Selecting Names for Experiments on Ethnic Discrimination
In: IZA Discussion Paper No. 15524
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In: IZA Discussion Paper No. 15524
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 15707
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 11722
SSRN
In: CESifo economic studies: a joint initiative of the University of Munich's Center for Economic Studies and the Ifo Institute, Band 68, Heft 2, S. 127-154
ISSN: 1612-7501
Abstract
We examine the impact of internship experience during secondary education on students' schooling and early labour market outcomes by analysing unique, longitudinal data from Belgium. To control for unobservable differences between students with and students without internship experience, we estimate a dynamic discrete choice model. In line with literature on vocational education, we find that internship experience has a positive effect on one's employment chances up to 5 years after graduation. This positive effect is mainly explained by a positive direct employment effect. Although we also find a positive indirect employment effect through a higher chance to obtain a secondary education qualification, this is largely compensated by negative indirect effects through lower tertiary education attainment. (JEL codes: I21, I26, J21, and J24)
In: Journal of Economic Surveys, Band 33, Heft 3, S. 896-921
SSRN
Récemment,une étude menée par des sociologues de l'Université de Gandrévélait que des candidats locataires ayant un nom à consonance étrangère, ou s'exprimant avec un accent étranger, avait plus de mal à trouver un logement à Anvers et à Gand. De telles discriminations existent-elles aussi sur le marché de l'emploi ? C'est ce que ce numéro deRegards Economiquescherche à établir. Plus précisément, l'étude présentée dans ce numéro vise à déterminer si les employeurs flamands traitent de manière égale les candidatures à l'emploi des jeunes diplômés aux noms à consonance turque et à consonance flamande.Pour ce faire, les chercheurs ont répondu à des offres d'emploi réelles en envoyant des candidatures fictives dont la seule différence majeure était le nom du candidat (à consonance soit flamande soit turque, les Turcs représentant la plus importante minorité ethnique à Gand et la seconde à Anvers, les deux villes auxquelles les candidats fictifs étaient domiciliés).Il ressort de cette étude qu'une inégalité de traitement existe sur le marché du travail en Flandre. Les jeunes diplômés aux noms à consonance turque ont moins de chance d'être invités à un entretien d'embauche que les jeunes diplômés aux noms à consonance flamande : en moyenne, ils doivent envoyer 44 % de candidatures en plus s'il souhaite recevoir le même nombre de réponses positives. Ceci est particulièrement vrai s'ils sont peu qualifiés et candidats à des postes pour lesquels il n'existe pas de pénurie de main-d'œuvre. En revanche, la discrimination disparaît dans les secteurs où il y a pénurie de main d'œuvre.Une telle discrimination est non seulement inacceptable d'un point de vue éthique, mais elle a également d'importantes répercussions sur le plan économique. En raison des énormes défis posés par le vieillissement de la population, il est important de pouvoir compter sur tous les groupes de la population. En outre, ce type d'exclusion en début de carrière peut avoir des conséquences à long terme.Comment remédier à ce problème ? Plusieurs politiques sont proposées : (1) des campagnes de sensibilisation; (2) le recours à un système de candidatures anonymes; (3) faire respecter la loi par le contrôle plus systématique de la discrimination et par l'imposition de sanctions en cas de détection; (4) l'instauration de quotas de recrutement en faveur des personnes issues de l'immigration. Comme l'expliquent les auteurs de l'étude, aucune de ces politiques n'est exempte d'effets pervers. Il convient donc de les doser et de les combiner au mieux pour réduire la discrimination de façon effective sur le marché de l'emploi.
BASE
In: Kyklos: international review for social sciences, Band 69, Heft 3, S. 401-425
ISSN: 1467-6435
SummaryWe investigate the impact of student work experience on later hiring chances. To completely rule out potential endogeneity, we present a field experiment in which various forms of student work experience are randomly disclosed by more than 1000 fictitious graduates applying for jobs in Belgium. Theoretical mechanisms are investigated by estimating heterogeneous treatment effects by the relevance and timing of revealed student work experience. We find that neither form of student work experience enhances initial recruitment decisions. For a number of candidate subgroups (by education level and occupation type), even an adverse effect is found.
In: CESifo Working Paper Series No. 4093
SSRN
Working paper
In: IZA Discussion Paper No. 11023
SSRN
Working paper
In: IZA Discussion Paper No. 11127
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 14896
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 14502
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 13514
SSRN
Working paper
In: IZA Discussion Paper No. 8232
SSRN
In: IZA Discussion Paper No. 8447
SSRN