La revanche des "déshérités"?: Richesse et complexité du chiisme
In: Maghreb, Machrek: revue trimestrielle = al- Maġrib wa-ʾl-mašriq, Heft 190, S. 7-12
ISSN: 1762-3162, 0336-6324, 1241-5294
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In: Maghreb, Machrek: revue trimestrielle = al- Maġrib wa-ʾl-mašriq, Heft 190, S. 7-12
ISSN: 1762-3162, 0336-6324, 1241-5294
World Affairs Online
In: Revue des sciences sociales, Heft 67, S. 06-11
ISSN: 2107-0385
In: Communications, Band 95, Heft 1, S. 179-198
In: Notes et Etudes Documentaires, Heft 10, S. 1-144
In: Connexions: psychosociologie, sciences humaines, Band 117, Heft 1, S. 153-166
ISSN: 1776-2804
Si la psychosociologie promue par Connexions est née et s'est développée sous le signe de l'interdisciplinarité, elle se révèle aussi d'emblée comme un projet beaucoup plus ambitieux. En effet, plutôt que de dialoguer avec d'autres disciplines autour d'une problématique déjà définie, la psychosociologie entend désigner un niveau précis de réalité doté de spécificités irréductibles à la connaissance produite par un savoir. L'irréductibilité du niveau psychosociologique est une hypothèse forte qui inscrit, de fait, la psychosociologie parmi les sciences de la complexité. Les systèmes complexes partagent des processus de construction et de fonctionnement tout à fait analogues, malgré la différence des matériaux qui les composent. L'exploration de deux thèmes fondamentaux de la complexité : les propriétés émergentes et la position de l'observateur/intervenant permettent non seulement de soutenir la « légitimité » de la psychosociologie mais aussi de cadrer les défis que la transdisciplinarité pose à la psychanalyse comme théorie et comme technique.
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 4, Heft 2, S. 13-34
ISSN: 1918-7475
Les discussions sur la complexité dans les sciences sociales ont été affectées par des malentendus concernant la notion de système. L'une des caractéristiques des systèmes sociaux est qu'il s'agit de systèmes d'acteurs, dans lesquels la composition des intentionnalités peut utilement servir de fil conducteur pour la construction des logiques de ces systèmes. Les choses sont bien évidemment différentes dans les sciences de la nature. Dans ce contexte, la complexité peut se définir en mathématiques ou en physique par l'augmentation du niveau d'imprévisibilité d'un système, ce qui n'est pas le cas dans les mondes sociaux. L'hypercomplexité des systèmes sociaux repose sur une très forte interactivité entre acteurs, objets et environnements et cette interactivité est d'autant plus intelligible que l'on connaît les attentes, les désirs, les craintes, les projets des acteurs. En conséquence, le futur devient un objet d'études à la fois plus accessible et plus nécessaire aux les sciences sociales, comme les exemples de la « transition démographique » et des choix résidentiels individuels en témoignent.
In: Sociétés: revue des sciences humaines et sociales, Band 121, Heft 3, S. 53-63
ISSN: 1782-155X
Le paradigme de la complexité d'Edgar Morin semble avoir ouvert de nouveaux chemins à la production de connaissance. Sa compréhension passe, entre autres voies, par l'étendue de ses signes. C'est ce que nous prétendrons explorer dans cet essai, dans son sens provisoire, à travers la sémiologie de Roland Barthes, en envisageant quelques aspects culturels et philosophiques.
In: Mouvements: des idées et des luttes, Band 29, Heft 4, S. 90
ISSN: 1776-2995
In: Les champs de Mars: revue d'études sur la guerre et la paix, Band 37, Heft 2, S. 7-24
ISSN: 2427-3244
In: Cahiers d'histoire. Revue d'histoire critique, Heft 145, S. 19-38
ISSN: 2102-5916
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 12, Heft 2, S. 11-39
ISSN: 1918-7475
Dans le cadre d'un modèle formel de la structure et de l'évolution d'un réseau sociocognitif complexe d'acteurs individuels, cet article analyse les conditions d'émergence, de stabilisation et de disparition de collectifs, i.e. de groupes organisés et stables d'acteurs individuels, qui se comportent comme autant de sujets dotés d'intentionnalité – de sujets pluriels.
Le socle cognitif de chacun de ces derniers étant formé de représentations partagées par l'ensemble de ses membres, l'émergence de tels collectifs implique l'apparition de telles représentations. Cette apparition représente un premier phénomène créatif, immédiatement collectif, lié à la dimension extensive de l'apprentissage individuel lors de la communication sociale. La stabilisation progressive de tels collectifs résulte alors de la dimension intensive de cet apprentissage, réalisée simultanément à sa dimension extensive, et qui débouche sur l'apparition de routines cognitives. Ces dernières s'effacent parfois du niveau conscient des sujets individuels, et ainsi parfaitement ancrées, elles deviennent invisibles pour les collectifs de pensée concernés, qui se trouvent de ce fait pleinement stabilisés.
Chaque état du réseau contient une constellation de tels collectifs de tailles et de vocations diverses, mais dont certains poursuivent un même objectif. Ils entrent alors en concurrence du fait d'être centrés sur un objet commun que chacun d'eux voudrait gérer seul après avoir éliminé l'(les) autre(s) collectif(s) concerné(s). L'analyse de cette dynamique concurrentielle détaille les conditions de la suprématie de l'un des collectifs concernés sur l'autre (ou sur les autres). C'est alors le paysage de l'ensemble des collectifs qui se trouve modifié au terme toujours provisoire d'une telle dynamique, et se manifeste ainsi une seconde forme de créativité, cette fois-ci au niveau du réseau global.
In: Nouvelles pratiques sociales: NPS, Band 21, Heft 1, S. 38-51
ISSN: 1703-9312
Nous allons examiner dans cet article quelques-uns des enjeux des pratiques sociales du réseau Internet en lien avec les formes prises par la démocratie dans un contexte marqué par la globalisation du capitalisme et par la transformation de l'État. Pour ce faire, nous aborderons le réseau informatique en considérant celui-ci comme un lieu d'échanges communicationnels puis comme un lieu de diffusion d'informations susceptibles d'être mobilisés par les composantes de la société civile. Nous conclurons que le rôle d'Internet à des fins politiques dépend non seulement de la configuration sociotechnique de celui-ci, mais aussi du contexte sociohistorique dans lequel il prend place.
In: Défense nationale: problèmes politiques, économiques, scientifiques, militaires, Band 54, Heft 3, S. 7-16
ISSN: 0035-1075, 0336-1489
In: L Homme et la société, Band 84, Heft 2, S. 29-39
In: Canadian journal of development studies: Revue canadienne d'études du développement, Band 2, Heft 1, S. 54-69
ISSN: 2158-9100