In this article, we address foundational and innovative aspects of preparing educators who teach about families, including theoretical, methodological, and practical considerations. We approach our task by defining and utilizing a human development and family science (HDFS) worldview, which, like the related foci on translational family science and family life education, integrates both the need for comprehensive academic grounding and professional preparation in the service of improving individual and family lives. We integrate the HDFS worldview with critical pedagogy and feminist praxis in family science that explicitly calls attention to inequality, oppression, and the need to empower individuals, families, communities, and societies. One of the hallmarks of HDFS scholarship and pedagogy on families is the intentional approach of teaching students to work in fields where they are seeking to name and redress individual and family vulnerability. In addition, we provide a comprehensive case study of collegiate education for training graduate students who are preparing to teach undergraduate students in the interdisciplinary field of HDFS. Finally, we provide directions for future research and implications for practice in HDFS pedagogy and teacher training in academic and community settings.
The key to human nature that Marx found in wealth and Freud in sex, Bertrand Russell finds in power. Power, he argues, is man's ultimate goal, and is, in its many guises, the single most important element in the development of any society. Writting in the late 1930s when Europe was being torn apart by extremist ideologies and the world was on the brink of war, Russell set out to found a 'new science' to make sense of the traumatic events of the day and explain those that would follow. The result was Power, a remarkable book that Russell regarded as one of the most important of his long career
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"Adopting a critical political economy perspective this book sheds new light on the social and political struggles that shaped the political dynamics of Taiwan-China relations and cross-Strait rapprochement between 2008 and 2014. Presenting a careful analysis of primary sources and interviews, the book reconstructs the historical, political and socio-economic factors that shaped Taiwan's path to the Sunflower Movement of 2014, reinterpreting this process as a struggle over Taiwan's role in the global economy. It challenges received wisdoms regarding the rise and fall of the rapprochement: First, the study argues that the rapprochement was not primarily driven by political elites but by capitalist conglomerates within Taiwan, which sought a normalisation of economic relations across the Taiwan Strait. Second, it finds that Taiwan's social movements during that period were not homogeneous but rather struggled to find a common vision that could unite the critics of the rapprochement. The insights provided not only offer a deeper understanding of Taiwan's protest cycle between 2008 and 2014, but also serve to recontextualise the political dynamics in post-Sunflower Taiwan. As such it will appeal to Students and scholars of Taiwan Studies, East Asian Politics and Social Movement Studies"--
Science and practice focused on child resilience and family resilience have deep and intertwined roots, yet there have been surprisingly few efforts to systematically integrate the theory, findings, and implications of these two traditions of work. In this article, the authors discuss parallels in concepts and processes that link the sciences of child and family resilience and the potential of relational developmental systems theory to provide an integrative framework for understanding and promoting resilience in children and families. The authors describe components of an integrated approach to child and family resilience, highlighting examples from recent research, and discuss implications for research, practice, and professional training.
"This text provides the NJROTC student background information on sea power, national security, and national strategy, including the U.S. merchant marine; naval operations and support functions, including naval intelligence, logistics, and research and development; military law; international law and law of the sea; naval weapons and naval warfare, including new chapters on laser weapons, rail guns, cyber warfare, and special warfare; shipboard organization and watchstanding; ship construction and damage control; basic seamanship, navigation, and rules of the road; and an introduction to the maneuvering board. Third-year tenets of naval leadership in the NJROTC program are also covered."--Provided by publisher
La dépense publique est dénigrée. Le débat public l'assimile à des mots comme « dette », « déficit », « gabegie », « trou (de la Sécu) », « fraude », etc. On cherche à convaincre qu'il n'est pas d'autre orientation politique que de la réduire.Cette conception s'est naturalisée et appelle des politiques restrictives. Elle s'appuie sur des chiffres qui forgent un consensus médiatique. Pourtant, il n'existe aucun consensus scientifique pour affirmer qu'un niveau de 57 % du PIB de dépense publique en France serait trop.On laisse entendre, ce qui est faux, que la dépense publique goberait 57 % du PIB, ne laissant que 43 % à la dépense privée (qui en représente en réalité 265 %). Le comptage par rapport au PIB relève d'une convention statistique qui oriente l'opinion car ni la dépense publique ni la dépense privée ne sont des composantes du PIB.L'affirmation que « La dépense publique en France ne cesse d'augmenter » est inexacte, elle baisse à certaines périodes (1995-2007), mais augmente à d'autres (après la crise des subprimes).La critique de la dépense publique est ancienne (voir les débats de 1949 sur la Sécurité sociale), avec les mêmes arguments échangés depuis cette période. Le niveau de dépense publique n'est pas un problème technique mais relève d'un choix de société. Les ménages, qui sont les premiers bénéficiaires de la dépense publique (salaires versés en contrepartie de la production des fonctionnaires, prestations sociales en nature et en espèce, etc.), comme les entreprises, également bénéficiaires de la dépense publique (solvabilisation des ménages, marchés publics, etc.), résistent aux baisses qui leur porte préjudice.S'il convient de rechercher toutes sources d'économie et de mettre en concurrence la dépense publique et la dépense privée dans des secteurs où la réduction voulue de la dépense publique ne supprime pas les besoins, la baisse arbitraire de certaines dépenses publiques anémie l'activité économique et provoque un appauvrissement collectif et une dégradation du service public. Il en est ainsi de la réduction du nombre de fonctionnaires (policiers, enseignants, ect.), mais aussi des baisses de commandes envers les entreprises, etc.Parce qu'elle est directement connectée aux besoins prioritaires de la population, la dépense publique est constitutive du bien être individuel et collectif, et concourt à la cohésion sociale. Ainsi, l'évaluation du bien-être non plus par le PIB mais par l'état de santé, critère primordial aux yeux des populations, montre que, pour les pays qui s'y sont soumis, la réduction des dépenses publiques détériore l'état de santé. De même, en alimentant les inégalités, la contraction de la dépense publique joue un rôle négatif sur la santé. La dépense publique produit donc du PIB, et elle produit également de la santé et du bien-être.En matière de santé comme d'enseignement supérieur, avec des mécanismes différents, la baisse de la dépense publique invite les individus à se tourner vers le secteur privé. C'est le cas de deux secteurs fondamentaux comme la santé et l'éducation qui connaissent une pluralité de processus de privatisations (en termes de financement et de délivrance des biens et services.Ces privatisations conduisent notamment à une hausse de la dépense publique que l'on cherche pourtant à réduire. Ce paradoxe s'explique par une hausse de la dépense privée plus élevée que la dépense publique qu'elle remplace.Lorsque la Sécurité sociale se retire, les prix ne sont plus maîtrisés et les frais de gestion des acteurs privés sont bien plus élevés que ceux de la Sécurité sociale.L'exemple des frais d'inscription à l'université relève de la même logique dispendieuse car l'augmentation des frais d'inscription conduit à une baisse des subventions publiques et à une explosion de la dette étudiante appelant une consolidation par l'argent public (Royaume-Uni, USA,…).Remplacer la dépense publique par la dépense privée est à la fois plus inégalitaire — les effets d'éviction sont accrus — et plus coûteux, aussi bien pour la dépense et la dette privée (1200 milliards de $ de dette étudiante aux USA) que pour la dépense publique.Si toute dépense publique n'est pas bonne en soi, il n'existe pas de motifs sérieux pour baisser la dépense publique lorsque celle-ci répond à un besoin de la population
La dépense publique est dénigrée. Le débat public l'assimile à des mots comme « dette », « déficit », « gabegie », « trou (de la Sécu) », « fraude », etc. On cherche à convaincre qu'il n'est pas d'autre orientation politique que de la réduire.Cette conception s'est naturalisée et appelle des politiques restrictives. Elle s'appuie sur des chiffres qui forgent un consensus médiatique. Pourtant, il n'existe aucun consensus scientifique pour affirmer qu'un niveau de 57 % du PIB de dépense publique en France serait trop.On laisse entendre, ce qui est faux, que la dépense publique goberait 57 % du PIB, ne laissant que 43 % à la dépense privée (qui en représente en réalité 265 %). Le comptage par rapport au PIB relève d'une convention statistique qui oriente l'opinion car ni la dépense publique ni la dépense privée ne sont des composantes du PIB.L'affirmation que « La dépense publique en France ne cesse d'augmenter » est inexacte, elle baisse à certaines périodes (1995-2007), mais augmente à d'autres (après la crise des subprimes).La critique de la dépense publique est ancienne (voir les débats de 1949 sur la Sécurité sociale), avec les mêmes arguments échangés depuis cette période. Le niveau de dépense publique n'est pas un problème technique mais relève d'un choix de société. Les ménages, qui sont les premiers bénéficiaires de la dépense publique (salaires versés en contrepartie de la production des fonctionnaires, prestations sociales en nature et en espèce, etc.), comme les entreprises, également bénéficiaires de la dépense publique (solvabilisation des ménages, marchés publics, etc.), résistent aux baisses qui leur porte préjudice.S'il convient de rechercher toutes sources d'économie et de mettre en concurrence la dépense publique et la dépense privée dans des secteurs où la réduction voulue de la dépense publique ne supprime pas les besoins, la baisse arbitraire de certaines dépenses publiques anémie l'activité économique et provoque un appauvrissement collectif et une dégradation du service public. Il en est ainsi de la réduction du nombre de fonctionnaires (policiers, enseignants, ect.), mais aussi des baisses de commandes envers les entreprises, etc.Parce qu'elle est directement connectée aux besoins prioritaires de la population, la dépense publique est constitutive du bien être individuel et collectif, et concourt à la cohésion sociale. Ainsi, l'évaluation du bien-être non plus par le PIB mais par l'état de santé, critère primordial aux yeux des populations, montre que, pour les pays qui s'y sont soumis, la réduction des dépenses publiques détériore l'état de santé. De même, en alimentant les inégalités, la contraction de la dépense publique joue un rôle négatif sur la santé. La dépense publique produit donc du PIB, et elle produit également de la santé et du bien-être.En matière de santé comme d'enseignement supérieur, avec des mécanismes différents, la baisse de la dépense publique invite les individus à se tourner vers le secteur privé. C'est le cas de deux secteurs fondamentaux comme la santé et l'éducation qui connaissent une pluralité de processus de privatisations (en termes de financement et de délivrance des biens et services.Ces privatisations conduisent notamment à une hausse de la dépense publique que l'on cherche pourtant à réduire. Ce paradoxe s'explique par une hausse de la dépense privée plus élevée que la dépense publique qu'elle remplace.Lorsque la Sécurité sociale se retire, les prix ne sont plus maîtrisés et les frais de gestion des acteurs privés sont bien plus élevés que ceux de la Sécurité sociale.L'exemple des frais d'inscription à l'université relève de la même logique dispendieuse car l'augmentation des frais d'inscription conduit à une baisse des subventions publiques et à une explosion de la dette étudiante appelant une consolidation par l'argent public (Royaume-Uni, USA,…).Remplacer la dépense publique par la dépense privée est à la fois plus inégalitaire — les effets d'éviction sont accrus — et plus coûteux, aussi bien pour la dépense et la dette privée (1200 milliards de $ de dette étudiante aux USA) que pour la dépense publique.Si toute dépense publique n'est pas bonne en soi, il n'existe pas de motifs sérieux pour baisser la dépense publique lorsque celle-ci répond à un besoin de la population
The Prisoner Society offers an in-depth sociological analysis of prison life drawn from the life stories and experiences of prisoners and the testimony of officers, managers and prison governors at the UK prison HMP Wellingborough, a medium security prison.
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This Brief explores the problem of creating organizational change and a culture of lawfulness within police organizations in the developing world. In many countries where police are charged with responding to crime, they are themselves entrenched in histories of corruption, human rights abuses, inefficiency as well as a lack of public trust. While police corruption can happen anywhere, areas of political transition tend to have a more entrenched cultural history of corruption. However, the author argues that even in the most challenged forces, there remains hope for organizational change. This brief demonstrates how understanding the local socio-political context, and applying evidence-based best practices for police integrity training can bring about change. The brief summarizes the current state of knowledge on police integrity training, strategies for rethinking corruption and community policing, as well as two case studies in Bangladesh and Mexico with applications for other regions.