Since 1998, U.S. House incumbents have won a staggering 98 percent of their reelection races. Electoral competition is also low and in decline in most state and primary elections. The Marketplace of Democracy combines the resources of two eminent research organizationsthe Brookings Institution and the Cato Instituteto address the startling lack of competition in our democratic system
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L'élection de onze députés des Français établis hors de France a constitué l'une des principales nouveautés des élections législatives de 2012. À travers l'analyse de la campagne dans la 1re circonscription des Français de l'étranger (Canada et États-Unis), cet article met en évidence les contraintes originales auxquels les candidats à ces mandats inédits ont dû faire face. La méconnaissance de l'électorat, sa dispersion au sein de circonscriptions immenses ou encore la faible structuration partisane sont autant de facteurs qui ont fortement affecté leur travail de mobilisation électorale. L'article montre également que par leurs pratiques de campagne mêmes, les différents candidats ont participé à poser les jalons d'un espace politique local français en Amérique du Nord. ; info:eu-repo/semantics/published
L'élection de onze députés des Français établis hors de France a constitué l'une des principales nouveautés des élections législatives de 2012. À travers l'analyse de la campagne dans la 1 re circonscription des Français de l'étranger (Canada et États-Unis), cet article met en évidence les contraintes originales auxquels les candidats à ces mandats inédits ont dû faire face. La méconnaissance de l'électorat, sa dispersion au sein de circonscriptions immenses ou encore la faible structuration partisane sont autant de facteurs qui ont fortement affecté leur travail de mobilisation électorale. L'article montre également que par leurs pratiques de campagne mêmes, les différents candidats ont participé à poser les jalons d'un espace politique local français en Amérique du Nord.
A central story of contemporary southern politics is the emergence of Republican majorities in the region's congressional delegation. Acknowledging the significance and scope of the political change, James M. Glaser argues that, nevertheless, strands of continuity affect the practice of campaign politics in important ways. Strong southern tradition underlies the strategies pursued by the candidates, their presentational styles, and the psychology of their campaigns. The author offers eyewitness accounts of recent congressional campaigns in Texas, Mississippi, Virginia, North Carolina, and South Carolina. In the tradition of his award-winning book Race, Campaign Politics, and the Realignment in the South, Glaser captures the "stuff" of politics - the characters, the images, the rhetoric, and the scenery. Painting a full and fascinating picture of what it is like on the campaign trail, Glaser provides wide-ranging insights into the ways that the "hand of the past" reaches into the southern present
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In 1995, promising a more active political presence for unions, John Sweeney was elected president of the AFL-CIO. Labor would develop a ""new voice, "" one that could not be ignored or taken for granted by Democratic and Republican politicians. However, by the summer of 2005 opposition to Sweeney's leadership threatened to divide the labor movement. In The Future of Organized Labor in American Politics, Peter L. Francia discusses the effects of Sweeney's controversial tenure as president and assesses labor's influence on American political elections and legislation. Drawi
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"The study of electoral realignments is one of the most influential and intellectually stimulating enterprises undertaken by American political scientists. Realignment theory has been seen as a science able to predict changes, and generations of students, journalists, pundits, and political scientists have been trained to be on the lookout for "signs" of new electoral realignments. Now a major political scientist argues that the essential claims of realignment theory are wrong - that American elections, parties, and policy making are not (and never were) reconfigured according to the realignment calendar. David R. Mayhew is Sterling Professor of Political Science at Yale University."--BOOK JACKET. Title Summary field provided by Blackwell North America, Inc. All Rights Reserved
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1 ; numero monografico La formule en discours : perspectives argumentatives et culturelles - coordonné par Ruth Amossy, Alice Krieg-Planque et Paola Paissa, consultabile alla pagina http://www.dorif.it/ezine/show_issue.php?iss_id=13 ; open ; Non definito ; Après avoir mis en évidence le caractère sémantique nébuleux de l'expression e-democracy (cyberdémocratie), nous reconstruisons le processus d'émergence de la formule aux États Unis et, ensuite, dans le contexte italien. Nous nous intéressons notamment aux usages de la formule « democrazia digitale » dans le cadre des élections politiques de 2013. La redéfinition de Gianroberto Casaleggio, l'idéologue du « MoVimento a 5 Stelle », exprime une volonté de contestation radicale du système politique actuel suscitant de nombreux débats polémiques dans l'arène publique. Ainsi la formule « democrazia digitale » revit-elle par les interprétations nouvelles qu'elle reçoit, et devient le moyen par lequel une véritable attaque médiatique généralisée est menée contre le M5s. Nous étudions les formes de la mise en circulation de la formule et de son inscription discursive, ainsi que les opérations métadiscursives « opacifiantes » et les phénomènes d'hétérogénéité énonciative liés à son usage. Notre recherche se propose néanmoins d'envisager non seulement les formes « en mention », mais également celles « en usage », afin de montrer que l'utilisation de la formule doit être considérée comme une stratégie rhétorique en mesure de créer des contextes énonciatifs hautement polémiques. ; open ; Amadori, Sara ; Amadori, Sara
Gender and representation -- Gender and candidacy : supply, demand, and political parties -- The recruitment and nomination practices of the political parties -- Candidate gender and electoral politics -- Barriers, opportunities, and the gendered path to office -- The pattern of women's representation across states -- Conclusion
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In the election campaign of 2000, Al Gore and Ralph Nader polled many millions more votes than George W. Bush. Yet the US Left lost out, a casualty of the two-party system. This is a pattern which has been repeated many times over the years. The most contentious issues dividing the Left in the United States have been those related to the Democratic Party. This book explores the crucial moments in US history where the stranglehold of the two-party system was nearly broken. Presenting a detailed history of Labor party politics, beginning with Henry George's campaign for mayor of New York City in 1886, proceeding to Robert La Follette's independent presidential campaign of 1924, and the Socialist party's relationship to New York's American Labor Party in the early twentieth century, Eric Chester explores the history of Left in America up to and including the Nader campaign of 2000. Chester identifies key reasons why burgeoning political movements have failed. He examines the part played by trade union-based political parties. He also looks at the inabililty of populist middle-class parties to establish ideological or organisational groundings for a viable third party. Looking to the future, Chester proposes an alternative: drawing on the success of the Socialist Party at the turn of the last century, he lays out ideas for a mass-based socialist party as the only way forward towards genuinely independent politics
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Le porte-à-porte a connu un développement important au cours de la dernière décennie, d'abord aux États-Unis puis en France, ayant été présenté, et légitimé scientifiquement, comme la technique de mobilisation électorale la plus efficace. À partir d'une étude ethnographique dans deux villes du Nord de la France, nous avons suivi le travail militant de deux sections socialistes lors de la campagne présidentielle de 2012. Après avoir souligné les difficultés de la réception locale d'une injonction au démarchage électoral personnalisé venu de l'appareil socialiste, nous analysons les ressorts de cette situation politique extraordinaire. Loin de la rationalisation annoncée, les interactions observées se sont avérées le plus souvent superficielles. Nous dégageons plusieurs types de situations, et interrogeons les conditions sociales et politiques d'enclenchement de discussions sur les pas-de-porte. À cet égard, la pratique s'avère très différente quand elle met en situation de coprésence habitants et élus plutôt que de simples militants, le rappel à l'ordre électoral cédant le pas à une relation clientéliste. Au regard de ces résultats, nous mettons en doute les effets électoraux jusqu'alors repérés par les recherches expérimentales. Si influence il y a, elle relève davantage du symbolique que des conséquences directes des interactions observées.
This article aims at evaluating the influence of campaign spending on legislative vote share within a new French campaign finance law. From an empirical analysis derived from the 1997 French legislative election, we show that the electoral outcomes are sensitive to campaign spending. Using ols and 2SLS methods and taking into account the bias of endogeneity, we demonstrate that the spending of incumbent candidates have a direct and positive effect whereas the spending of their challengers have an indirect and negative effect. In the context of the implementation of a new campaign finance regulation (characterized by both spending ceiling and public repayment), this result means that financial barriers to entry into political market are not entirely reduced. In conclusion, the return of French campaign spending is not quite different from those empirically verified within the American electoral process. ; L'objet de cet article est de déterminer l'influence des dépenses de campagne sur les résultats électoraux en France. À partir d'une étude empirique fondée sur les élections législatives de 1997, nous montrons que les résultats électoraux français sont sensibles aux dépenses électorales engagées par les candidats. En effet, une fois pris en compte le biais d'endogénéité de la dépense du candidat sortant à l'aide de la méthode des doubles moindres carrés, nous montrons que les suffrages d'un député sortant sont positivement influencés par sa dépense, et négativement par la dépense des autres candidats. Ce résultat est à mettre en perspective de la nouvelle réglementation des campagnes électorales visant à réduire les barrières financières à l'entrée du marché politique. Enfin, ce résultat confirme les travaux empiriques menés aux États-Unis sur le rendement positif de l'argent dans le processus électoral.
This article aims at evaluating the influence of campaign spending on legislative vote share within a new French campaign finance law. From an empirical analysis derived from the 1997 French legislative election, we show that the electoral outcomes are sensitive to campaign spending. Using ols and 2SLS methods and taking into account the bias of endogeneity, we demonstrate that the spending of incumbent candidates have a direct and positive effect whereas the spending of their challengers have an indirect and negative effect. In the context of the implementation of a new campaign finance regulation (characterized by both spending ceiling and public repayment), this result means that financial barriers to entry into political market are not entirely reduced. In conclusion, the return of French campaign spending is not quite different from those empirically verified within the American electoral process. ; L'objet de cet article est de déterminer l'influence des dépenses de campagne sur les résultats électoraux en France. À partir d'une étude empirique fondée sur les élections législatives de 1997, nous montrons que les résultats électoraux français sont sensibles aux dépenses électorales engagées par les candidats. En effet, une fois pris en compte le biais d'endogénéité de la dépense du candidat sortant à l'aide de la méthode des doubles moindres carrés, nous montrons que les suffrages d'un député sortant sont positivement influencés par sa dépense, et négativement par la dépense des autres candidats. Ce résultat est à mettre en perspective de la nouvelle réglementation des campagnes électorales visant à réduire les barrières financières à l'entrée du marché politique. Enfin, ce résultat confirme les travaux empiriques menés aux États-Unis sur le rendement positif de l'argent dans le processus électoral.
The president of the United States traditionally serves as a symbol of power, virtue, ability, dominance, popularity, and patriarchy. In recent years, however, the high-profile candidacies of Hillary Clinton, Sarah Palin, and Michelle Bachmann have provoked new interest in gendered popular culture and how it influences Americans' perceptions of the country's highest political office. In this timely volume, editors Justin S. Vaughn and Lilly J. Goren lead a team of scholars in examining how the president and the first lady exist as a function of public expectations and cultural gender
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International audience ; Cas des élections présidentielles françaises de 2007 et américaines de 2008 YVES VICTOR MAKAYA, PACTE – SCIENCES PO GRENOBLE Dans les régimes démocratiques, le système politique confère aux citoyens ayant la qualité d'électeur, le pouvoir de choisir au cours d'une élection, les représentants qu'ils jugent capables de les représenter à différents niveaux de l'État. Ainsi, par le vote, les citoyens participent directement au fonctionnement de la démocratie. Or, on assiste depuis quelques décennies à une « désaffection électorale », qui touche notamment la France où la participation électorale décline régulièrement depuis les années 1980 (Bréchon, 2009). Aux États-Unis la participation électorale connait également des fluctuations irrégulières depuis la fin des années 1960 (Wolfinger et Rosenstone, 1980). Cette tendance à la baisse de la participation électorale dont l'explication ne semble pas faire l'unanimité parmi les chercheurs, a tout de même connue une inversion à l'occasion des élections présidentielles françaises de 2007 et américaines de 2008. Considérés comme de véritables moments de « rupture » avec l'abstentionnisme électoral de longue durée, les taux de participation à ces scrutins, avaient alors atteints des niveaux exceptionnellement élevés : 84% au premier tour de l'élection présidentielle française d'avril-mai 2007 (contre 81% en 1981) et 64% à l'élection présidentielle américaine de novembre 2008 (contre 56% en 1972). Dans cette communication, nous comparons la participation électorale aux élections présidentielles françaises de 2007, à celle des élections présidentielles américaines de 2008.
International audience ; Cas des élections présidentielles françaises de 2007 et américaines de 2008 YVES VICTOR MAKAYA, PACTE – SCIENCES PO GRENOBLE Dans les régimes démocratiques, le système politique confère aux citoyens ayant la qualité d'électeur, le pouvoir de choisir au cours d'une élection, les représentants qu'ils jugent capables de les représenter à différents niveaux de l'État. Ainsi, par le vote, les citoyens participent directement au fonctionnement de la démocratie. Or, on assiste depuis quelques décennies à une « désaffection électorale », qui touche notamment la France où la participation électorale décline régulièrement depuis les années 1980 (Bréchon, 2009). Aux États-Unis la participation électorale connait également des fluctuations irrégulières depuis la fin des années 1960 (Wolfinger et Rosenstone, 1980). Cette tendance à la baisse de la participation électorale dont l'explication ne semble pas faire l'unanimité parmi les chercheurs, a tout de même connue une inversion à l'occasion des élections présidentielles françaises de 2007 et américaines de 2008. Considérés comme de véritables moments de « rupture » avec l'abstentionnisme électoral de longue durée, les taux de participation à ces scrutins, avaient alors atteints des niveaux exceptionnellement élevés : 84% au premier tour de l'élection présidentielle française d'avril-mai 2007 (contre 81% en 1981) et 64% à l'élection présidentielle américaine de novembre 2008 (contre 56% en 1972). Dans cette communication, nous comparons la participation électorale aux élections présidentielles françaises de 2007, à celle des élections présidentielles américaines de 2008.