Sciences et société. Les normes en question, Collectif, Actes Sud, Paris et Arles, 2014, 320 pages
In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique, Band 48, Heft 4, S. 973-974
ISSN: 1744-9324
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In: Canadian journal of political science: CJPS = Revue canadienne de science politique, Band 48, Heft 4, S. 973-974
ISSN: 1744-9324
In: L Homme et la société, Band 88, Heft 2, S. 31-33
ISSN: 2272-7345
In: Avis et rapports du Conseil Économique et Social, 2002, 8
World Affairs Online
In: Histoire et perspectives méditerranéennes
In: Dossiers documents
World Affairs Online
In: Revue économique, Band 14, Heft 6, S. 920-932
ISSN: 1950-6694
International audience ; Thierry Coanus, François Duchêne, Emmanuel Martinais RISQUE, TERRITOIRE ET LONGUE DURÉE : VERS UNE « SOCIÉTÉ DU RISQUE » ? S' il a émergé à la fin des années 1970, le débat relatif à la « gestion des risques » a connu depuis une dizaine d'années une certaine fortune, tant média-tique que scientifique. Il n'est pas d'événement inat-tendu, au caractère de catastrophe ou de simple accident , qui ne donne lieu à de savants commentaires sur le risque et sa « maîtrise », le plus souvent dans une joyeuse confusion sémantique 1. Quelques événe-ments récents, par ailleurs fort tragiques, ont littérale-ment décuplé le rythme des commentaires : décidé-ment, le « risque » est à la mode. Sujet « omnibus » par excellence, comme dirait Pierre Bourdieu 2 , l'évé-nement catastrophique (ou du moins, la représenta-tion que l'on s'en fait) invite tout un chacun à ne pas manquer le train de la – nouvelle ? – « société du risque » 3. Pour autant, la faveur médiatique même dont ces thèses font l'objet, la porosité qu'elles autori-sent, et souvent sans grand contrôle, entre les champs académique, politique et technique, devraient inciter à un minimum de circonspection. Une posture de recherche Notre propos s'appuie sur plusieurs recherches empiriques qui associent autour d'un même objet, « le risque », différentes disciplines des sciences humaines et sociales 4 : l'anthropologie d'une part, la géographie sociale d'autre part. Une attention particulière est donc accordée, dans l'ensemble de ces travaux, aux actes et aux paroles des acteurs – institutionnels ou non (habi-tants, riverains, etc.) –, ainsi qu'à leur inscription spa-tiale, ou encore territoriale, en référence à la notion géographique de territoire 5. D'autre part, même s'ils sont pensés au nom d'une rationalité supérieure (légitimée par des modes d'in-tervention relevant en général de l'action publique), le risque et les dispositifs (institutionnels, organisa-tionnels et matériels) conçus pour le neutraliser n'en sont pas moins les produits de ...
BASE
In: Droit et société: revue internationale de théorie du droit et de sociologie juridique, Band 20, Heft 1, S. 45-52
ISSN: 0769-3362
To examine the problem of verification and application in the social sciences, we consider it on three levels : facts, hypotheses, theories, taking examples from Economies. Our general conclusion is that verifying and applying a piece of scientific knowledge fundamentally consists in testing a correlation between a system of objects and a system of operations.
In: Sociétés: revue des sciences humaines et sociales, Band 122, Heft 4, S. 107-115
ISSN: 1782-155X
La lutte étudiante du printemps 2012 au Québec ne peut pas être considérée comme une révolte de la jeunesse réduite à l'expression typique de la génération des « enfants-rois ». Par sa durée et son effervescence politique, ne révèle-t-elle pas une transformation sociale dont il faut détecter les signes spécifiques par l'étude de leur action collective que l'on a nommée « Printemps érable » ?
In: Nova acta Regiæ Societatis Scientiarum Upsaliensis
In: Volumen extra ordinem editum [Ser. 3], 1877, 1
In: Informations sociales, Band 135, Heft 7, S. 42-43
In: Emulations: revue étudiante de sciences sociales, Heft 30, S. 7-15
ISSN: 1784-5734
Le présent numéro interroge le vaste champ des relations entre jeux vidéo et société, en prenant pour porte d'entrée la question – volontairement polysémique – suivante : « comment les jeux font-ils société ? ». La culture vidéoludique (ses œuvres et ses pra- tiques) s'inscrit toujours dans un contexte social donné qui en détermine largement le fonctionnement, les tensions internes, les évolutions, et qui, en retour, est lui-même représenté, travaillé, réfléchi par cette culture. Les relations et influences liant le jeu et le social peuvent donc prendre des visages multiples et des directions diverses, dont les textes de ce numéro rendent compte tant par la richesse de leurs objets que par la diversité de leurs approches. Nous tâcherons ici de retracer le parcours scientifique que ces regards croisés permettent d'effectuer : partant de la question de la place du jeu (et des joueurs·euses) dans la société contemporaine, nous passerons à celle de la représentation du social dans les jeux, pour enfin aborder la culture ludique comme étant, au-delà d'une figuration du social, un outil de médiation et de sociabilisation à part entière.