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This article examines the issue of state cooperation with the International Criminal Court (icc), and why it is vitally needed to achieve the institution's mandate, including that of human rights protection. The article examines why state cooperation with the icc is so important and what issues undermine it, including disputes with the African Union, but many other issues as well. It surveys what the icc has done to promote cooperation and what steps ought to be taken to try and enhance state cooperation in the future. This is timely as the icc has set up a review process in 2020 to deal with a range of problems including state non-cooperation. The article therefore examines the practices and procedures of the Court, matters concerning its judges and staff, issues around the appointment of a new prosecutor, as well as and judicial appointments, as well as its jurisprudence. The article examines the issues that ought to be addressed, as well as how a variety of actors could better assist the Court, including the Security Council, the wider United Nations system, and the methodology for doing so. The article also reviews what defensive strategies can be taken up to defend the Court, including against aggressive anti-icc actors, such as the United States of America, who are ramping up their attacks on the Court and its personnel.

En France, le terme de " Grand projet ", en matière d'aménagement urbain, a tendance à renvoyer à de grandes opérations ponctuelles: Beaubourg, Grand Louvre, Grande bibliothèque, Stade de France, etc., autant d'opérations exceptionnelles liées à une volonté politique forte - parfois même à celle de marquer un mandat – et le plus souvent points d'ancrage de la requalification d'un quartier. Dès lors le " grand projet " peut constituer le point d'appui ou la matérialisation d'un " projet urbain " dans son acception politique, qu'il nous semble intéressant d'analyser à la fois d'un point de vue interne, dans son fonctionnent urbain, à l'échelle du quartier ou de la ville, et d'un point de vue externe comme élément d'une métropole régionale ou d'une ville connectée sur l'international. Aussi, la lecture conjuguée des notions de " grand projet " et de " projet urbain " nous semble particulièrement pertinente pour le double regard qu'offre l'objet face à l'ambitieux projet politique et inversement, pour la matérialisation de ce dernier sous une forme architecturale et urbanistique et comme occasion de mettre en place des dispositifs opérationnels susceptibles de dénouer des conflits locaux. Ainsi le grand projet renvoie aussi bien à la question de la transformation de la ville comme réalité physique qu'à celle de la promotion d'une image, que ce soit celle d'un homme ou d'une ville. Lyon nous paraît alors à même de fournir des illustrations possibles de différents types de grands projets, témoins en leur temps de modes différenciés d'agencement des finalités multiples de l'action publique urbaine et matérialisation de modes de " penser et de faire la ville " caractéristiques de leur époque. Au début des années 1980, l'implantation dans le quartier de Gerland de l'Ecole Normale Supérieure Sciences constitue le point de départ d'un processus de requalification d'un vieux quartier industriel, d'une agglomération qui se découvre des ambitions de " métropole technopolitaine ". Inversement, à la fin de ces mêmes années, la volonté d'affirmer le statut de " ville internationale " de Lyon se traduit par la mise en place de la " Cité Internationale " bâtie en lieu et place de l'ancien Palais de la Foire. Ces deux opérations offrent l'occasion de s'interroger sur le rôle des grands projets dans les processus de requalification urbaine, la manière dont ils mobilisent de façons différenciées des acteurs aussi bien publics que privés, leur capacité à renouveler l'image des espaces qu'ils concernent et enfin à porter un projet urbain pour une agglomération.

En France, le terme de " Grand projet ", en matière d'aménagement urbain, a tendance à renvoyer à de grandes opérations ponctuelles: Beaubourg, Grand Louvre, Grande bibliothèque, Stade de France, etc., autant d'opérations exceptionnelles liées à une volonté politique forte - parfois même à celle de marquer un mandat – et le plus souvent points d'ancrage de la requalification d'un quartier. Dès lors le " grand projet " peut constituer le point d'appui ou la matérialisation d'un " projet urbain " dans son acception politique, qu'il nous semble intéressant d'analyser à la fois d'un point de vue interne, dans son fonctionnent urbain, à l'échelle du quartier ou de la ville, et d'un point de vue externe comme élément d'une métropole régionale ou d'une ville connectée sur l'international. Aussi, la lecture conjuguée des notions de " grand projet " et de " projet urbain " nous semble particulièrement pertinente pour le double regard qu'offre l'objet face à l'ambitieux projet politique et inversement, pour la matérialisation de ce dernier sous une forme architecturale et urbanistique et comme occasion de mettre en place des dispositifs opérationnels susceptibles de dénouer des conflits locaux. Ainsi le grand projet renvoie aussi bien à la question de la transformation de la ville comme réalité physique qu'à celle de la promotion d'une image, que ce soit celle d'un homme ou d'une ville. Lyon nous paraît alors à même de fournir des illustrations possibles de différents types de grands projets, témoins en leur temps de modes différenciés d'agencement des finalités multiples de l'action publique urbaine et matérialisation de modes de " penser et de faire la ville " caractéristiques de leur époque. Au début des années 1980, l'implantation dans le quartier de Gerland de l'Ecole Normale Supérieure Sciences constitue le point de départ d'un processus de requalification d'un vieux quartier industriel, d'une agglomération qui se découvre des ambitions de " métropole technopolitaine ". Inversement, à la fin de ces mêmes années, la volonté d'affirmer le statut de " ville internationale " de Lyon se traduit par la mise en place de la " Cité Internationale " bâtie en lieu et place de l'ancien Palais de la Foire. Ces deux opérations offrent l'occasion de s'interroger sur le rôle des grands projets dans les processus de requalification urbaine, la manière dont ils mobilisent de façons différenciées des acteurs aussi bien publics que privés, leur capacité à renouveler l'image des espaces qu'ils concernent et enfin à porter un projet urbain pour une agglomération.

En France, le terme de " Grand projet ", en matière d'aménagement urbain, a tendance à renvoyer à de grandes opérations ponctuelles: Beaubourg, Grand Louvre, Grande bibliothèque, Stade de France, etc., autant d'opérations exceptionnelles liées à une volonté politique forte - parfois même à celle de marquer un mandat – et le plus souvent points d'ancrage de la requalification d'un quartier. Dès lors le " grand projet " peut constituer le point d'appui ou la matérialisation d'un " projet urbain " dans son acception politique, qu'il nous semble intéressant d'analyser à la fois d'un point de vue interne, dans son fonctionnent urbain, à l'échelle du quartier ou de la ville, et d'un point de vue externe comme élément d'une métropole régionale ou d'une ville connectée sur l'international. Aussi, la lecture conjuguée des notions de " grand projet " et de " projet urbain " nous semble particulièrement pertinente pour le double regard qu'offre l'objet face à l'ambitieux projet politique et inversement, pour la matérialisation de ce dernier sous une forme architecturale et urbanistique et comme occasion de mettre en place des dispositifs opérationnels susceptibles de dénouer des conflits locaux. Ainsi le grand projet renvoie aussi bien à la question de la transformation de la ville comme réalité physique qu'à celle de la promotion d'une image, que ce soit celle d'un homme ou d'une ville. Lyon nous paraît alors à même de fournir des illustrations possibles de différents types de grands projets, témoins en leur temps de modes différenciés d'agencement des finalités multiples de l'action publique urbaine et matérialisation de modes de " penser et de faire la ville " caractéristiques de leur époque. Au début des années 1980, l'implantation dans le quartier de Gerland de l'Ecole Normale Supérieure Sciences constitue le point de départ d'un processus de requalification d'un vieux quartier industriel, d'une agglomération qui se découvre des ambitions de " métropole technopolitaine ". Inversement, à la fin de ces mêmes années, la volonté d'affirmer le statut de " ville internationale " de Lyon se traduit par la mise en place de la " Cité Internationale " bâtie en lieu et place de l'ancien Palais de la Foire. Ces deux opérations offrent l'occasion de s'interroger sur le rôle des grands projets dans les processus de requalification urbaine, la manière dont ils mobilisent de façons différenciées des acteurs aussi bien publics que privés, leur capacité à renouveler l'image des espaces qu'ils concernent et enfin à porter un projet urbain pour une agglomération.

En France, le terme de " Grand projet ", en matière d'aménagement urbain, a tendance à renvoyer à de grandes opérations ponctuelles: Beaubourg, Grand Louvre, Grande bibliothèque, Stade de France, etc., autant d'opérations exceptionnelles liées à une volonté politique forte - parfois même à celle de marquer un mandat – et le plus souvent points d'ancrage de la requalification d'un quartier. Dès lors le " grand projet " peut constituer le point d'appui ou la matérialisation d'un " projet urbain " dans son acception politique, qu'il nous semble intéressant d'analyser à la fois d'un point de vue interne, dans son fonctionnent urbain, à l'échelle du quartier ou de la ville, et d'un point de vue externe comme élément d'une métropole régionale ou d'une ville connectée sur l'international. Aussi, la lecture conjuguée des notions de " grand projet " et de " projet urbain " nous semble particulièrement pertinente pour le double regard qu'offre l'objet face à l'ambitieux projet politique et inversement, pour la matérialisation de ce dernier sous une forme architecturale et urbanistique et comme occasion de mettre en place des dispositifs opérationnels susceptibles de dénouer des conflits locaux. Ainsi le grand projet renvoie aussi bien à la question de la transformation de la ville comme réalité physique qu'à celle de la promotion d'une image, que ce soit celle d'un homme ou d'une ville. Lyon nous paraît alors à même de fournir des illustrations possibles de différents types de grands projets, témoins en leur temps de modes différenciés d'agencement des finalités multiples de l'action publique urbaine et matérialisation de modes de " penser et de faire la ville " caractéristiques de leur époque. Au début des années 1980, l'implantation dans le quartier de Gerland de l'Ecole Normale Supérieure Sciences constitue le point de départ d'un processus de requalification d'un vieux quartier industriel, d'une agglomération qui se découvre des ambitions de " métropole technopolitaine ". Inversement, à la fin de ces mêmes années, la volonté d'affirmer le statut de " ville internationale " de Lyon se traduit par la mise en place de la " Cité Internationale " bâtie en lieu et place de l'ancien Palais de la Foire. Ces deux opérations offrent l'occasion de s'interroger sur le rôle des grands projets dans les processus de requalification urbaine, la manière dont ils mobilisent de façons différenciées des acteurs aussi bien publics que privés, leur capacité à renouveler l'image des espaces qu'ils concernent et enfin à porter un projet urbain pour une agglomération.

Intro -- Contents -- Acknowledgments -- I. Refiguring Realism -- Realism and Rhetoric in International Relations -- II. Rereading Realist Writers -- Henry Kissinger: Realism's Rational Actor -- Realism Masking Fear: George F. Kennan's Political Rhetoric -- Reinhold Niebuhr and the Rhetoric of Christian Realism -- E. H. Carr: Ambivalent Realist -- Martin Wight: International Relations as Realm of Persuasion -- Hans J. Morgenthau In Defense of the National Interest:On Rhetoric, Realism, and the Public Sphere -- III. Rewriting Realist Concepts -- Rethinking Sovereignty -- The Meaning of Security -- Metaphors of Prestige and Reputation in American Foreign Policy and American Realism -- Nationalism and Realist Discourses of International Relations -- The Gender of Rhetoric, Reason, and Realism -- A Reinterpretation of Realism: Genealogy, Semiology, Dromology -- IV. Rewriting Foreign Policy -- Rhetorics of Place Characteristics in High-Level U. S. Foreign Policy Making -- The Logic of Différance in International Relations: U. S. Colonization of the Philippines -- Indigenous Peoples, Marginal Sites, and the Changing Context of World Politics -- Realistic Rhetoric but not Realism: A Senatorial Conversation on Cambodia -- V. Post-Realism -- Strategic Intelligence and Discursive Realities / Francis A. Beer and Robert Hariman -- List of Contributors -- Index.

582Expropriation — Extraterritorial effect — Expropriation without compensation of shares in company — Effect on debt owed to company by debtor in United States — Situs of debt — United States policy against expropriation without compensationRelationship of international law and municipal law — Act of State and justiciability — United States act of State doctrine — Extent and rationale — Extraterritorial exception — Acts of State purporting to affect property situated within United States — Whether contractual claim against United States corporation necessarily situated in United States — Contract to be performed in Iran — Requirement that courts should not interfere with diplomatic efforts of the Executive — Decision by United States court contradicting decision of Iran-United States Claims Tribunal — Whether such a decision would create a potential interference with diplomatic efforts of the Executive — The law of the United States

We investigate the effect of ethnic pluralism on mediation in interstate and internationalized civil crises from 1945 to 2010. We find that mediation succeeds when two conditions are met. First, success is more likely when there are fewer disenfranchised ethnic groups in the disputant population, because these groups are usually excluded from peace talks and often use violence to challenge peace. Second, mediators are more likely to succeed when politically included disputants, usually present at peace talks, comprise various different ethnic groups. Because such groups, numerous as they are, pull and tug for dominance at peace negotiations, they are unable to form decisive coalitions. As a result, third parties have a chance to serve in a more authoritative role and influence a settlement.

"Die G7 bildet ein mächtiges politisches Netzwerk der internationalen Beziehungen. Seit über drei Jahrzehnten koordiniert sich die Gruppe der wichtigsten Industriestaaten in verschiedenen Themenbereichen. Im Juni 2014 hat Deutschland die Präsidentschaft übernommen. Dies wirft die Frage nach seiner internationalen Verantwortung auf. Wie könnte die Agenda der Bundesregierung aussehen, um zusammen mit ihren Partnern beim Gipfeltreffen 2015 konkrete politische Schritte zu beschließen?" (Autorenreferat)

A national approach to environmental protection is the most effective way for Australia to protect its own environment and to contribute to the common cause of global environmental protection.[1] The centerpiece of this approach should be a federal environmental protection authority (EPA), able to deal with the issues which arise on a transboundary basis, both nationally and internationally. However, the powers of a national agency will need to be tailored to avoid conflict within the system of cooperative federalism in Australia. This article reviews constitutional tensions between federal and state government as they relate to several of the major international environmental conventions that bind Australia. The authors conclude that a federal authority, committed to enforcing Australia's international agreements to protect the environment, is the most effective means of addressing worldwide concern with the state of the natural world.

When I take up the Nuremberg cases in my class in International Law, I find it quite difficult to convey to the students how radical those proceedings appeared to be in 1947. At that time, the contention that there should be individual accountability under international law seemed to constitute an unfounded and dangerous precedent. How could political leaders be made personally responsible for acts of state such as instituting a war (even an "aggressive" war) or engaging in wholly internal policies (the "final solution" against Jews and other minorities of their own citizens)? Indeed, the Nuremberg result seemed somewhat unprincipled to my teachers when I went to law school in the late 1950's. But today's students, an entirely new generation, find the Nuremberg decisions unremarkable. Of course, they say, the Nazi leaders were criminally guilty of mass murder and should not have been able to hide behind the instrumentality of the state or government.

International law is marginalized in the books that introduce the majority of US university & college students to International Relations as a field of study. Textbook writers commonly state that international law is most difficult or least effective as applied to issues of security or high politics due to the primacy of state survival & the cardinal rule of sovereignty. Ironically, however, the typical chapter or unit on international law focuses precisely on high politics or law related to the use of force. The synthetic impression, reading these texts together, is that international law is something distinct from global governance or the development of international regimes. If the evaluative judgment is that law is weak & the text gives much less attention to the areas where it is functioning effectively, that is a qualitatively different sort of omission than writing an abstract that has to leave out details in order to cover the main points. The author concludes with three recommendations for improvement. 2 Tables, 23 References. Adapted from the source document.