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Este trabajo se propone estudiar hermenéuticamente dos obras literarias del Marqués de Sade publicadas en 1795, La philosophie dans le boudoir y Aline et Valcour ou le Roman philosophique, con el objetivo de mostrar que los textos literarios de Sade exceden y exacerban la Revolución política en curso proponiendo una revolución estética desde una profunda transgresión o ultraje de los principios del orden mimético clásico que emerge de un pensar filosófico espontáneo dado en la escritura literaria de fines del siglo XVIII. La exposición de esta crítica estética que vemos en la literatura de Sade nos permite sostener que la revolución estética ante el régimen representativo clásico ya se venía cultivando antes de la creación literaria de Stendhal, Balzac, Flaubert y Victor Hugo, tal como lo sugieren Auerbach y Rancière. Aquí propondremos que esa revolución estética se da, entonces, con Sade y su peculiar mezcla de estilos que ultraja el orden mimético clásico, configura una hipermoralidad resultante de la transgresión de los principios y, en consecuencia, se constituye como la apertura a la experiencia literaria moderna. ; This paper will study hermeneutically two literary texts of the Marquis de Sade published in 1795, La philosophie dans le boudoir and Aline et Valcour ou le Roman philosophique, with the objective of showing that Sade's literary texts exceed and exacerbate the ongoing political revolution by proposing an aesthetic revolution from a deep transgression or outrage of the principles of the classical mimetic order that emerges from a spontaneous philosophical thought given in the literary writing of the late century eighteenth century. The exposition of this aesthetic criticism in Sade's literature allows us to sustain that the aesthetic revolution in the face of the classical representative regime was already being cultivated before the literary creation of Stendhal, Balzac, Flaubert and Victor Hugo, as suggested by Auerbach and Rancière. Here we will propose that this aesthetic revolution occurs, then, with Sade and his peculiar mixture of styles that outrages the classical mimetic order, configures a hypermorality resulting from the transgression of principles and, consequently, is constituted as the openness to modern literary experience.

Résumé Dès le XIX e siècle, une intense diatribe souligne les dangers de l'oisiveté du travailleur, condamné à se livrer à la débauche sur son temps libre. Dans l'entre-deux-guerres, le quotidien sportif L'Auto, fondé en 1900 par Henri Desgrange, participe activement à la lutte déclarée contre ces maux. Acteur d'une popularisation sportive aux côtés des industries, des fédérations puis de l'État, le journal tient un discours aux visées plurielles. Il assure une couverture médiatique d'envergure des sports patronal et corporatif, faisant apparaître des objectifs sociaux et économiques communs au monde de l'entreprise. Cette ligne éditoriale conciliante n'affecte aucunement l'attachement originel et indéfectible de L'Auto à défendre ses vues en matière d'hygiénisme et de morale sportive.

Constituant le socle de l'éthique, les réflexions et interrogations portant sur la valeur et les conditions d'exercice du soin peuvent être envisagées à l'aide des outils diffusés dans le cadre du programme MobiQual : élaborés autour de thèmes enjeux de santé publique, leurs contenus peuvent être intégrés dans une démarche globale, voire managériale, visant à prendre du recul face à des situations complexes ; s'interroger sur le sens et les valeurs guidant l'acte de soin, au-delà d'une logique d'action purement technique ; définir de manière collégiale et pluridisciplinaire des enjeux et des alternatives, et les partager.

Cet article s'intéresse à l'analyse, qui a été proposée par l'interprétation spinoziste du marxisme, des conséquences politiques des transformations ayant affecté la sphère productive au cours du passage aux économies post-fordistes. Caractérisée par l'intégration croissante des activités communicationnelles et affectives à la sphère de la production sociale de la valeur, cette nouvelle étape de l'accumulation capitaliste révèle à la fois un progrès formidable et une évolution surprenante de la séparation des individus par rapport à leurs conditions d'existence que ce mode de production commençait à accomplir aux premiers jours de l'industrialisation. Or, puisque toute production éthique et symbolique se trouve irréversiblement conquise par la logique marchande, l'hypothèse d'un dépassement de la misère qu'engendre cette extension de la valorisation capitaliste – une misère profonde, inédite – semble devoir être formulée sur de nouvelles bases. La pensée politique dont rend compte cet article propose, plutôt qu'une opération de sauvetage de l'autonomie de la sphère politique, une technique d'interprétation, par les subjectivités productives, des modes de subjectivation propres à cette nouvelle ère de l'accumulation capitaliste. Il s'agit en somme de définir, à grands traits, les ressorts de ce projet que j'appelle une « herméneutique de la misère », c'est-à-dire la misère elle-même, dans le geste de son imagination, se saisissant des dynamiques qui l'engendrent et participant de ce fait à la composition communiste de la puissance productive.

International audience ; Introduction au dossier : La philosophie de la médecine après G. Canguilhem

International audience ; Introduction au dossier : La philosophie de la médecine après G. Canguilhem