Introduction
In: Political Change and Underdevelopment, S. 1-16
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In: Political Change and Underdevelopment, S. 1-16
In: Political Change and Underdevelopment, S. 222-265
In: Political Change and Underdevelopment, S. 1-11
In: Political Change and Underdevelopment, S. 99-136
In: Political Change and Underdevelopment, S. 178-199
In: Political Change and Underdevelopment, S. 12-33
In: Political Change and Underdevelopment, S. 34-66
In: Political Change and Underdevelopment, S. 137-177
In: Political Change and Underdevelopment, S. 67-98
In: International review of administrative sciences: an international journal of comparative public administration, Band 72, Heft 2, S. 239-252
ISSN: 1461-7226
This article is concerned with three issues: the convergence of donors over a shared development agenda, on why dealing with corruption is seen as a key aspect of the agenda, and the means to assess corruption within the context of monitoring development progress. The article reviews the genesis of the agenda, and why corruption is often used as an indicator or measure of progress. It distinguishes between two general approaches—quantitative indicators and qualitative descriptors—for assessing types and levels of corruption before considering methodological and interpretative issues relating to each approach. It suggests that, while each has a role, cognizance should be made of the awareness of the limitations of either for policy- or reform-related issues, particularly in terms of the exercise of political power or the nature and direction of development. The necessary convergence of the use of the two approaches has not been fully achieved to date and, until such time as a convergence is achieved, an over-reliance on one or other approach may not provide an effective basis for reform and aid initiatives, nor for assessing the progress and impact of both in delivering the development agenda.
In: Revue internationale des sciences administratives: revue d'administration publique comparée, Band 72, Heft 2, S. 251-266
ISSN: 0303-965X
Résumé Le présent article s'intéresse à trois questions : la convergence des donateurs à propos d'un programme de développement commun, la raison pour laquelle la lutte contre la corruption est considérée comme un aspect fondamental du programme et les moyens nécessaires pour évaluer la corruption dans le cadre du suivi de l'évolution du développement. Cet article passe en revue la genèse du programme de développement et les raisons pour lesquelles la corruption sert souvent d'indicateur ou de mesure du progrès. Nous établirons la distinction entre deux techniques (les indicateurs quantitatifs et les descripteurs qualitatifs) généralement utilisées pour évaluer les types et les niveaux de corruption avant d'aborder les questions de méthodologie et d'interprétation liées à chaque technique. Nous suggérons que, bien que ces deux techniques jouent un rôle particulier, il ne faut pas oublier leurs limites pour ce qui est des questions liées aux politiques ou aux réformes, en particulier sur le plan de l'exercice du pouvoir politique ou de la nature et de l'orientation du développement. À ce jour, on n'est pas encore totalement parvenu à la convergence nécessaire dans l'utilisation des deux approches et, en attendant de parvenir à cette convergence, un recours excessif à l'une d'elles ne constitue pas un fondement efficace pour les initiatives de réforme et d'aide, ni pour évaluer le progrès et l'impact de ces initiatives dans la mise en œuvre du programme de développement. Résumé à l'intention des praticiens L'évaluation des progrès en matière de démocratisation et d'autres questions clés voisines, comme la corruption, est une technique de plus en plus utilisée par les organismes multilatéraux et bilatéraux, ainsi que par les ONG, dans le cadre du programme de développement. La corruption est particulièrement utilisée comme moyen d'évaluation habituel. L'approche numérique, qui fait appel à des indicateurs quantitatifs, offre des classements simples et fait clairement apparaître les augmentations de même que les baisses de progrès. Ni la démocratisation, ni la lutte contre la corruption ne sont des questions simples. Il est dès lors important que l'utilisation de ces indicateurs soit intégrée à une approche descriptive capable de fournir une évaluation approfondie des problèmes qui influencent la mise en œuvre et l'évolution du programme de développement. Il faut parvenir à comprendre parfaitement l'interaction qui existe entre le travail des donateurs, le pouvoir politique et les initiatives de réforme pour pouvoir évaluer les variations, les nuances et les orientations des progrès. Le meilleur moyen d'y parvenir serait peut-être de faire une synthèse des approches afin de bien comprendre les causes, les caractéristiques et les types de corruption, ainsi que l'évolution du développement et de la démocratisation des pays.
In: International review of administrative sciences: an international journal of comparative public administration, Band 72, Heft 2, S. 239-252
ISSN: 0020-8523
In: The journal of development studies: JDS, Band 37, Heft 4, S. 188
ISSN: 0022-0388
In: Commonwealth and comparative politics, Band 37, Heft 3, S. 37-64
ISSN: 1743-9094
In: Commonwealth and Comparative Politics, Band 37, Heft 3, S. 37-64
Examines the extent to which Uganda's structural changes implemented since 1986 are helping reduce corruption, thus alleviating poverty & generating economic growth. Analysis focuses on key elements in Uganda's turbulent history since independence: the political, economic, & social inheritance of the National Resistance Movement (NRM); the NRM's proposed reform program; & initiatives actually implemented in support of democratization. Whether resultant changes are reducing corruption, merely shifting its impact, or actually creating new opportunities for corruption to flourish is considered. 2 Tables, 3 Figures, 65 References. Adapted from the source document.