Sécurité: Rigueur et crédibilité - Affaire de conscience, de confiance et de responsabilité!
In: Allgemeine schweizerische Militärzeitschrift: ASMZ, Band 164, Heft 5, S. 4-5
ISSN: 0002-5925
621 Ergebnisse
Sortierung:
In: Allgemeine schweizerische Militärzeitschrift: ASMZ, Band 164, Heft 5, S. 4-5
ISSN: 0002-5925
In: Politix: revue des sciences sociales du politique, Heft 19, S. 37-55
ISSN: 0295-2319
The teaching of ethics at the Center for the Education of Journalists; protection of sources, credibility, and other issues. Summary in English p. 204.
In: Revue d'études comparatives est-ouest: RECEO, Band 17, Heft 2, S. 121-145
ISSN: 2259-6100
L'objectif de l'article est double : analyser la correspondance logique entre les principales notions de comptabilités nationales soviétique et américaine et identifier pour l'Union soviétique les « Flux invisibles » afférant à la période 1971-1983.
Afin de pouvoir le réaliser, l'auteur s'est vu contraint de procéder à un large inventaire des observations et des résultats chiffrés, publiés dans une série des annuaires statistiques de l'U.R.S.S. A cette occasion il a mis en lumière de nombreuses modifications et correctifs (voir les tableaux présentés en annexe), introduits furtivement par l'Office des statistiques soviétique. La plupart d'entre eux sont modérés et résultent sans doute des erreurs et imperfections quotidiennes. Cela ne peut en aucun cas concerner les années 1973 (guerre de Kippour) et 1981 (loi martiale en Pologne). Derrière les correctifs officiels apportés à ces deux années, l'auteur décèle quelques traces statistiques de mini mobilisations militaires.
Il essaie également de démontrer que les « Flux invisibles », qu'il évalue pour I'U.R.S.S. à 16,3 % de son PNB (1983), sont strictement liés aux frais dits « impériaux » internes et externes de cette grande puissance. Sur le plan purement comptable, ces flux paraissent correspondre à la notion américaine de « Invisibles purchases of the Government ».
In: Cahiers d'histoire: revue d'histoire critique, Heft 100, S. 23-36
ISSN: 1271-6669
World Affairs Online
International audience ; Les crises asiatique et brésilienne ont intensifié le débat relatif à la politique économique à mettre en oeuvre par les autorités face à une crise de change. L'augmentation des taux d'intérêt accompagnée d'une politique budgétaire restrictive peut se révéler contreproductive eu égard à l'objectif de stabilisation du change. Ce papier analyse la question de la crédibilité du policy-mix mis en oeuvre par les autorités pour contrer une crise de change. La perspective adoptée se situe dans la lignée des travaux développés en termes de crise de crédibilité mais elle s'en démarque en introduisant explicitement la politique budgétaire dans l'analyse. Le modèle suggère qu'une politique budgétaire restrictive n'est pas nécessairement la décision la plus crédible. SPECULATIVE ATTACKS AND CREDIBILITY OF EXCHANGE RATE REGIME : WHAT POLICY-MIX TRADE-OFF ? Since the Asian and Brazilian exchange rate crises have occurred, the reaction of authorities has been the subject of an intense debate. Indeed, coping with a speculative attack, domestic authorities both increase interest rates and contract fiscal policy. It appears that such a combination of policy instruments is counterproductive. This paper analyses the credibility of the policy-mix used by authorities. But, opposite to traditional credibility models, fiscal policy is explicitly introduced in the loss function of the authorities. The model suggests that a restrictive fiscal policy is not necessary a credible decision to defence the exchange rate target.
BASE
International audience ; Les crises asiatique et brésilienne ont intensifié le débat relatif à la politique économique à mettre en oeuvre par les autorités face à une crise de change. L'augmentation des taux d'intérêt accompagnée d'une politique budgétaire restrictive peut se révéler contreproductive eu égard à l'objectif de stabilisation du change. Ce papier analyse la question de la crédibilité du policy-mix mis en oeuvre par les autorités pour contrer une crise de change. La perspective adoptée se situe dans la lignée des travaux développés en termes de crise de crédibilité mais elle s'en démarque en introduisant explicitement la politique budgétaire dans l'analyse. Le modèle suggère qu'une politique budgétaire restrictive n'est pas nécessairement la décision la plus crédible. SPECULATIVE ATTACKS AND CREDIBILITY OF EXCHANGE RATE REGIME : WHAT POLICY-MIX TRADE-OFF ? Since the Asian and Brazilian exchange rate crises have occurred, the reaction of authorities has been the subject of an intense debate. Indeed, coping with a speculative attack, domestic authorities both increase interest rates and contract fiscal policy. It appears that such a combination of policy instruments is counterproductive. This paper analyses the credibility of the policy-mix used by authorities. But, opposite to traditional credibility models, fiscal policy is explicitly introduced in the loss function of the authorities. The model suggests that a restrictive fiscal policy is not necessary a credible decision to defence the exchange rate target.
BASE
International audience ; Les crises asiatique et brésilienne ont intensifié le débat relatif à la politique économique à mettre en oeuvre par les autorités face à une crise de change. L'augmentation des taux d'intérêt accompagnée d'une politique budgétaire restrictive peut se révéler contreproductive eu égard à l'objectif de stabilisation du change. Ce papier analyse la question de la crédibilité du policy-mix mis en oeuvre par les autorités pour contrer une crise de change. La perspective adoptée se situe dans la lignée des travaux développés en termes de crise de crédibilité mais elle s'en démarque en introduisant explicitement la politique budgétaire dans l'analyse. Le modèle suggère qu'une politique budgétaire restrictive n'est pas nécessairement la décision la plus crédible. SPECULATIVE ATTACKS AND CREDIBILITY OF EXCHANGE RATE REGIME : WHAT POLICY-MIX TRADE-OFF ? Since the Asian and Brazilian exchange rate crises have occurred, the reaction of authorities has been the subject of an intense debate. Indeed, coping with a speculative attack, domestic authorities both increase interest rates and contract fiscal policy. It appears that such a combination of policy instruments is counterproductive. This paper analyses the credibility of the policy-mix used by authorities. But, opposite to traditional credibility models, fiscal policy is explicitly introduced in the loss function of the authorities. The model suggests that a restrictive fiscal policy is not necessary a credible decision to defence the exchange rate target.
BASE
International audience ; Les crises asiatique et brésilienne ont intensifié le débat relatif à la politique économique à mettre en oeuvre par les autorités face à une crise de change. L'augmentation des taux d'intérêt accompagnée d'une politique budgétaire restrictive peut se révéler contreproductive eu égard à l'objectif de stabilisation du change. Ce papier analyse la question de la crédibilité du policy-mix mis en oeuvre par les autorités pour contrer une crise de change. La perspective adoptée se situe dans la lignée des travaux développés en termes de crise de crédibilité mais elle s'en démarque en introduisant explicitement la politique budgétaire dans l'analyse. Le modèle suggère qu'une politique budgétaire restrictive n'est pas nécessairement la décision la plus crédible. SPECULATIVE ATTACKS AND CREDIBILITY OF EXCHANGE RATE REGIME : WHAT POLICY-MIX TRADE-OFF ? Since the Asian and Brazilian exchange rate crises have occurred, the reaction of authorities has been the subject of an intense debate. Indeed, coping with a speculative attack, domestic authorities both increase interest rates and contract fiscal policy. It appears that such a combination of policy instruments is counterproductive. This paper analyses the credibility of the policy-mix used by authorities. But, opposite to traditional credibility models, fiscal policy is explicitly introduced in the loss function of the authorities. The model suggests that a restrictive fiscal policy is not necessary a credible decision to defence the exchange rate target.
BASE
In: Revue économique, Band 54, Heft 1, S. 25
ISSN: 1950-6694
In: Les conflits dans le monde: rapport annuel sur les conflits internationaux = Conflicts around the world, Band 19, S. 163-164
ISSN: 0712-7561
In: Revue économique, Band 52, Heft 2, S. 249
ISSN: 1950-6694
As autoridades portuguesas têm manifestado, desde a aprovação do Tratado de Maastricht, uma firme vontade de participação na União Monetária desde o seu início. Na estratégia de convergência nominal que tal escolha comporta, a estabilidade da taxa de câmbio tem constituído um objectivo central da política económica, tendo-lhe sido atribuída a função de âncora nominal do processo de desinflação. O presente trabalho procura analisar a credibilidade da política cambial seguida, desde a integração do escudo no mecanismo de taxas de cambio do SME até ao último realinhamento de Março de 1995. Os instrumentos dessa análise são os testes não paramétricos de Svensson aplicados á taxa de câmbio do escudo relativamente ao marco. O texto está organizado em duas partes. Na primeira parte são apresentados teoricamente os diferentes testes de credibilidade. Na segunda parte são apresentados e discutidos os resultados dos testes obtidos. A análise destes últimos sugere que, apesar do empenhamento das autoridades monetárias portuguesas, o objectivo de estabilidade cambial nunca foi (duradouramente) considerado credível pelos mercados.
BASE
In: Revue économique, Band 45, Heft 3, S. 515
ISSN: 1950-6694
In: Revue économique, Band 45, Heft 3, S. 515-528
ISSN: 1950-6694
Résumé
In: Actes de la recherche en sciences sociales, Band 148, Heft 3, S. 74-82
ISSN: 1955-2564
Résumé L'examen des principales caractéristiques des travaux portant sur les relations entre les institutions de recherche et les entreprises soulève des interrogations méthodologiques – le choix des cas étudiés et la capacité de généraliser à partir de ceux-ci – qui fournissent l'occasion de jeter un regard critique sur le processus de production des connaissances en sciences sociales. On observe dans les travaux récents une nette tendance à choisir des objets de recherche similaires, les chercheurs retenant très majoritairement des cas de réussite impliquant un nombre restreint d'acteurs peu représentatifs de l'ensemble des pratiques. Nonobstant cette limitation, les résultats sont souvent généralisés à l'ensemble du phénomène étudié. Ainsi, la multiplication des études portant sur le MIT ou l'université Stanford laisse dans l'ombre l'examen des échecs en matière de collaboration entre l'enseignement supérieur et l'industrie. La focalisation des travaux sur les États-Unis indique que la répartition des travaux correspond à la hiérarchie des puissances mondiales dans le champ scientifique et que les chercheurs reprennent à leur compte le classement qui prévaut dans le champ qu'ils prennent pour objet. Sur ce plan, il est clair que le statut élevé d'un cas au sein du groupe étudié exerce une rétroaction positive sur le statut de celui qui l'étudie. Un idéal type de la relation entre une entreprise et une institution de recherche se dégage de cette analyse : une équipe de chercheurs de haut niveau travaillant dans le secteur biomédical et appartenant à une université américaine « prestigieuse », qui poursuit des activités de recherche pour ou en collaboration avec une grande entreprise ou une PME de haute technologie du même domaine, et qui possède le personnel et les expertises nécessaires à une relation fructueuse ainsi qu'à l'utilisation optimale des résultats obtenus. Cet idéal type ne permet pas plus de cerner les relations entre les différents acteurs de l'innovation que de saisir la diversité des liens entre entreprises et institutions d'enseignement supérieur. On peut se demander comment les travaux étudiés parviennent alors malgré tout à s'imposer sur le plan scientifique. Une part de l'explication est d'ordre méthodologique : les cas retenus peuvent être considérés comme exemplaires dans la mesure où, pris un à un, ils analysent quelques-unes des caractéristiques principales du phénomène étudié. C'est pris collectivement comme corpus qu'ils posent problème car ils ne permettent pas de produire une connaissance générale du phénomène. Un second aspect de l'explication tient au faible degré d'autonomie des sciences sociales et à la propension des chercheurs à accepter des objets empiriques qui s'inscrivent « naturellement » dans les préoccupations gouvernementales : les histoires de succès, le secteur biomédical et la biotechnologie, les universités de pointe, etc.