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International audience ; La rareté constitue un facteur de conflit, qu'elle soit naturelle ou volontairement créée comme expression d'un pouvoir politique ou mercantile. Le capitalisme organise parfois une rareté relative, laquelle peut ensuite conduire à une guerre civile. Globalement, l'humanité a toujours lutté contre la rareté, souvent à l'aide des armes. Or, la sécurité internationale nécessaire au maintien de la paix est un service aléatoire et coûteux, notamment dans le cadre d'un marché mondial créateur d'inégalités. En situation de paix armée, l'effort de sécurité peut stimuler l'économie nationale, à condition de ne pas dépasser un certain seuil. Enfin, l'économie est parfois une arme qui peut déboucher sur des solutions létales.

"Eine Sekundäranalyse internationaler Vergleichsstudien (ISSP und Gallup) zeigt, daß das Umweltbewußtsein in Deutschland keineswegs in allen Bereichen so herausragend ist, wie oft unterstellt wird. Vor allem wenn es um die Zahlungsbereitschaft geht, rangieren die Deutschen nur im Mittelfeld. Nirgendwo sind allerdings Umweltängste so ausgeprägt wie in Deutschland. Erstaunlich ist, in welchem Maße sich die Beurteilungen von Umweltphänomenen weltweit ähneln. So ist vor allem Fortschrittsgläubigkeit und der Zukunftsoptimismus der ersten Moderne überall einer pessimistischen Zukunftssicht gewichen. Auch ist man sich weltweit einig darüber, daß der Zustand der Umwelt in der Nähe besser ist als in der Ferne. Die Daten der empirischen Studien lassen die in der Vergangenheit immer angenommene kausale Verbindung zwischen Postmaterialismus und Umweltbewußtsein fragwürdig erscheinen." (Autorenreferat, IAB-Doku)

Outlines positive and negative trends; based on conference paper. Partial contents: A new international political economy; Altered conceptual underpinnings; The development of regional and bilateral initiatives.

The concept of territoriality has been studied surprisingly little by students of international politics. Yet, territoriality most distinctively defines modernity in international politics, and changes in few other factors can so powerfully transform the modern world polity. This article seeks to frame the study of the possible transformation of modern territoriality by examining how that system of relations was instituted in the first place. The historical analysis suggests that "unbundled" territoriality is a useful terrain for exploring the condition of postmodernity in international politics and suggests some ways in which that exploration might proceed. The emergence of multiperspectival institutional forms is identified as a key dimension of the condition of postmodernity in international politics.

The movement of people in search of better economic conditions and a more secure environment is as old as human history. Such movements not only profoundly affect the lives of the migrants, but also lead to significant economic and social transformations in migrants' countries of origin and destination. In recent years, a significant increase in the growth of international migration and remittance flows and in awareness of their development impact has led to a resurgence of interest by academics, policymakers, and analysts in what has been referred to as the third leg of globalization (the other two being international trade and international capital flows). The renewed interest in international migration led the World Bank Development Research Group to initiate the Research Program on International Migration and Development in 2003. More recently, the Research Department of the Agence française de Développement (AFD) and the World Bank Development Research Group have collaborated on several research projects and conferences. This symposium issue gathers some of the papers presented at the Second International Migration and Development Conference, held at the World Bank in Washington, DC, on September 10–11, 2009. The success of the conference series and the commitment of the World Bank and AFD to sponsoring the conferences reflect the recognition by international development agencies and the academic community of the importance of international migration to the development agenda. The five articles in this symposium issue fall into two groups. A first group of three articles deal with the measurement, determinants, and political effects of international migration. A new global bilateral migration database for 1960–2000 ( Özden and others 2011) updates and extends the Parsons and others (2007) database back to 1960.

Les relations entre la Cour Pénale Internationale et le Conseil de Sécurité sont multiples et complexes, à la lumière des tensions entre justice internationale et politique internationale. Ces relations s'expliquent et se justifient par la complémentarité des missions de ces deux institutions: la CPI est chargée de juger les crimes internationaux qui mettent en branle le maintien de la paix et de la sécurité internationale dont le Conseil a la charge. Il a donc été décidé de coordonner leurs missions mais aussi – et surtout – de subordonner la justice à la politique. La coordination entre la CPI et le Conseil de Sécurité est organisée sous deux angles, à savoir, d'une part, le pouvoir du Conseil de saisir la Cour et, d'autre part, la pouvoir du Conseil de contraindre les Etats membres de l'ONU de coopérer avec la CPI. La subordination de la CPI au Conseil de Sécurité s'analyse, elle-aussi, sous deux aspects : le pouvoir du Conseil de suspendre l'activité de la Cour et de l'empêcher de juger un éventuel crime d'agression. Cette étude s'inscrit dans la recherche de l'équilibre entre justice pénale et politique internationales tel qu'il a été prévu dans le Statut de Rome mais aussi et surtout tel qu'il a par la suite été mis en œuvre par le Conseil de Sécurité. Il s'agit donc de déterminer, à la lumière de cette étude théorique et pratique portant sur les relations entre la CPI et le Conseil de Sécurité, la mesure de la politisation de la justice pénale internationale et sa légitimité. ; Master [60] en sciences politiques, orientation générale (horaire décalé), Université catholique de Louvain, 2017

Les relations entre la Cour Pénale Internationale et le Conseil de Sécurité sont multiples et complexes, à la lumière des tensions entre justice internationale et politique internationale. Ces relations s'expliquent et se justifient par la complémentarité des missions de ces deux institutions: la CPI est chargée de juger les crimes internationaux qui mettent en branle le maintien de la paix et de la sécurité internationale dont le Conseil a la charge. Il a donc été décidé de coordonner leurs missions mais aussi – et surtout – de subordonner la justice à la politique. La coordination entre la CPI et le Conseil de Sécurité est organisée sous deux angles, à savoir, d'une part, le pouvoir du Conseil de saisir la Cour et, d'autre part, la pouvoir du Conseil de contraindre les Etats membres de l'ONU de coopérer avec la CPI. La subordination de la CPI au Conseil de Sécurité s'analyse, elle-aussi, sous deux aspects : le pouvoir du Conseil de suspendre l'activité de la Cour et de l'empêcher de juger un éventuel crime d'agression. Cette étude s'inscrit dans la recherche de l'équilibre entre justice pénale et politique internationales tel qu'il a été prévu dans le Statut de Rome mais aussi et surtout tel qu'il a par la suite été mis en œuvre par le Conseil de Sécurité. Il s'agit donc de déterminer, à la lumière de cette étude théorique et pratique portant sur les relations entre la CPI et le Conseil de Sécurité, la mesure de la politisation de la justice pénale internationale et sa légitimité. ; Master [60] en sciences politiques, orientation générale (horaire décalé), Université catholique de Louvain, 2017