Beitrag zur Diskussion um Grundsatzpositionen innerhalb der chilenischen Oppositionsbewegung im In- und Ausland im Hinblick auf die Anwendung von Gewalt als Mittel der politischen Auseinandersetzung unter den Bedingungen der Militärdiktatur
"Welche Erfahrungen in der Familie, in der Gruppe der Gleichaltrigen und in der Freizeitwelt fördern bzw. vermindern bei Kindern und Jugendlichen die Neigung zu Gewalt? Und welche Rolle spielen dabei Merkmale der Schule? Mit einer detaillierten Befragung konnten Bedingungsfaktoren dieses komplexen Wirkungszusammenhangs transparent gemacht werden. Dadurch erscheinen einige bisher vorliegende Erkenntnisse in neuem Licht." (Autorenreferat)
Wie kann man nach der "MeToo-Debatte" noch über Lust, Macht und Gleichheit denken und sprechen? Für Bestseller-Autorin und Friedenspreisträgerin Carolin Emcke hat die Debatte vor allem eines gezeigt: Es ist ein Gespräch über Missbrauch und Sexualität entstanden, das nicht wieder abgebrochen werden kann. Denn die Fragen bleiben: Welche Bilder und Begriffe prägen unsere Vorstellungen von Lust und Unlust? Wie lässt sich Gewalt entlarven und verhindern? Wie bilden sich die Strukturen und Normen, in die Männer und Frauen und alle dazwischen passen müssen? Was wird verschwiegen, wer muss ohnmächtig bleiben? Wie lassen sich Lust und Sexualität in ihrer Vielfalt ermöglichen - ohne Vereindeutigung? Indem sie eigene Erfahrungen, soziale Gewohnheiten, Musik und Literatur befragt, zeigt Carolin Emcke, wie kompliziert das Verhältnis von Sexualität und Wahrheit immer noch ist.
Verfügbarkeit an Ihrem Standort wird überprüft
Dieses Buch ist auch in Ihrer Bibliothek verfügbar:
La justice transitionnelle désigne l'art de pacifier des sociétés au lendemain de périodes violentes - qu'il s'agisse de dictature, de guerres civiles, voire de génocides. Organisations internationales et conseillers des gouvernements l'ont élaborée à partir des années 1990. Poursuites pénales, dialogues, enquêtes et débats publics organisés par des commissions de vérité pour établir la réalité des exactions, réparations matérielles ou symboliques aux victimes, réformes du système judiciaire et des services de sécurité : il s'agit d'abord de rompre avec le passé. Les promoteurs de ces initiatives entreprennent aussi de "guérir" des sociétés perçues comme malades et d'offrir une reconnaissance à des victimes traumatisées. Ils entendent former pour l'avenir des individus apaisés et tolérants susceptibles d'assurer la paix. D'aucuns voient dans le développement important de ces diverses démarches une extension continue des droits humains et une contribution décisive à la fabrication de paix justes. Mais la violence peut-elle être assimilée à une maladie ? Par ces dispositifs d'apaisement, les criminels politiques sont-ils vraiment punis ? Que sait-on, au juste, de ce que veulent les victimes de violences politiques ? Cette enquête de vaste ampleur retrace l'émergence et l'essor de la justice transitionnelle, analyse les trajectoires de ses acteurs, scrute les écarts entre les déclarations morales consensuelles et les mises en oeuvre concrètes, de l'Argentine à l'Afrique du Sud, du Pérou au Rwanda. En interrogeant ses différents présupposés comme ses résultats concrets, elle déjoue nombre d'évidences et ouvre la voie vers une réflexion renouvelée sur les modalités de sortie de la violence et les déterminants de la paix