Suchergebnisse

Dans la logique du continuum « Corporate Governance – gouvernance au sens « large », l'argumentation de ce texte sera la suivante : - L'évaluation du développement d'organisations « intermédiaires » entre l'Etat et l'entreprise, - L'examen du contenu possible d'une conception large de la gouvernance, - Le statut des rapports qu'elle établit avec la société civile, - A titre d'étude de cas, le commentaire du Livre Blanc de la gouvernance de l'Union Européenne, - Une analyse des conséquences politiques d'une conception « large » de la gouvernance.

L'argumentation de ce texte va donc reposer sur la présentation de l'outillage conceptuel nécessaire à la réalisation de la démonstration du cours. Il débutera par une brève évaluation du statut de la référence au marché avant d'analyser les conséquences du recouvrement d'un libéralisme politique par un libéralisme économique, d'aborder la définition de la notion de régulation, d'envisager une brève évaluation de la distinction entre « gouvernance » et « gouvernementalité », de proposer une définition de la gouvernance, d'analyser la gouvernance comme signe de l'émergence de l'entreprise et de l'organisation « citoyennes », de proposer une esquisse des contours du « moment libéral » et d'envisager la définition de la privatisation.

International audience ; Ce travail visera à réfléchir sur la désinstitutionnalisation7 qui correspond à la supposée prise de distance des individus par rapport aux institutions (école, famille, Etat, par exemple) au nom, entre autres, de l'expérience acquise dans l'acquisition de services marchands qui concerne donc l'institutionnalisation de la thématique du « besoin » comme appartenant légitimement au « Bien Commun ». Cet argument tente d'expliquer la remise en cause du « programme institutionnel » construit par l'effet de combinaison des différentes institutions. Il construit, en regard, le projet d'institutionnalisation de l'organisation sur un argumentaire principalement d'ordre politique afin de prendre de la distance avec la « sociologisation » de la réflexion sur l'institution. En effet, quand on parle d'institutionnalisation de l'organisation, il n'est par pour autant possible de parler de ré-institutionnalisation mais plutôt d'auto-institutionnalisation.

Dans la logique du continuum « Corporate Governance – gouvernance au sens « large », l'argumentation de ce texte sera la suivante : - L'évaluation du développement d'organisations « intermédiaires » entre l'Etat et l'entreprise, - L'examen du contenu possible d'une conception large de la gouvernance, - Le statut des rapports qu'elle établit avec la société civile, - A titre d'étude de cas, le commentaire du Livre Blanc de la gouvernance de l'Union Européenne, - Une analyse des conséquences politiques d'une conception « large » de la gouvernance.

L'argumentation de ce texte va donc reposer sur la présentation de l'outillage conceptuel nécessaire à la réalisation de la démonstration du cours. Il débutera par une brève évaluation du statut de la référence au marché avant d'analyser les conséquences du recouvrement d'un libéralisme politique par un libéralisme économique, d'aborder la définition de la notion de régulation, d'envisager une brève évaluation de la distinction entre « gouvernance » et « gouvernementalité », de proposer une définition de la gouvernance, d'analyser la gouvernance comme signe de l'émergence de l'entreprise et de l'organisation « citoyennes », de proposer une esquisse des contours du « moment libéral » et d'envisager la définition de la privatisation.

reference concepts (law, standard, value, rule, principle) ; les concepts de référence (loi, norme, valeur, règle, principe)

Ce travail visera à réfléchir sur la désinstitutionnalisation qui correspond à la supposée prise de distance des individus par rapport aux institutions (école, famille, Etat, par exemple) au nom, entre autres, de l'expérience acquise dans l'acquisition de services marchands qui concerne donc l'institutionnalisation de la thématique du « besoin » comme appartenant légitimement au « Bien Commun ». Cet argument tente d'expliquer la remise en cause du « programme institutionnel » construit par l'effet de combinaison des différentes institutions. Il construit, en regard, le projet d'institutionnalisation de l'organisation sur un argumentaire principalement d'ordre politique afin de prendre de la distance avec la « sociologisation » de la réflexion sur l'institution. En effet, quand on parle d'institutionnalisation de l'organisation, il n'est par pour autant possible de parler de ré-institutionnalisation mais plutôt d'auto-institutionnalisation.

Ce travail visera à réfléchir sur la désinstitutionnalisation qui correspond à la supposée prise de distance des individus par rapport aux institutions (école, famille, Etat, par exemple) au nom, entre autres, de l'expérience acquise dans l'acquisition de services marchands qui concerne donc l'institutionnalisation de la thématique du « besoin » comme appartenant légitimement au « Bien Commun ». Cet argument tente d'expliquer la remise en cause du « programme institutionnel » construit par l'effet de combinaison des différentes institutions. Il construit, en regard, le projet d'institutionnalisation de l'organisation sur un argumentaire principalement d'ordre politique afin de prendre de la distance avec la « sociologisation » de la réflexion sur l'institution. En effet, quand on parle d'institutionnalisation de l'organisation, il n'est par pour autant possible de parler de ré-institutionnalisation mais plutôt d'auto-institutionnalisation.

The reasoning of the text is as follows: — the development of intermediary organisations, — the discussion of the "broad" concept of governance, — a comment on the White Paper on Governance of the European Union. ; L'argumentation du texte est la suivante : - le constat du développement d'organisations intermédiaires, - la discussion de la conception « large » de la gouvernance, - un commentaires du Livre Blanc de la gouvernance de l'Union Européenne.

The "global responsibility" theme is today in the same state of affairs as the "sustainability" theme, devised by the UNO, was in the 1990s. From a meaningless compromise situation, it has gradually acquired some sense, due to the interest shown by the actors, whether these belong to the political scene, non‐governmental organizations, enterprises, etc. Insofar as the "global responsibility" theme contains the word "responsibility", it is necessary to propose an understanding of it, with reference to the various areas supporting it (its use in law, in philosophy) before underlining the development of the theme of responsible enterprise and the search for an underlying concept. This text ends on an analysis of the ideological function of the "global responsibility" theme.

International audience ; If, to speak about organization, we accept the postulate that there are " good reasons " to speak about it, it is then necessary to investigate the universe of ideology and the way by which models plunge their roots in ideology as well as they create a coherent world. Ideology, as justification, produces representations. What is in question here, is the kind of deformation carried by representations. They produce a structure of the world, the validation of which may be an object of science seen as the construction of a truth in a project of "knowledge" of this world. The concept of ideology is particularly difficult. It benefits and suffers from two major influences in its foundations: that of a political perspective with Marx and Engels and that of the sociological reaction (from Max Weber to Raymond Boudon and Pierre Bourdieu). Ideology as an " attractor " raises the question of " ultimate references ". ; Pour parler d'organisation, on retiendra ici le postulat qu'à un moment donné, il y a de « bonnes raisons » d'en parler d'une « certaine manière ». Il est alors nécessaire d'approfondir l'univers de l'idéologie et de la croyance qui est celui dans lequel la « certaine manière » de parler de l'organisation plonge ses racines dans la mesure où elle conduit à créer un monde qui soit cohérent avec ce que porte le discours prononcé. L'idéologie comme justificatrice - productrice de représentations mérite ainsi que l'on s'y intéresse dans la mesure où cette création va aussi dans le sens de la validation – construction de préjugés. Ce qui est en cause ici, c'est bien la question de la déformation, du statut de la preuve quant aux représentations issues d'un contexte idéologique. Les représentations ainsi construites nous livrent en effet une structure interne du monde dont la validation se trouve aussi bien être objet de science que construction de vérité dans un projet de « connaissance » de ce monde. L'idéologie est proche du concept de culture car elle pose le problème de la contingence ...

International audience ; If, to speak about organization, we accept the postulate that there are " good reasons " to speak about it, it is then necessary to investigate the universe of ideology and the way by which models plunge their roots in ideology as well as they create a coherent world. Ideology, as justification, produces representations. What is in question here, is the kind of deformation carried by representations. They produce a structure of the world, the validation of which may be an object of science seen as the construction of a truth in a project of "knowledge" of this world. The concept of ideology is particularly difficult. It benefits and suffers from two major influences in its foundations: that of a political perspective with Marx and Engels and that of the sociological reaction (from Max Weber to Raymond Boudon and Pierre Bourdieu). Ideology as an " attractor " raises the question of " ultimate references ". ; Pour parler d'organisation, on retiendra ici le postulat qu'à un moment donné, il y a de « bonnes raisons » d'en parler d'une « certaine manière ». Il est alors nécessaire d'approfondir l'univers de l'idéologie et de la croyance qui est celui dans lequel la « certaine manière » de parler de l'organisation plonge ses racines dans la mesure où elle conduit à créer un monde qui soit cohérent avec ce que porte le discours prononcé. L'idéologie comme justificatrice - productrice de représentations mérite ainsi que l'on s'y intéresse dans la mesure où cette création va aussi dans le sens de la validation – construction de préjugés. Ce qui est en cause ici, c'est bien la question de la déformation, du statut de la preuve quant aux représentations issues d'un contexte idéologique. Les représentations ainsi construites nous livrent en effet une structure interne du monde dont la validation se trouve aussi bien être objet de science que construction de vérité dans un projet de « connaissance » de ce monde. L'idéologie est proche du concept de culture car elle pose le problème de la contingence de la représentation à un système de valeurs mais elle s'en distingue aussi du fait de la variabilité de son contenu et de la façon dont elle s'articule aux références « ultimes ». Tout comme la vie culturelle, il s'agit de « gérer » les rapports entre des éléments de représentations. L'intrusion du concept de système de valeurs indique que l'idéologie, tout comme la culture, est un processus d'évaluation mais aussi celui de l'affirmation d'une vérité en rapport avec des attentes. Idéologie et culture ont quelque chose à voir avec un processus d'identification et sont le support d'un projet de vie.