A propos de télévision et politique, par Roland Cayrol Depuis quelques années, des études publiées en Europe et aux Etats-Unis sont venues faire le point des connaissances sur l'influence de la télévision sur les attitudes et les comportements politiques des individus ; certaines ont apporté des éléments nouveaux, sur le plan de la connaissance ou sur celui de la méthodologie. On peut regretter le silence relatif de la recherche française dans ce domaine : les sociologues et politologues français devraient accorder plus d'attention à l'un des plus importants phénomènes de masse de notre époque. [Revue française de science politique XXI (6), décembre 1971, pp. 1317-1328]
In: Salter , B & Salter , C 2017 , ' Controlling new knowledge : Genomic science, governance and the politics of bioinformatics ' , SOCIAL STUDIES OF SCIENCE , vol. 47 , no. 2 , pp. 263-287 . https://doi.org/10.1177/0306312716681210
The rise of bioinformatics is as a direct response to the political difficulties faced by genomics in its quest to be a new biomedical innovation, its value being that it acts as the bridge between the promise of genomics and its realisation in the form of health benefits. Western scientific elites are able to use their close relationship with the state to control and facilitate the emergence of new domains compatible with the existing distribution of epistemic power – all within the embrace of public trust. The epistemic incorporation of bioinformatics as the saviour of genomics had to be integrated with the operation of two key aspects of governance in this field: the definition and ownership of the new knowledge. This was achieved mainly in two ways: by the development of common standards and by the promotion of the values of communality, open access and the public ownership of data to legitimise and maintain the governance power of publicly funded genomic science. Opposition from industry advocating the private ownership of knowledge has been largely neutered through the good offices of the science-state concordat. However, iIn order for translation into health benefit to occur and public trust to be assured, genomic and clinical data have to be integrated and knowledge ownership agreed across the separate and distinct governance territories of scientist, medicine and society. Tensions abound as science seeks ways of maintaining its control of knowledge production through the negotiation of new forms of governance with the institutions and values of clinicians and patients.
In this groundbreaking book Phil Barden reveals what decision science explains about people's purchase behaviour, and specifically demonstrates its value to marketing. He shares the latest research on the motivations behind consumers' choices and what happens in the human brain as buyers make their decisions. He deciphers the 'secret codes' of products, services and brands to explain why people buy them. And finally he shows how to apply this knowledge in day to day marketing to great effect by dramatically improving key factors such as relevance, differentiation and credibility. - Shows how the latest insights from the fields of Behavioural Economics, psychology and neuro-economics explain why we buy what we buy - Offers a pragmatic framework and guidelines for day-to-day marketing practice on how to employ this knowledge for more effective brand management - from strategy to implementation and NPD. - The first book to apply Daniel Kahneman's Nobel Prize-winning work to marketing and advertising - Packed with case studies, this is a must-read for marketers, advertising professionals, web designers, R & D managers, industrial designers, graphic designers in fact anyone whose role or interest focuses on the 'why' behind consumer behaviour. - Foreword by Rory Sutherland, Executive Creative Director and Vice-Chairman, OgilvyOne London and Vice-Chairman, Ogilvy Group UK - Full colour throughout.
The present paper constitutes a partial report of the results until now obtained, del investigation project "the conceptions that based the initial formation of professors of sciences on the Superior Normal School of Colombia, from its beginning to 1952" stand out the dominant conceptions and its foundation of the denominated social studies of science or sociology is fitted inside del knowledge. Reference to made investigations is done that show the thought class that dominated in Colombia with respect to the technologies and the studied problem of the paper of Mutis in the introduction of Newtonian dynamics in the "Virreinato La Nueva Granada". In the same way, it is alluded to the social history of chemistry in the country, in regard to which the creation of the chemistry studies, obeyed to the same cultural, political and economic conditions that gave origin to the Superior Normal School of Colombia ; Se presentan los resultados obtenidos del proyecto de investigación titulado "Las concepciones que fundamentaron la formación inicial de profesores de ciencias en la Escuela Normal Superior de Colombia, desde su inicio hasta 1952". Se destacan las concepciones dominantes y se encuadra su fundación dentro de los denominados estudios sociales de la ciencia o sociología del conocimiento. Se referencian investigaciones publicadas que muestran la clase de pensamiento que dominaba en Colombia con respecto a las tecnologías y el estudiado problema del papel de Mutis en la introducción de la dinámica newtoniana en el Virreinato de la Nueva Granada. De la misma manera, se alude a la historia social de la química en el país, en razón de que la creación de los estudios de química, obedecieron a las mismas condiciones culturales, políticas y económicas que dieron origen a la Escuela Normal Superior de Colombia
La compréhension du phénomène de consolidation électorale des droites populistes et extrêmes invite à considérer les processus globaux d'évolution et de transformation des systèmes de partis ouest-européens depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'altération de la légitimité, du statut et rôle des grands acteurs partisans historiques, principaux protagonistes et véritables colonnes vertébrales de ces systèmes. Plus fondamentalement encore, il s'agit d'examiner les mécanismes au travers desquels l'offre programmatique et l'univers idéologique des mouvements populistes et radicaux se sont progressivement trouvés en situation d'adéquation forte avec certains des espoirs, insatisfactions, attentes ou craintes de segments électoraux qui, pour partie, demeuraient traditionnellement – pour ne pas dire ataviquement – étrangers et hostiles au prototype sociétal fermé, exclusif et autoritaire porté depuis toujours par la droite national-populiste. À ce titre, deux dimensions apparaissent fondamentales et illustrent cette rencontre, dont on verra qu'elle a pu parfois être fortuite, entre un certain nombre d'éléments objectifs de crise des systèmes partisans et la vision du monde propagée par les leaders populistes et extrémistes : la critique virulente de la classe politique enfermant partis de gauche et droite dans une même responsabilité face à l'échec, schème central du nationalisme populiste belliqueux depuis les origines, a incontestablement rencontré un écho favorable dans une partie des électorats européens désillusionnés, en rupture avec la social-démocratie ou le conservatisme chrétien-démocrate, face à l'essoufflement des types traditionnels de partage du pouvoir ; le concept de « préférence nationale », pierre angulaire du projet ethnocentriste autoritaire utopique des droites radicales et populistes en matière économique et sociale, s'est vu réapproprié par un électorat populaire pour composer progressivement l'armature d'un véritable pacte alternatif de solidarité nationale et de partage redistributif de ...
La compréhension du phénomène de consolidation électorale des droites populistes et extrêmes invite à considérer les processus globaux d'évolution et de transformation des systèmes de partis ouest-européens depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'altération de la légitimité, du statut et rôle des grands acteurs partisans historiques, principaux protagonistes et véritables colonnes vertébrales de ces systèmes. Plus fondamentalement encore, il s'agit d'examiner les mécanismes au travers desquels l'offre programmatique et l'univers idéologique des mouvements populistes et radicaux se sont progressivement trouvés en situation d'adéquation forte avec certains des espoirs, insatisfactions, attentes ou craintes de segments électoraux qui, pour partie, demeuraient traditionnellement – pour ne pas dire ataviquement – étrangers et hostiles au prototype sociétal fermé, exclusif et autoritaire porté depuis toujours par la droite national-populiste. À ce titre, deux dimensions apparaissent fondamentales et illustrent cette rencontre, dont on verra qu'elle a pu parfois être fortuite, entre un certain nombre d'éléments objectifs de crise des systèmes partisans et la vision du monde propagée par les leaders populistes et extrémistes : la critique virulente de la classe politique enfermant partis de gauche et droite dans une même responsabilité face à l'échec, schème central du nationalisme populiste belliqueux depuis les origines, a incontestablement rencontré un écho favorable dans une partie des électorats européens désillusionnés, en rupture avec la social-démocratie ou le conservatisme chrétien-démocrate, face à l'essoufflement des types traditionnels de partage du pouvoir ; le concept de « préférence nationale », pierre angulaire du projet ethnocentriste autoritaire utopique des droites radicales et populistes en matière économique et sociale, s'est vu réapproprié par un électorat populaire pour composer progressivement l'armature d'un véritable pacte alternatif de solidarité nationale et de partage redistributif de ...
La compréhension du phénomène de consolidation électorale des droites populistes et extrêmes invite à considérer les processus globaux d'évolution et de transformation des systèmes de partis ouest-européens depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'altération de la légitimité, du statut et rôle des grands acteurs partisans historiques, principaux protagonistes et véritables colonnes vertébrales de ces systèmes. Plus fondamentalement encore, il s'agit d'examiner les mécanismes au travers desquels l'offre programmatique et l'univers idéologique des mouvements populistes et radicaux se sont progressivement trouvés en situation d'adéquation forte avec certains des espoirs, insatisfactions, attentes ou craintes de segments électoraux qui, pour partie, demeuraient traditionnellement – pour ne pas dire ataviquement – étrangers et hostiles au prototype sociétal fermé, exclusif et autoritaire porté depuis toujours par la droite national-populiste. À ce titre, deux dimensions apparaissent fondamentales et illustrent cette rencontre, dont on verra qu'elle a pu parfois être fortuite, entre un certain nombre d'éléments objectifs de crise des systèmes partisans et la vision du monde propagée par les leaders populistes et extrémistes : la critique virulente de la classe politique enfermant partis de gauche et droite dans une même responsabilité face à l'échec, schème central du nationalisme populiste belliqueux depuis les origines, a incontestablement rencontré un écho favorable dans une partie des électorats européens désillusionnés, en rupture avec la social-démocratie ou le conservatisme chrétien-démocrate, face à l'essoufflement des types traditionnels de partage du pouvoir ; le concept de « préférence nationale », pierre angulaire du projet ethnocentriste autoritaire utopique des droites radicales et populistes en matière économique et sociale, s'est vu réapproprié par un électorat populaire pour composer progressivement l'armature d'un véritable pacte alternatif de solidarité nationale et de partage redistributif de ...
La compréhension du phénomène de consolidation électorale des droites populistes et extrêmes invite à considérer les processus globaux d'évolution et de transformation des systèmes de partis ouest-européens depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'altération de la légitimité, du statut et rôle des grands acteurs partisans historiques, principaux protagonistes et véritables colonnes vertébrales de ces systèmes. Plus fondamentalement encore, il s'agit d'examiner les mécanismes au travers desquels l'offre programmatique et l'univers idéologique des mouvements populistes et radicaux se sont progressivement trouvés en situation d'adéquation forte avec certains des espoirs, insatisfactions, attentes ou craintes de segments électoraux qui, pour partie, demeuraient traditionnellement – pour ne pas dire ataviquement – étrangers et hostiles au prototype sociétal fermé, exclusif et autoritaire porté depuis toujours par la droite national-populiste. À ce titre, deux dimensions apparaissent fondamentales et illustrent cette rencontre, dont on verra qu'elle a pu parfois être fortuite, entre un certain nombre d'éléments objectifs de crise des systèmes partisans et la vision du monde propagée par les leaders populistes et extrémistes : la critique virulente de la classe politique enfermant partis de gauche et droite dans une même responsabilité face à l'échec, schème central du nationalisme populiste belliqueux depuis les origines, a incontestablement rencontré un écho favorable dans une partie des électorats européens désillusionnés, en rupture avec la social-démocratie ou le conservatisme chrétien-démocrate, face à l'essoufflement des types traditionnels de partage du pouvoir ; le concept de « préférence nationale », pierre angulaire du projet ethnocentriste autoritaire utopique des droites radicales et populistes en matière économique et sociale, s'est vu réapproprié par un électorat populaire pour composer progressivement l'armature d'un véritable pacte alternatif de solidarité nationale et de partage redistributif de ...
La compréhension du phénomène de consolidation électorale des droites populistes et extrêmes invite à considérer les processus globaux d'évolution et de transformation des systèmes de partis ouest-européens depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l'altération de la légitimité, du statut et rôle des grands acteurs partisans historiques, principaux protagonistes et véritables colonnes vertébrales de ces systèmes. Plus fondamentalement encore, il s'agit d'examiner les mécanismes au travers desquels l'offre programmatique et l'univers idéologique des mouvements populistes et radicaux se sont progressivement trouvés en situation d'adéquation forte avec certains des espoirs, insatisfactions, attentes ou craintes de segments électoraux qui, pour partie, demeuraient traditionnellement – pour ne pas dire ataviquement – étrangers et hostiles au prototype sociétal fermé, exclusif et autoritaire porté depuis toujours par la droite national-populiste. À ce titre, deux dimensions apparaissent fondamentales et illustrent cette rencontre, dont on verra qu'elle a pu parfois être fortuite, entre un certain nombre d'éléments objectifs de crise des systèmes partisans et la vision du monde propagée par les leaders populistes et extrémistes : la critique virulente de la classe politique enfermant partis de gauche et droite dans une même responsabilité face à l'échec, schème central du nationalisme populiste belliqueux depuis les origines, a incontestablement rencontré un écho favorable dans une partie des électorats européens désillusionnés, en rupture avec la social-démocratie ou le conservatisme chrétien-démocrate, face à l'essoufflement des types traditionnels de partage du pouvoir ; le concept de « préférence nationale », pierre angulaire du projet ethnocentriste autoritaire utopique des droites radicales et populistes en matière économique et sociale, s'est vu réapproprié par un électorat populaire pour composer progressivement l'armature d'un véritable pacte alternatif de solidarité nationale et de partage redistributif de ...
Urban public transport systems influence the infrastructure of urban areas and the lives of their inhabitants while directly stimulating the economy. Intelligent urban public transport systems help to improve the quality of life and the environment in cities. The rapid development of urban transport solutions has led to a large number of operators entering the market, thus preventing a global optimum. These discrete optimisations, without any articulation between transport operators, avoid the identification of a global optimum. As a result, the inefficient operation of urban public transport systems does not necessarily reduce the environmental cost. To address these challenges, this thesis proposes a methodology associated with mathematical models developing optimisation approaches for multimodal public transport networks, for achieving the best service policy while minimising operation costs in order to satisfy the principle of sustainability, frequently expressed in urban development goals. ; Les systèmes de transport public urbain influencent l'infrastructure des agglomérations et la vie de leurs habitants tout en stimulant directement l'économie. Les systèmes de transport public urbain intelligents contribuent à améliorer la qualité de vie et l'environnement dans les villes. Le développement rapide des solutions de transport urbain a conduit de très nombreux opérateurs à se porter sur ce marché empêchant ainsi une logique globale de l'offre. Ces optimisations discrètes, privées de toutes concertations entre opérateurs de transport intervenant sur un même périmètre, interdit l'identification d'un optimum global. En conséquence, le fonctionnement inefficace des systèmes de transport public urbain ne réduit pas nécessairement la charge environnementale, et les opérateurs de transport urbain peuvent ne pas être en mesure de la gérer de manière durable. Pour répondre à ces défis, cette thèse propose une méthodologie associée à des modèles mathématiques qui sont développés à travers des approches d'optimisation ...
Urban public transport systems influence the infrastructure of urban areas and the lives of their inhabitants while directly stimulating the economy. Intelligent urban public transport systems help to improve the quality of life and the environment in cities. The rapid development of urban transport solutions has led to a large number of operators entering the market, thus preventing a global optimum. These discrete optimisations, without any articulation between transport operators, avoid the identification of a global optimum. As a result, the inefficient operation of urban public transport systems does not necessarily reduce the environmental cost. To address these challenges, this thesis proposes a methodology associated with mathematical models developing optimisation approaches for multimodal public transport networks, for achieving the best service policy while minimising operation costs in order to satisfy the principle of sustainability, frequently expressed in urban development goals. ; Les systèmes de transport public urbain influencent l'infrastructure des agglomérations et la vie de leurs habitants tout en stimulant directement l'économie. Les systèmes de transport public urbain intelligents contribuent à améliorer la qualité de vie et l'environnement dans les villes. Le développement rapide des solutions de transport urbain a conduit de très nombreux opérateurs à se porter sur ce marché empêchant ainsi une logique globale de l'offre. Ces optimisations discrètes, privées de toutes concertations entre opérateurs de transport intervenant sur un même périmètre, interdit l'identification d'un optimum global. En conséquence, le fonctionnement inefficace des systèmes de transport public urbain ne réduit pas nécessairement la charge environnementale, et les opérateurs de transport urbain peuvent ne pas être en mesure de la gérer de manière durable. Pour répondre à ces défis, cette thèse propose une méthodologie associée à des modèles mathématiques qui sont développés à travers des approches d'optimisation ...