue 1, p. 143
In: Actuel Marx, Volume 64, Issue 2, p. 86-100
ISSN: 1969-6728
L'islamisme est-il une forme religieuse de nationalisme ? Asad répond en montrant que l'islamisme et le nationalisme partagent un même souci de l'État moderne. Ils se différencient néanmoins profondément dès que l'on envisage les modalités de ce rapport. L'islamisme résulte d'une traduction de la tradition qu'il investit dans une situation dominée par l'État moderne et par une politisation des sphères sociales qu'il régule. Il entre ainsi en concurrence avec le marxisme sur le terrain de l'antiétatisme.
In: Multitudes, Volume 59, Issue 2, p. 69-82
ISSN: 1777-5841
Ce texte, écrit à la suite des attentats du 11 septembre 2001, tente de redéfinir les notions de laïcité et de sécularisme en marge des grands récits de sécularisation. La modernité laïque n'est ni la simple séparation du politique et du religieux, ni ce qui reste lorsque la religion décline ou s'efface. Dès lors que le concept de « religion » renvoie lui-même à une construction historique qui diffère selon les espaces politiques, l'on doit affirmer que la modernité laïque est la production d'un nouveau partage entre le religieux et le politique, d'une redéfinition de ce qu'est censé être la « religion » et, avec elle, l'éthique et la politique. Le texte discute ensuite le libéralisme politique de Charles Taylor de façon critique. L'unité de la modernité politique n'est pas factuelle, c'est l'unité d'un projet moderne : elle a un but politique dont l'hégémonie se lit dans le fait que les peuples extra-européens sont perpétuellement invités à s'y mesurer. Cette analyse dessine enfin la voie d'une anthropologie du sécularisme défini comme une doctrine qui cherche à émanciper la sphère publique d'un religieux oppressif, mais aussi et surtout comme une forme de vie laïque : un ensemble d'attitudes spécifiques, un certain rapport au corps et à la souffrance ainsi qu'un modèle de subjectivité.
In: Man: the journal of the Royal Anthropological Institute of Great Britain and Ireland, Volume 29, Issue 4, p. 1008
In: Sociology of religion, Volume 55, Issue 3, p. 371
ISSN: 1759-8818