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Ce mémoire traite des grandes politiques d'embellissement des villes au XVIIIe siècle. Il étudie le rôle majeur des intendants du roi et les procédés mis en oeuvre dans ces transformations. Au travers de l'étude d'Auch, il met en perspective l'évolution de ces politiques d'embellissement et les changements de gouvernance.

Es gab Zeiten, da trat die SPD mit voller Überzeugung und offensiv für soziale Gerechtigkeit ein. Und mit gesundem Selbstbewusstsein. "Deutsche Arbeiter. Die SPD will euch eure Villen im Tessin wegnehmen." Dieses Plakat voller Ironie und Spott für den politischen Gegner hatte der Polit-Grafiker Klaus Staeck entworfen. Die SPD plakatierte dieses Kult-Objekt im Willy-Brandt-Wahlkampf 1972. Fortan...
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Les vieux et la ville, deux termes que l'on n'associe pas spontanément tant il est vrai que les débats concernant la ville aujourd'hui sont focalisés sur la situation des banlieues. Or, on sait que les plus de 65 ans ne représentent que 9,2 % de la population des « quartiers sensibles » alors qu'ils représentent 13,3 % de la population des agglomérations urbaines et 14,7 % de la population de la France métropolitaine. Peu nombreuses dans les banlieues, les personnes âgées sont ailleurs : dans les centres anciens des villes ou à la campagne, espaces moins visibles pour une population supposée socialement moins problématique. Le développement de services gérontologiques à l'initiative des villes conforte l'hypothèse selon laquelle, il n'y a pas ou plus de problème de personnes âgées en ville. La situation des personnes âgées dans les centres anciens est-elle moins problématique ? Ce n'est pas certain. La réflexion proposée dans cet article tente de répondre à deux séries de questions. En premier lieu nous essaierons d'esquisser le profil des personnes âgées dépendantes vivant en ville et d'examiner leurs demandes à l'égard des services (marchands et non marchands). Nous essaierons ensuite d'examiner les réponses apportées par les services (y compris les services gérontologiques).

Rien n'est moins évident que la mort des villes, car les citoyens ont une formidable capacité d'adaptation à un espace en transformation. Le présent article pose le problème des grandes villes, entre autres Montréal, comme lieu d'identification des citoyens.

En se fondant sur deux instruments de la communication publique urbaine, cette communication scientifique s'attache à montrer les mécanismes cognitifs liés aux politiques d'urbanisme dans l'agglomération bordelaise. Ces actions cognitives publiques sont mises en oeuvre par les discours municipaux ( Pessac et Bordeaux dans l'analyse présente) en élaborant des représentations publiques urbaines appropriables par les acteurs et les habitants. Pour le projet d'urbanisme du centre ville de Pessac il est possible de théoriser l'existence d'un protocole cognitif qui accompagne une tentative partielle d'urbanisme participatif. Dans le cas du projet urbain pour Bordeaux 2030 une méthodologie d'analyse des représentations et des structures cognitive du discours municipal permet de dégager la construction d'une spatialité "représentative" de l'action d'urbanisme projetée, qui mobilise un plan sémiotique symbolique de la requalification des espaces urbains en devenir, mais surtout qui activent ( consciemment ou inconsciemment) des structures cognitives plus profondes qui relient le projet et ses éléments spatiaux aux continuités bordelaises: ce sont des thématas urbains ( le thémata est un concept central de l'histoire des sciences théorisé par Gérald Holton en 1973 et 1978) qui fonctionnent comme des structures de cohérences pour parvenir à s'approprier mentalement les idées force du projet; La recherche de ces thématas urbains permet de mettre en valeur de nouvelles structures cognitives de la ville. Elles enrichissent les structures de lisibilité qu'a proposées K. Lynch en établissant les relations entre les représentations publiques techniciennes de l'espace à réaliser et les représentations habitantes de l'espace des pratiques urbaines et des enjeux des usages sociaux de la ville.

En se fondant sur deux instruments de la communication publique urbaine, cette communication scientifique s'attache à montrer les mécanismes cognitifs liés aux politiques d'urbanisme dans l'agglomération bordelaise. Ces actions cognitives publiques sont mises en oeuvre par les discours municipaux ( Pessac et Bordeaux dans l'analyse présente) en élaborant des représentations publiques urbaines appropriables par les acteurs et les habitants. Pour le projet d'urbanisme du centre ville de Pessac il est possible de théoriser l'existence d'un protocole cognitif qui accompagne une tentative partielle d'urbanisme participatif. Dans le cas du projet urbain pour Bordeaux 2030 une méthodologie d'analyse des représentations et des structures cognitive du discours municipal permet de dégager la construction d'une spatialité "représentative" de l'action d'urbanisme projetée, qui mobilise un plan sémiotique symbolique de la requalification des espaces urbains en devenir, mais surtout qui activent ( consciemment ou inconsciemment) des structures cognitives plus profondes qui relient le projet et ses éléments spatiaux aux continuités bordelaises: ce sont des thématas urbains ( le thémata est un concept central de l'histoire des sciences théorisé par Gérald Holton en 1973 et 1978) qui fonctionnent comme des structures de cohérences pour parvenir à s'approprier mentalement les idées force du projet; La recherche de ces thématas urbains permet de mettre en valeur de nouvelles structures cognitives de la ville. Elles enrichissent les structures de lisibilité qu'a proposées K. Lynch en établissant les relations entre les représentations publiques techniciennes de l'espace à réaliser et les représentations habitantes de l'espace des pratiques urbaines et des enjeux des usages sociaux de la ville.

Penser les métropoles brésiliennes s'inscrit dans la nouvelle relation du Brésil avec le monde et la crise du développement. Mike Davis dénonce une « brésilianisation » du monde alors que les favelas constituent à l'inverse la puissance dynamique de la refondation vers un devenir-ville des favelas et un devenir-favela des métropoles.

L'histoire contemporaine du monde méditerranéen s'est enrichie de deux oeuvres monumentales consacrées toutes deux à des villes : l'une au Maroc, Casablanca, l'autre en Italie, Milan. Dans les deux cas les auteurs ne sont pas historiens : l'un est sociologue, A. Adam ; l'autre est géographe, E. Dalmasso. Tous deux présentent le bilan de leurs recherches ; disons le d'entrée, celui-ci est d'exceptionnelle qualité et si les géographes ou les sociologues y trouvent leur compte, — aussi bien dans l'une et l'autre —, les historiens du monde méditerranéen contemporain ne pourront pas négliger ces deux thèses.