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This article presents the defense for the education area as an undiscovered chance to battle environmental change, through the execution of climate change education across the curriculum. Hence, the work to distinguish the variables that decide the knowledge, attitude, and behavior of educators towards climate change is significant, since educators are significant partners in making powerful climate change education an outcome in schools. Nonetheless, not much consideration has been given to endeavors to evaluate the knowledge, attitude, and behavior of science educators related to climate change. Along these lines, this study was directed to distinguish distinctions in gender in science educators' knowledge, attitude, and behavior related to climate change. Using a stratified cluster random sampling method, a survey of 632 national secondary school science teachers in six states—Kedah, Johor, Terengganu, Selangor, Sabah, and Sarawak—was used to take a quantitative approach. The information gathered through the survey was then examined utilizing a descriptive and inferential technique. Discoveries show that the degree of knowledge, attitude, and behavior of teachers about climate change is high. The outcomes obtained from this study likewise uncover that socio-demographic factors, for example, gender can influence teachers' knowledge, attitude, and behavior about climate change. The aftereffects of this study can help policymakers to conclude the proper moves that can be made in dealing with the impacts of climate change through further developing climate change education across the curriculum, and further reassuring mitigative activities to shield the environment from the antagonistic impacts of climate change.

"George Herbert Mead is a foundational figure in sociology, best known for his book Mind, Self, and Society, which was put together after his death from course notes taken by stenographers and students and from unpublished manuscripts. Mead, however, never taught a course primarily housed in a sociology department, and he wrote about a wide variety of topics far outside of the concerns for which he is predominantly remembered-including experimental and comparative psychology, the history of science, and relativity theory. In short, he is known in a discipline in which he did not teach for a book he did not write. In Becoming Mead, Daniel R. Huebner traces the ways in which knowledge has been produced by and about the famed American philosopher. Instead of treating Mead's problematic reputation as a separate topic of study from his intellectual biography, Huebner considers both biography and reputation as social processes of knowledge production. He uses Mead as a case study and provides fresh new answers to critical questions in the social sciences, such as how authors come to be considered canonical in particular disciplines, how academics understand and use others' works in their research, and how claims to authority and knowledge are made in scholarship. Becoming Mead provides a novel take on the history of sociology, placing it in critical dialogue with cultural sociology and the sociology of knowledge and intellectuals."--

EnglishThis study was conducted to examine postgraduate theses in Taiwan. Results showed that most of the studies were qualitative researches and there were few studies adopting mixed-methods research approaches. There were few studies on social work methods; and the use of English references was not widespread.FrenchCette étude avait pour objectif d'examiner les thèses d'étudiants postgradués à Taiwan. Les résultats ont révé lé que: la majorité des recherches étaient de nature qualitative, quelques recherches ayant adopté une approche de modè les mixtes; peu de recherches ont été consacrées aux méthodes d'intervention en travail social; et les sources anglaises étaient rares.SpanishEste estudio se llevo a cabo para examinar las tesis de postgrado en Taiwán. Los resultados mostraron que: la mayoría de los estudios fueron investigaciones cualitativas y que solo hubo algunos estudios que adoptaron métodos mixtos de investigación; hubo solo algunos estudios en métodos de trabajo social; el uso de referencias en inglés no fue muy difundido.

Nous assistons actuellement au peuplement des zones périurbaines de la planète par des centaines de millions d'individus. Cette évolution pose de redoutables problèmes et des difficultés inédites pour les politiques publiques. Si les effets de la périurbanisation sont relativement bien connus dans les pays du Nord, les analyses dédiées aux pays du Sud sont bien moins développées. L'ouvrage « Territoires périurbains : développement, enjeux et perspectives dans les pays du Sud » permet de lever un coin du voile sur cette problématique et sur les grands défis que la périurbanisation pose pour le Sud en général et pour l'Afrique centrale en particulier. L'ouvrage débute en cherchant à clarifier ce qu'il faut exactement entendre par « territoire périurbain ». À la suite de cette mise en contexte, il se poursuit par cinq parties organisées autour des problématiques des ressources naturelles, de la sécurité alimentaire, de la santé publique, des services publics et de l'aménagement des territoires. Pour chacune de ces problématiques, des chercheurs spécialisés issus de disciplines variées apportent des contributions qui, tout en soulignant l'ampleur des défis, permettent la mise en avant de solutions innovantes pour améliorer la gouvernance et le bien-être des populations. Cet ouvrage s'adresse d'abord aux chercheurs préoccupés par les défis du développement. En parallèle, par les pistes pour l'action publique qu'il esquisse, il ne manquera pas d'également intéresser les décideurs et les praticiens qui opèrent dans le contexte des territoires périurbains des pays du Sud.

Résumé Au Brésil, dont l'agriculture est trop souvent résumée à son impressionnant agrobusiness, une masse d'agriculteurs peu dotés en facteurs de production et mettant en œuvre la force de travail familiale a, de tout temps, été présente dans la structure agraire. Or, depuis peu, celle-ci retient l'attention des pouvoirs publics, après avoir subi un « oubli » de plusieurs siècles. L'article se divise en trois parties. Dans la première partie, cette forme d'agriculture de « petite production » est observée au cours de l'histoire agraire brésilienne, pour comprendre ses vicissitudes sur le temps long et montrer comment s'est créée sa situation « subalterne ». Dans la deuxième partie, est caractérisée cette agriculture, désignée actuellement comme « familiale » et sont indiquées les circonstances récentes qui ont conduit à son institutionnalisation. Dans la troisième partie est présenté le contenu des politiques publiques dont elle bénéficie.

Résumé Le lendemain de la manifestation du 20 novembre 1971 organisée par le MLF pour la libre maternité, Simone de Beauvoir fait un rêve « très différent des autres ». Et pour cause ! C'est une histoire de « fille stupide » qui habite dans un palais, d'un homme barbu, d'un plat rempli d'œufs crus sortis de leur coquille et d'une fourchette menaçant les « embryons ». Ce rêve en écho à la manifestation pour l'avortement libre manifeste-t-il un retour du refoulé d'une autre histoire d'œufs survenue quelque vingt ans plus tôt ? En reliant le récit du rêve à certaines lettres échangées avec Nelson Algren en 1948, où il est question d'œuf cassé, et même « tué », nous nous demanderons si Beauvoir n'est pas confrontée ici aux traces d'un possible avortement qu'elle aurait fait à Mexico en compagnie d'Algren.

La pauvreté à l'épreuve de l'Ouzbékistan Cet article aborde les représentations et le vécu de la pauvreté en Ouzbékistan d'abord à travers l'examen de la perte de statut des intellectuels académiques puis en examinant localement la faible pertinence de la catégorie de « pauvreté » telle qu'elle est conçue par la Banque mondiale. Les ONG font l'objet d'une troisième partie qui analyse leur histoire et leurs profils comme entreprises d'exportation de la démocratie américaine dans l'espace postsoviétique. L'Ouzbékistan offre l'exemple d'un État tombé dans le « sous-dévelop-pement » qui bloque toute évolution démocratique. Il s'agit d'une « transition » ratée et d'un relatif retour à une situation de guerre froide dans une région plus prospère à l'époque de l'URSS où l'expérience de l'indignité est plus prégnante que celle de la pauvreté partagée par la majorité de la population.

Résumé Jürgen Habermas démontre comment, par l'appropriation de l'espace public, un sujet politique — le bourgeois — peut s'approprier l'espace politique. Ce n'est pourtant pas le cas pour les femmes. L'analyse de leur investissement de l'espace public en Mongolie permet d'apporter quelques éléments de compréhension. On comprend tout d'abord que les révolutions successives — soviétique puis démocratique — n'ont pas bouleversé l'ordre des rapports sociaux de sexe, les femmes restant socialement assignées à la sphère privée. On comprend aussi que dans la pratique sociale, elles investissent différentes aires de l'espace public, comme les marchés, les associations et même les médias. Mais on comprend aussi qu'elles restent prises dans le piège de leur « catégorie femmes » qu'elles tentent de valoriser, seul argument que leur laisse avancer la sphère virile politique. Ce qui étouffe alors leur véritable rôle citoyen, celui-là même dont on pourrait penser qu'il leur permettrait l'accès à la sphère politique.