Covid-19: résilience et rebond
In: Revue défense nationale, Heft 833, S. 23-69
ISSN: 2105-7508
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In: Revue défense nationale, Heft 833, S. 23-69
ISSN: 2105-7508
World Affairs Online
In: Reliance: revue des situations de handicap, de l'éducation et des sociétés, Band n o 18, Heft 4, S. 15-20
ISSN: 1951-6282
Résumé Cet article décrit l'expérience d'accompagnement que j'ai effectuée auprès de deux équipes (sous la même direction) travaillant dans des résidences accueillant des personnes handicapées mentales, appartenant à l' adsea (Association départementale de sauvegarde de l'enfance et de l'adolescence) de Seine-et-Marne. Cette demande m'avait été exprimée après une conférence sur la résilience devant un auditoire essentiellement composé de travailleurs sociaux et de responsables politiques et associatifs chargés de la protection de l'enfance.
In: Développement Humain, Handicap et Changement Social, Band 19, Heft 1, S. 117
ISSN: 2562-6574
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 40 / n° 157, Heft 3, S. 111-130
ISSN: 2101-0218
Les centenaires sont souvent perçus comme des prototypes de vieillissement réussi, pourtant les recherches soulignent leur grande vulnérabilité en raison de pertes majeures et d'importantes baisses de ressources. En particulier, les centenaires présentent une multi-morbidité et courent le risque d'un déclin cognitif et d'une diminution des contacts sociaux les plus proches. Néanmoins, ils sont également résilients : malgré leur vulnérabilité, ils expriment fréquemment un bon niveau de satisfaction de vie. À ce jour, nous connaissons peu sur les mécanismes de résilience qui pourraient expliquer ce « paradoxe du bien-être » ; peu d'études ont porté sur ce sujet chez les centenaires. Cet article présente une synthèse des études sur la vulnérabilité à l'âge de 100 ans pour mieux comprendre les défis auxquels les centenaires sont confrontés. Nous présentons ensuite de manière contrastée des données sur la résilience, en particulier le bien-être, et plusieurs mécanismes sous-tendant potentiellement une telle résilience. Diverses forces psychologiques – dont les stratégies d'adaptation (par exemple coping) et les croyances concernant soi-même (par exemple auto-efficacité, sens donné à l'existence) – et leur impact sur le bien-être sont discutés. Pour résumer, les résultats indiquent que les centenaires sont assez vulnérables, faisant face à de nombreux défis, mais également résilients en raison de diverses forces psychologiques qui contribuent à leur bien-être et bonne qualité de vie. Les futures études devraient faire progresser la théorie et les méthodes de recherche en la matière. Des applications concrètes sont proposées, comprenant des pistes pour réduire la vulnérabilité et renforcer la résilience.
Les démocraties représentatives sont, de nos jours, confrontées à des transformations majeures apportées par les procès de globalisation, l'affirmation de nouvelles technologies de communication et par la diffusion d'un discrédit croissant du personnel politique. Ces transformations semblent affecter les mécanismes centraux de la démocratie représentative. Dès lors, on peut légitimement se demander si elles parviendront à y faire face. Mais il faut observer que les institutions représentatives ont montré jusqu'ici une remarquable résilience, soit une grande capacité d'adaptation aux changements. Conséquente à quatre facteurs cruciaux, qui concernent l'idée de représentation, l'élection, l'indétermination partielle et l'incomplétude du dispositif représentatif. Les institutions représentatives ne relèvent pas de la géométrie politique ; elles procèdent plutôt d'une raison prudentielle : c'est là une autre source de leur adaptabilité et, du coup, de leur longévité.
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In: Frontières, Band 22, Heft 1-2, S. 22-26
ISSN: 1916-0976
Cet article présente le concept de résilience comme réaction à une rupture vécue au cours de l'existence ainsi qu'en relation avec le processus de construction identitaire. Cette réaction est conditionnée par l'interaction entre les caractéristiques intrinsèques de la personne, ses occupations ainsi que des facteurs extrinsèques ou environnementaux. La résilience est présente quand la personne vit un processus de construction identitaire favorable en dépit des obstacles et des ruptures. Elle peut même être renforcée par eux. En réadaptation, la construction identitaire peut constituer une cible d'intervention ancrée dans les composantes porteuses de sens pour la personne. En fonction du modèle du Processus de production du handicap, il est possible d'agir sur une ou plusieurs composantes, soit la personne, l'environnement et la participation sociale ainsi que sur leurs interactions, pour favoriser la résilience et la construction identitaire.
L'économie géographique traite, principalement, de l'existence de forces centrifuges ou centripètes qui caractérisent l'évolution de l'espace économique. Nombre de travaux concluent à la prégnance de phénomènes de spécialisation des territoires et de concentration sans pour autant mettre en cause le principe de gains mutuels à l'échange interterritorial. Dans le pire des cas, la croissance serait, certes, porteuse d'inégalités de développement (et de revenus), mais ces inégalités seraient favorables à la croissance globale et au bien‐être de chacun. En toute hypothèse il serait malvenu d'entraver le libre jeu du marché qui s'incarnerait dans les variations des prix et des salaires censés constituer des signaux efficaces pour allouer les ressources productives. Il serait malvenu de s'opposer aux inégalités utiles de capacités de développement ou aux changements nécessaires de localisation. Dès lors, un principe d'équité seul devrait guider des politiques régionales réduites à des politiques de transferts de revenus conçues de telle manière à ne pas porter atteinte à la croissance globale. La nouvelle économie géographique fait, toutefois, valoir la possibilité d'un développement équilibré des territoires qui correspond à la situation dans laquelle chaque territoire est le siège d'entreprises occupant une niche particulière, un ou plusieurs segments d'une industrie, et bénéficiant de rendements croissants. Spécialisation et concentration vont de pair avec des taux de croissance élevés dans chaque territoire. Les gains mutuels à l'échange peuvent être équitablement répartis. La raison souvent aléatoire d'une localisation initiale importe, alors, moins que les conditions de sa pérennité et deson renforcement. La résilience d'un territoire tient moins à des attributs intangibles, à des dotations initiales, qu'à sa capacité à absorber des chocs technologiques ou de préférences en jouant d'avantages spécifiques qui sont des avantages construits et cumulatifs dont la spécificité réside dans le fait qu'ils rendent coûteux les changements de localisation. L'action publique, en aidant à la constitution de ces avantages, concourt à cet objectif de résilience en même temps qu'elle est susceptible de concourir à une égalisation des performances territoriales.
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L'économie géographique traite, principalement, de l'existence de forces centrifuges ou centripètes qui caractérisent l'évolution de l'espace économique. Nombre de travaux concluent à la prégnance de phénomènes de spécialisation des territoires et de concentration sans pour autant mettre en cause le principe de gains mutuels à l'échange interterritorial. Dans le pire des cas, la croissance serait, certes, porteuse d'inégalités de développement (et de revenus), mais ces inégalités seraient favorables à la croissance globale et au bien‐être de chacun. En toute hypothèse il serait malvenu d'entraver le libre jeu du marché qui s'incarnerait dans les variations des prix et des salaires censés constituer des signaux efficaces pour allouer les ressources productives. Il serait malvenu de s'opposer aux inégalités utiles de capacités de développement ou aux changements nécessaires de localisation. Dès lors, un principe d'équité seul devrait guider des politiques régionales réduites à des politiques de transferts de revenus conçues de telle manière à ne pas porter atteinte à la croissance globale. La nouvelle économie géographique fait, toutefois, valoir la possibilité d'un développement équilibré des territoires qui correspond à la situation dans laquelle chaque territoire est le siège d'entreprises occupant une niche particulière, un ou plusieurs segments d'une industrie, et bénéficiant de rendements croissants. Spécialisation et concentration vont de pair avec des taux de croissance élevés dans chaque territoire. Les gains mutuels à l'échange peuvent être équitablement répartis. La raison souvent aléatoire d'une localisation initiale importe, alors, moins que les conditions de sa pérennité et deson renforcement. La résilience d'un territoire tient moins à des attributs intangibles, à des dotations initiales, qu'à sa capacité à absorber des chocs technologiques ou de préférences en jouant d'avantages spécifiques qui sont des avantages construits et cumulatifs dont la spécificité réside dans le fait qu'ils rendent ...
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International audience ; Dans un contexte de résurgence depuis une décennie de la catastrophe « naturelle » mobilisant en retour la propriété de résilience des territoires, cet article vise à analyser les soubassements étiologiques et axiologiques sur lesquels se fondent le pouvoir central français lorsqu'il invoque ces deux concepts. À cet égard, les conséquences dramatiques de la tempête Xynthia de 2010 ont révélé une inflexion notable en matière de gestion des risques d'inondation/submersion marine sous-tendant la mise en œuvre de politiques publiques renouvelées de prévention focalisées sur l'amélioration de la résilience. La résilience, loin d'être représentative d'une idiosyncrasie territoriale porteuse de démocratie participative, participe en réalité d'un double mouvement de maintien du statu quo en matière de gestion technocratique aléa-centrée du risque d'une part et d'un projet d'inspiration néolibérale qui, sous couvert de développement d'une « culture du risque », participe d'un démantèlement des mécanismes de solidarité collective et d'une responsabilisation individuelle d'autre part.
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International audience ; Dans un contexte de résurgence depuis une décennie de la catastrophe « naturelle » mobilisant en retour la propriété de résilience des territoires, cet article vise à analyser les soubassements étiologiques et axiologiques sur lesquels se fondent le pouvoir central français lorsqu'il invoque ces deux concepts. À cet égard, les conséquences dramatiques de la tempête Xynthia de 2010 ont révélé une inflexion notable en matière de gestion des risques d'inondation/submersion marine sous-tendant la mise en œuvre de politiques publiques renouvelées de prévention focalisées sur l'amélioration de la résilience. La résilience, loin d'être représentative d'une idiosyncrasie territoriale porteuse de démocratie participative, participe en réalité d'un double mouvement de maintien du statu quo en matière de gestion technocratique aléa-centrée du risque d'une part et d'un projet d'inspiration néolibérale qui, sous couvert de développement d'une « culture du risque », participe d'un démantèlement des mécanismes de solidarité collective et d'une responsabilisation individuelle d'autre part.
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International audience ; Dans un contexte de résurgence depuis une décennie de la catastrophe « naturelle » mobilisant en retour la propriété de résilience des territoires, cet article vise à analyser les soubassements étiologiques et axiologiques sur lesquels se fondent le pouvoir central français lorsqu'il invoque ces deux concepts. À cet égard, les conséquences dramatiques de la tempête Xynthia de 2010 ont révélé une inflexion notable en matière de gestion des risques d'inondation/submersion marine sous-tendant la mise en œuvre de politiques publiques renouvelées de prévention focalisées sur l'amélioration de la résilience. La résilience, loin d'être représentative d'une idiosyncrasie territoriale porteuse de démocratie participative, participe en réalité d'un double mouvement de maintien du statu quo en matière de gestion technocratique aléa-centrée du risque d'une part et d'un projet d'inspiration néolibérale qui, sous couvert de développement d'une « culture du risque », participe d'un démantèlement des mécanismes de solidarité collective et d'une responsabilisation individuelle d'autre part.
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International audience ; Dans un contexte de résurgence depuis une décennie de la catastrophe « naturelle » mobilisant en retour la propriété de résilience des territoires, cet article vise à analyser les soubassements étiologiques et axiologiques sur lesquels se fondent le pouvoir central français lorsqu'il invoque ces deux concepts. À cet égard, les conséquences dramatiques de la tempête Xynthia de 2010 ont révélé une inflexion notable en matière de gestion des risques d'inondation/submersion marine sous-tendant la mise en œuvre de politiques publiques renouvelées de prévention focalisées sur l'amélioration de la résilience. La résilience, loin d'être représentative d'une idiosyncrasie territoriale porteuse de démocratie participative, participe en réalité d'un double mouvement de maintien du statu quo en matière de gestion technocratique aléa-centrée du risque d'une part et d'un projet d'inspiration néolibérale qui, sous couvert de développement d'une « culture du risque », participe d'un démantèlement des mécanismes de solidarité collective et d'une responsabilisation individuelle d'autre part.
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International audience ; Dans un contexte de résurgence depuis une décennie de la catastrophe « naturelle » mobilisant en retour la propriété de résilience des territoires, cet article vise à analyser les soubassements étiologiques et axiologiques sur lesquels se fondent le pouvoir central français lorsqu'il invoque ces deux concepts. À cet égard, les conséquences dramatiques de la tempête Xynthia de 2010 ont révélé une inflexion notable en matière de gestion des risques d'inondation/submersion marine sous-tendant la mise en œuvre de politiques publiques renouvelées de prévention focalisées sur l'amélioration de la résilience. La résilience, loin d'être représentative d'une idiosyncrasie territoriale porteuse de démocratie participative, participe en réalité d'un double mouvement de maintien du statu quo en matière de gestion technocratique aléa-centrée du risque d'une part et d'un projet d'inspiration néolibérale qui, sous couvert de développement d'une « culture du risque », participe d'un démantèlement des mécanismes de solidarité collective et d'une responsabilisation individuelle d'autre part.
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