Le statut des « Asiatiques » aux États-Unis: L'identité américaine dans un miroir
In: Critique internationale, Band 20, Heft 3, S. 69
ISSN: 1777-554X
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In: Critique internationale, Band 20, Heft 3, S. 69
ISSN: 1777-554X
In: Critique internationale, Band 19, Heft 2, S. 17
ISSN: 1777-554X
In: Mouvements: des idées et des luttes, Band 25, Heft 1, S. 103
ISSN: 1776-2995
In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 2, S. 17-23
ISSN: 1149-9818, 1290-7839
In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 3, S. 69-92
ISSN: 1149-9818, 1290-7839
Initialement, le premier sommet intercoréen - qui s'est tenu à Pyongyang du 13 au 15 juin 2000 -, s'il a conduit à des progrès limités sur un certain nombre de dossiers bilatéraux (réouverture des bureaux de liaison dans le village frontalier de Panmunjom, déminage et remise en service progressive de la voie ferrée Séoul-Shinuiju afin de reconstituer ce qui avait été le principal axe de communication nord-sud de la péninsule avant la guerre.) - et aussi, accessoirement, à l'établissement de relations diplomatiques entre la Corée du Nord et les pays de l'Union européenne1 -, semblait également devoir accélérer le rapprochement en cours entre Washington et Pyongyang. En effet, après un premier séjour dans la capitale nord-coréenne du " coordinateur " désigné par le président Clinton pour évaluer et reformuler la politique des Etats-Unis vis-à-vis de la Corée du Nord - l'ancien Secrétaire à la Défense William Perry - en mai 1999, la Secrétaire d'Etat,Madeleine Albright, s'est entretenue avec le ministre des Affaires étrangères nord-coréen Paek Nam-sun en marge du Forum sur la sécurité en Asie du Sud-Est réuni à Bangkok du 25 au 29 juillet 2000, une délégation américaine conduite par l'Ambassadeur spécial Michael Sheehan s'est rendue à Pyongyang les 9 et 10 août 2000 afin de discuter du retrait éventuel de la Corée du Nord de la liste des Etats accusés par Washington de soutenir le terrorisme international, et le numéro deux du régime nord-coréen, le vice-président de la Commission de Défense nationale de la Corée du Nord Cho Myong-nok, a effectué une visite remarquée à Washington du 9 au 12 octobre 2000 (.).
BASE
In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 4, S. 128-130
ISSN: 1149-9818, 1290-7839
[The end of racial preference in American universities?] In the 1990s, affirmative action policies in hiring, university admissions and public works contracts were the targets of repeated attacks and were gradually dismantled, at least in part. Using meritocratic arguments and the principle of color-blindness, enemies of these policies turned to the courts or, in certain states, to referenda on popular initiative to do away with these measures. But although court decisions and referendum outcomes usually decided in favor of affirmative action opponents, the Supreme Court has so far carefully avoided having to take a definite stand. Moreover, the major universities have not necessarily discontinued the practice, albeit in concealed forms, of applying a certain degree of racial preference they still believe indispensable. ; Dans les années quatre-vingt-dix, les politiques de discrimination positive (dans l'embauche, l'université et les marchés publics) ont fait l'objet d'attaques répétées et ont été peu à peu partiellement démantelées. S'appuyant notamment sur des arguments méritocratiques et sur le principe de color-blindness, les ennemis de ces politiques ont eu recours à la voie judiciaire ou à celle des référendums d'initiative populaire dans certains Etats, pour en venir à bout. Mais, si les arrêts des tribunaux et les résultats des scrutins leur ont le plus souvent été favorables, la Cour suprême a évité soigneusement jusqu'ici de devoir prendre une position tranchée ; et par ailleurs il n'est pas sûr que les grandes universités concernées aient renoncé à pratiquer, sous une forme éventuellement masquée, un certain niveau de préférence raciale qu'elles jugent toujours indispensable.
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Initialement, le premier sommet intercoréen - qui s'est tenu à Pyongyang du 13 au 15 juin 2000 -, s'il a conduit à des progrès limités sur un certain nombre de dossiers bilatéraux (réouverture des bureaux de liaison dans le village frontalier de Panmunjom, déminage et remise en service progressive de la voie ferrée Séoul-Shinuiju afin de reconstituer ce qui avait été le principal axe de communication nord-sud de la péninsule avant la guerre.) - et aussi, accessoirement, à l'établissement de relations diplomatiques entre la Corée du Nord et les pays de l'Union européenne1 -, semblait également devoir accélérer le rapprochement en cours entre Washington et Pyongyang. En effet, après un premier séjour dans la capitale nord-coréenne du " coordinateur " désigné par le président Clinton pour évaluer et reformuler la politique des Etats-Unis vis-à-vis de la Corée du Nord - l'ancien Secrétaire à la Défense William Perry - en mai 1999, la Secrétaire d'Etat,Madeleine Albright, s'est entretenue avec le ministre des Affaires étrangères nord-coréen Paek Nam-sun en marge du Forum sur la sécurité en Asie du Sud-Est réuni à Bangkok du 25 au 29 juillet 2000, une délégation américaine conduite par l'Ambassadeur spécial Michael Sheehan s'est rendue à Pyongyang les 9 et 10 août 2000 afin de discuter du retrait éventuel de la Corée du Nord de la liste des Etats accusés par Washington de soutenir le terrorisme international, et le numéro deux du régime nord-coréen, le vice-président de la Commission de Défense nationale de la Corée du Nord Cho Myong-nok, a effectué une visite remarquée à Washington du 9 au 12 octobre 2000 (.).
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In: French politics, culture and society, Band 20, Heft 3, S. 52-64
ISSN: 1537-6370, 0882-1267
World Affairs Online
In: Critique internationale, Band 17, Heft 4, S. 128
ISSN: 1777-554X
Initialement, le premier sommet intercoréen - qui s'est tenu à Pyongyang du 13 au 15 juin 2000 -, s'il a conduit à des progrès limités sur un certain nombre de dossiers bilatéraux (réouverture des bureaux de liaison dans le village frontalier de Panmunjom, déminage et remise en service progressive de la voie ferrée Séoul-Shinuiju afin de reconstituer ce qui avait été le principal axe de communication nord-sud de la péninsule avant la guerre.) - et aussi, accessoirement, à l'établissement de relations diplomatiques entre la Corée du Nord et les pays de l'Union européenne1 -, semblait également devoir accélérer le rapprochement en cours entre Washington et Pyongyang. En effet, après un premier séjour dans la capitale nord-coréenne du " coordinateur " désigné par le président Clinton pour évaluer et reformuler la politique des Etats-Unis vis-à-vis de la Corée du Nord - l'ancien Secrétaire à la Défense William Perry - en mai 1999, la Secrétaire d'Etat,Madeleine Albright, s'est entretenue avec le ministre des Affaires étrangères nord-coréen Paek Nam-sun en marge du Forum sur la sécurité en Asie du Sud-Est réuni à Bangkok du 25 au 29 juillet 2000, une délégation américaine conduite par l'Ambassadeur spécial Michael Sheehan s'est rendue à Pyongyang les 9 et 10 août 2000 afin de discuter du retrait éventuel de la Corée du Nord de la liste des Etats accusés par Washington de soutenir le terrorisme international, et le numéro deux du régime nord-coréen, le vice-président de la Commission de Défense nationale de la Corée du Nord Cho Myong-nok, a effectué une visite remarquée à Washington du 9 au 12 octobre 2000 (.).
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In: Critique internationale, Band 17, Heft 4, S. 159
ISSN: 1777-554X
In: French politics, culture and society, Band 20, Heft 3
ISSN: 1558-5271
In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 4, S. 159-171
ISSN: 1149-9818, 1290-7839