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In: Garland reference library of social science, 9
World Affairs Online
In: Socio: la nouvelle revue des sciences sociales, Heft 5, S. 81-98
ISSN: 2425-2158
In: Archives de sciences sociales des religions: ASSR, Heft 145, S. 147-159
ISSN: 1777-5825
In: Member Organisation Fora
This report was commissioned by the European Science Foundation (ESF) in the framework of the Member Organisation Fora instrument (Member Organisations in Central and Eastern Europe) from the Aleksanteri Institute, the Centre for Russian and Eastern European Studies. The aim of the study was to identify and analyse the situation and challenges in research in Central and Eastern European Countries (CEEs), particularly concerning research conducted in Higher Education Institutes (HEIs) and in the field of social sciences. The main emphasis of the report is on state-run universities. The countries under examination are Bulgaria, Croatia, Czech Republic, Estonia, Hungary, Latvia, Lithuania, Poland, Romania, Slovakia and Slovenia. All these countries are members of the ESF with the exception of Latvia, which was included in the study because it was seen as an integral part of the area under investigation. The respective countries are new members of the European Union (EU). The information on each country is presented in one of the main sections in this report.
In: Bulletin of science, technology & society, Band 29, Heft 6, S. 439-446
ISSN: 1552-4183
Laboratory ethnographies have provided valuable insights in the workings of contemporary science and technology and about facts in the making. Nearly all these ethnographic studies have been conducted at nonprofit research institutes. In this article, the authors argue that it is time for science and technology studies (STS) ethnography to direct its gaze toward for-profit knowledge production sites. The authors do so, based on a long-standing recognition that nonprofit academic laboratories do not have a monopoly on knowledge construction. First, they historicize STS' focus on public knowledge production, distinguishing between two roles for STS. Second, they argue that relationships between industry and society have changed, resulting in increasing corporate transparency. Third, they argue that this change enables STS ethnography to enter corporations and corporate laboratories. The authors conclude by proposing a research agenda for the social study of corporate science.
A l'évidence, la difficulté pour le chercheur en sciences sociales de traiter « scientifiquement » de la question étatique n'est pas simplement proportionnelle à l'importance et la complexité du rôle que joue l'Etat dans beaucoup de sociétés humaines. Par ses politiques générales de la science, par la déclinaison de ces politiques publiques eu égard au cas spécifique des sciences sociales, par la présence en son sein d'agents non-scientifiques concurrençant les chercheurs en sciences sociales sur le plan de la connaissance des sociétés, etc., l'Etat rend plus difficile encore son traitement scientifique par des chercheurs patentés. Cette difficulté scientifique pose la question des rapports entre Etat et sciences sociales et de leur régulation, question qui a fait l'objet d'un nombre tout à fait conséquent d'ouvrages et d'articles scientifiques dans la plupart des pays industrialisés. 2 Il pourrait maintenant être utile scientifiquement de réfléchir sur comment nous, les chercheurs en sciences sociales, réfléchissons sur nos rapports avec l'Etat : comment ces rapports sont-ils problématisés, analysés et interprétés par nous ; nos problématiques, analyses et interprétations contribuent-elles à une meilleure compréhension de l'Etat, et plus généralement, à une amélioration des sciences sociales ? C'est dans cet esprit que le présent article a été rédigé. Il se base sur un travail de déconstruction de la représentation des rapports Etat/sciences sociales contenue dans l'ouvrage de Michel Amiot « Contre l'Etat, les sociologues » 3 , représentation dont nous analysons le caractère légendaire.
BASE
A l'évidence, la difficulté pour le chercheur en sciences sociales de traiter « scientifiquement » de la question étatique n'est pas simplement proportionnelle à l'importance et la complexité du rôle que joue l'Etat dans beaucoup de sociétés humaines. Par ses politiques générales de la science, par la déclinaison de ces politiques publiques eu égard au cas spécifique des sciences sociales, par la présence en son sein d'agents non-scientifiques concurrençant les chercheurs en sciences sociales sur le plan de la connaissance des sociétés, etc., l'Etat rend plus difficile encore son traitement scientifique par des chercheurs patentés. Cette difficulté scientifique pose la question des rapports entre Etat et sciences sociales et de leur régulation, question qui a fait l'objet d'un nombre tout à fait conséquent d'ouvrages et d'articles scientifiques dans la plupart des pays industrialisés. 2 Il pourrait maintenant être utile scientifiquement de réfléchir sur comment nous, les chercheurs en sciences sociales, réfléchissons sur nos rapports avec l'Etat : comment ces rapports sont-ils problématisés, analysés et interprétés par nous ; nos problématiques, analyses et interprétations contribuent-elles à une meilleure compréhension de l'Etat, et plus généralement, à une amélioration des sciences sociales ? C'est dans cet esprit que le présent article a été rédigé. Il se base sur un travail de déconstruction de la représentation des rapports Etat/sciences sociales contenue dans l'ouvrage de Michel Amiot « Contre l'Etat, les sociologues » 3 , représentation dont nous analysons le caractère légendaire.
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International audience ; A l'évidence, la difficulté pour le chercheur en sciences sociales de traiter « scientifiquement » de la question étatique n'est pas simplement proportionnelle à l'importance et la complexité du rôle que joue l'État dans beaucoup de sociétés humaines. Par ses politiques générales de la science, par la déclinaison de ces politiques publiques eu égard au cas spécifique des sciences sociales, par la présence en son sein d'agents non-scientifiques concurrençant les chercheurs en sciences sociales sur le plan de la connaissance des sociétés, etc., l'État rend plus difficile encore son traitement scientifique par des chercheurs patentés. Cette difficulté scientifique pose la question des rapports entre État et sciences sociales et de leur régulation, question qui a fait l'objet d'un nombre tout à fait conséquent d'ouvrages et d'articles scientifiques dans la plupart des pays industrialisés. Il pourrait maintenant être utile scientifiquement de réfléchir sur comment nous, les chercheurs en sciences sociales, réfléchissons sur nos rapports avec l'État : comment ces rapports sont-ils problématisés, analysés et interprétés par nous ; nos problématiques, analyses et interprétations contribuent-elles à une meilleure compréhension de l'État, et plus généralement, à une amélioration des sciences sociales ? C'est dans cet esprit que le présent article a été rédigé. Il se base sur un travail de déconstruction de la représentation des rapports État/sciences sociales contenue dans l'ouvrage de Michel Amiot « Contre l'État, les sociologues » 3 , représentation dont nous analysons le caractère légendaire.
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International audience ; A l'évidence, la difficulté pour le chercheur en sciences sociales de traiter « scientifiquement » de la question étatique n'est pas simplement proportionnelle à l'importance et la complexité du rôle que joue l'État dans beaucoup de sociétés humaines. Par ses politiques générales de la science, par la déclinaison de ces politiques publiques eu égard au cas spécifique des sciences sociales, par la présence en son sein d'agents non-scientifiques concurrençant les chercheurs en sciences sociales sur le plan de la connaissance des sociétés, etc., l'État rend plus difficile encore son traitement scientifique par des chercheurs patentés. Cette difficulté scientifique pose la question des rapports entre État et sciences sociales et de leur régulation, question qui a fait l'objet d'un nombre tout à fait conséquent d'ouvrages et d'articles scientifiques dans la plupart des pays industrialisés. Il pourrait maintenant être utile scientifiquement de réfléchir sur comment nous, les chercheurs en sciences sociales, réfléchissons sur nos rapports avec l'État : comment ces rapports sont-ils problématisés, analysés et interprétés par nous ; nos problématiques, analyses et interprétations contribuent-elles à une meilleure compréhension de l'État, et plus généralement, à une amélioration des sciences sociales ? C'est dans cet esprit que le présent article a été rédigé. Il se base sur un travail de déconstruction de la représentation des rapports État/sciences sociales contenue dans l'ouvrage de Michel Amiot « Contre l'État, les sociologues » 3 , représentation dont nous analysons le caractère légendaire.
BASE
In: The British journal of social work
ISSN: 1468-263X
Marconomics is about human economics. This text introduces marconomics, examining how the use of the social sciences, consumer behavior in particular, is used to explain and develop economic activity. Blawatt argues the philosophy and principles of the classical school of economic thought are problematic and should be replaced with a new model
In: Crime, law and social change: an interdisciplinary journal, Band 51, Heft 3-4, S. 303-325
ISSN: 1573-0751