Un problème rural permanent
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 6, Heft 1, S. 112-113
ISSN: 1953-8146
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In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 6, Heft 1, S. 112-113
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 4, S. 495-496
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 3, S. 364-366
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 3, S. 382-383
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 2, S. 159-166
ISSN: 1953-8146
Opulente, riche en blé et en sucre, la Brie n'a guère fixé les hommes. Non seulement la densité de population y est faible pour un pays aussi productif, mais les hommes ne font qu'y passer. Le court séjour des nombreux migrants saisonniers du XIXe siècle s'est allongé pour les migrants polyannuels ou viagers d'aujourd'hui. Malgré l'évolution, il a conservé son caractère temporaire.En Brie, la terre ne meurt pas : les hommes s'y relayent à la tâche. Toujours de véritables courants humains venus des horizons les plus divers se forment et se reforment. Les masses humaines s'écoulent régulièrement, plus ou moins denses selon les moments, mais le flot ne tarit pas.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 2, S. 221-221
ISSN: 1953-8146
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 4, Heft 1, S. 104-105
ISSN: 1953-8146
Une des tâches de l'Institut National d'Études Démographiques depuis sa fondation, en 1945, est la recherche de solutions au grave problème du manque de main-d'œuvre, posé pour la seconde fois, en ce siècle, au lendemain d'une nouvelle guerre mondiale épuisante et ruineuse.Si l'on met à part la solution à longue échéance d'un accroissement problématique de la natalité, deux solutions : l'une devenue classique depuis plus de trente ans, l'appel aux travailleurs étrangers ; l'autre, solution de fortune, sinon désespérée, consiste à découvrir, à l'intérieur même de nos frontières, les indispensables travailleurs. Elle repose finalement sur un emploi anormal des femmes et des vieillards.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 2, Heft 4, S. 411-416
ISSN: 1953-8146
Les formes de déplacements humains sont nombreuses. Les migrations se font tantôt en masses compactes, tantôt par petits groupes ou individuellement. Mais la durée des déplacements ou des absences et leur répétition apportent aux migrations des nuances variées dans le temps et dans l'espace. Géographes, historiens, économistes ont cherché à classer les courants migratoires et ils ont distingué les migrations temporaires des migrations définitives. Mais que de formes entre le déplacement local régulier et quotidien et la migration lointaine permanente ou définitive !Les courants migratoires temporaires comportent plusieurs degrés : migrations alternantes quotidiennes entre la ville et sa banlieue ou entre zones de régions industrielles, migrations hebdomadaires, migrations saisonnières, migrations polyannuelles reposant sur des absences de plus ou moins longue durée. Si certains courants comme les migrations saisonnières semblent s'être fortement atténués depuis le XIXe siècle, d'autres, au contraire, se sont maintenus ou développés.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 2, Heft 4, S. 455-462
ISSN: 1953-8146
Les géographes français, depuis Vidal de la Blache, ont très inégalement fouillé les divers domaines de la géographie humaine. Ils n'ignorent pas la géographie sociale, mais ils n'ont pas encore cherché à lui donner la place qui lui est due. Les analyses restent très superficielles; les limites sont à peine tracées et les méthodes propres de cette géographie sociale sont encore à préciser.Parmi les derniers ouvrages sur les classes sociales et la vie sociale de notre pays, deux surtout doivent retenir l'attention des géographes : celui d'un historien, Charles Morazé, et celui d'un géographe, Pierre George. Tous deux, avec raison, montrent le lien étroit entre économie et société. Mais chacun traite de la société française en utilisant ses méthodes propres ; l'historien insiste sur l'évolution et le rôle de cette bourgeoisie depuis le XVIIIe siècle, tandis que le géographe fait un tableau de la situation sociale présente ; il s'agit en quelque sorte de deux analyses, menées sur des plans différents, mais qui possèdent leurs qualités respectives.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 2, Heft 1, S. 53-70
ISSN: 1953-8146
De tous les peuples d'Europe, la France, est un de ceux qui émigrent le moins. Raisons sentimentales sans doute, certainement aussi raisons matérielles. Le Français trouve chez lui des ressources suffisantes pour assurer sa subsistance. S'il est obligé de gagner sa vie hors de son lieu d'origine, son choix se porte sur des régions françaises plus favorisées, ou, le plus souvent encore, sur les grandes agglomérations urbaines et les zones industrielles ; de là, le grand exode des campagnes vers les villes. Ces migrations intérieures importantes n'ont pas encore été étudiées dans leur ensemble ; elles méritent pourtant qu'on s'y arrête et qu'on en fasse un jour la synthèse, après avoir entrepris recherches et enquêtes démogéographiques assez complètes. Dans la présente analyse, nous nous en tiendrons à un sujet moins complexe, mais pour lequel encore beaucoup de problèmes se posent : l'émigration vers l'Amérique.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 1, Heft 3, S. 266-270
ISSN: 1953-8146
Pierre George, après sa Géographie économique et sociale de la France, vient de publier une courte, mais synthétique Géographie sociale, du Monde. Oser parler de géographie sociale ? « Aux armes, sociologues ! » Allons-nous voir reprendre la lutte entre la Morphologie sociale et la Géographie humaine ? Déjà, certains géographes prennent peur : « Après la géographie politique, la géographie religieuse, la géographie psychologique, la géographie médicale, la géographie littéraire, etc., nous fallait-il encore une géographie sociale ?… Les géographes ne risquent-ils pas de compromettre leur discipline, si bien lancée, en voulant tout embrasser ? » Et pourtant les novateurs ne veulent pas reculer — et l'on ne peut qu'applaudir un tel enthousiasme sinon une telle audace.
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 1, Heft 1, S. 61-66
ISSN: 1953-8146
La démographie de la France aux XIXe et XXe siècles s'appuie, depuis 1801, sur des recensements quinquennaux ordonnés et organisés par l'Etat, qui semblent apporter une sûreté d'information. Que valent ces statistiques ? Sont-elles suffisantes par elles-mêmes ? Les archives peuventelles aider la démographie et dans quelle mesure ? L'analyse d'un dossier, celui du recensement de 1846 en Maine-et-Loire, montre, par des détails curieux et intéressants, combien les documents d'archives peuvent jeter de lumière sur la valeur et l'interprétation des résultats statistiques.
In: Revue française de sociologie, Band 4, Heft 3, S. 352
In: Annales. Histoire, Sciences Sociales, Band 6, Heft 1, S. 104-113
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 21, Heft 6, S. 1332-1343
ISSN: 1953-8146