Suchergebnisse
Filter
184 Ergebnisse
Sortierung:
Histoire diplomatique de 1648 à 1919
In: Bibliothèque Dalloz
Les Nonciatures apostoliques permanentes jusqu'en 1648
In: Suomalaisen Tiedeakatemian toimituksia
In: Sar. B 2,1
In: Etudes romaines 1,[1]
L'Inquisition devant le miroir (1562-1648)
In: Mélanges de la Casa de Velazquez, Band 27, Heft 2, S. 29-57
ISSN: 2173-1306
The politic's integration of Alsace since 1648 to 1870 ; L'intégration politique de l'Alsace de 1648 à 1870
From the tenth century to the year 1648, Alsace remained a part of the Holy Roman Empire, until it cession to France according to the terms of the Peace of Westphalia, following the Thirty Years' War. Having received a foreign and unwilling province, the Kingdom of France had to find ways to incorporate Alsace into its emerging national community. After having asserted with difficulty it sovereignty over the territory, the monarchy established a progressive integration policy, respectful of regional privileges. From the French Revolution onward, Alsace's assimilation was greatly accelerated, to such an extent that it had become fully integrated to France until being conceded to the German Empire at the end of th Franco-Prussian War. This thesis reviews the various policies conducted by France toward Alsace's integration during its rule. It examines particularly the role of specifically created public institutions, and the laws affecting administration, justice, economy, education, religion and language which were enacted and enforced to that end. ; Attachée au Saint-Empire romain germanique au cours du dixième siècle, l'Alsace en demeura partie intégrante jusqu'en 1648, date à laquelle, au terme de la guerre de Trente Ans, elle fut cédée à la France par les traités de Westphalie. Mise en possession d'une province étrangère, cédée contre son gré, la monarchie française dut trouver les moyens d'intégrer l'Alsace au nouvel ensemble national. Après avoir, difficilement, réussi à affirmer sa souveraineté sur la province, la monarchie mit en place une politique d'intégration, progressive et respectueuse des privilèges régionaux. À partir de la Révolution française, l'assimilation de l'Alsace au reste de la France s'accéléra au point qu'à l'issue de la guerre 1870, c'est une province entièrement intégrée à la France qui revint à l'Allemagne. Dans le cadre de notre thèse, nous nous proposons donc d'étudier les politiques menées par la France en Alsace en vue de son intégration, en s'intéressant tout particulièrement aux ...
BASE
Colmar et la France de 1634 à 1648
In: Revue d'histoire moderne, Band 13, Heft 35, S. 432-449
Un miroir du mépris : Guy Patin contre Théophraste Renaudot (1638-1648) ; "A Mirror of Disdain: Guy Patin v. Théophraste Renaudot (1638-1648)"
Between 1638 and 1648, the two Parisian physicians Théophraste Renaudot (1586-1653) and Guy Patin (1601-1672) were rival in every matter: empiricism v. dogmatism, paracelsim v. galenism, political pushfulness v. contempt for courtism, Montpellier's University v. Paris's medical Faculty… Doubtless stirred up by their past companionship, their duel provoked a profusion of lampoons, followed by lawsuits and snubs, in a mutual explosion of hate and contempt. In 1643, Richelieu and Louis XIII being dead, Patin could abuse his disarmed enemy with complete impunity; in disgrace at court, Renaudot had to admit his defeat. At the end of the nineteenth century began a posthumous battle between the two enemies: Patin for his caustic Lettres (republished in 1846), and Renaudot for having been the inventor of French journalism (La Gazette created in 1631). Public opinion set the journalist on a pedestal and gave him access to huge fame by giving his name to a literary award (1926). ; De 1638 à 1648, tout a opposé les deux médecins parisiens Théophraste Renaudot (1586-1653) et Guy Patin (1601-1672) : empirisme contre dogmatisme, paracelsisme contre galénisme, arrivisme politique contre mépris de la cour royale, Université de Montpellier contre Faculté de médecine de Paris… Sans doute attisé par leur ancienne camaraderie, leur duel a produit un foisonnement de libelles, auxquels s'ajoutèrent procès et pieds de nez dans un déchaînement réciproque de haine et de dédain. En 1643, après la mort de Richelieu et de Louis XIII, Patin pouvait impunément injurier son ennemi désarmé ; en disgrâce à la cour, Renaudot dut s'avouer vaincu. À la fin du XIXe siècle s'engagea une joute posthume entre les deux ennemis : Patin pour ses Lettres caustiques (rééditées en 1846) et Renaudot pour son invention du journalisme en France (La Gazette créée en 1631). L'opinion plaça le journaliste sur un piédestal et le fit jouir d'une immense célébrité en attachant son nom à celui d'un prix littéraire (1926).
BASE
"A Mirror of Disdain: Guy Patin v. Théophraste Renaudot (1638-1648)" ; Un miroir du mépris : Guy Patin contre Théophraste Renaudot (1638-1648)
Between 1638 and 1648, the two Parisian physicians Théophraste Renaudot (1586-1653) and Guy Patin (1601-1672) were rival in every matter: empiricism v. dogmatism, paracelsim v. galenism, political pushfulness v. contempt for courtism, Montpellier's University v. Paris's medical Faculty… Doubtless stirred up by their past companionship, their duel provoked a profusion of lampoons, followed by lawsuits and snubs, in a mutual explosion of hate and contempt. In 1643, Richelieu and Louis XIII being dead, Patin could abuse his disarmed enemy with complete impunity; in disgrace at court, Renaudot had to admit his defeat. At the end of the nineteenth century began a posthumous battle between the two enemies: Patin for his caustic Lettres (republished in 1846), and Renaudot for having been the inventor of French journalism (La Gazette created in 1631). Public opinion set the journalist on a pedestal and gave him access to huge fame by giving his name to a literary award (1926). ; De 1638 à 1648, tout a opposé les deux médecins parisiens Théophraste Renaudot (1586-1653) et Guy Patin (1601-1672) : empirisme contre dogmatisme, paracelsisme contre galénisme, arrivisme politique contre mépris de la cour royale, Université de Montpellier contre Faculté de médecine de Paris… Sans doute attisé par leur ancienne camaraderie, leur duel a produit un foisonnement de libelles, auxquels s'ajoutèrent procès et pieds de nez dans un déchaînement réciproque de haine et de dédain. En 1643, après la mort de Richelieu et de Louis XIII, Patin pouvait impunément injurier son ennemi désarmé ; en disgrâce à la cour, Renaudot dut s'avouer vaincu. À la fin du XIXe siècle s'engagea une joute posthume entre les deux ennemis : Patin pour ses Lettres caustiques (rééditées en 1846) et Renaudot pour son invention du journalisme en France (La Gazette créée en 1631). L'opinion plaça le journaliste sur un piédestal et le fit jouir d'une immense célébrité en attachant son nom à celui d'un prix littéraire (1926).
BASE
Zelators and politics in the face of the Trento War (1618-1648) ; Zélateurs et politiques face à la guerre de Trente ans (1618-1648)
The Trento War, which hit the Saint-Empire between 1618 and 1648, a war of religion, was no doubt for contemporary people. From the outset, its challenge was the establishment of a state capable of supporting the sectarian difference. And it is in the strong sense of this challenge — the invention of a state based on a peace of religion — and not in the weak sense of a confessional war confronting Catholic and Protestant that the Trento War was perceived as a war of German religion with foreign interests. Consequently, it was constantly accompanied by reflections on the purpose of the mixture; the battle of swords and guns was constantly accompanied by a battle of feathers on the concept of peace of religion, which sometimes anticipated it, sometimes emphasised it, and sometimes cautiona. However, the men who spoke about the future peace were not just the heroes of the feather, but held religious and political functions. The purpose of this contribution is to show how they thought the war they lived and projected peace, how they sometimes, through their writing on war and peace, opened up conditions for fighting, how they sometimes try to curb the event, how they sometimes went beyond it. How, therefore, the theorising of war is ANCRA in political practices, situations and conflicts. ; Que la guerre de Trente ans, qui secoua le Saint-Empire entre 1618 et 1648, soit une guerre de religion, ne faisait aucun doute pour les contemporains. D'emblée, son enjeu fut la mise en place d'un État apte à supporter la différence confessionnelle. Et c'est au sens fort de cette gageure - l'invention d'un État fondé sur une paix de religion -, et non au sens faible d'une guerre confessionnelle affrontant catholiques et protestants que la guerre de Trente ans fut perçue comme une guerre de religion allemande greffée d'intérêts étrangers. En conséquence, elle fut constamment accompagnée de réflexions sur la finalité de la mêlée ; le combat d'épées et de canons fut constamment doublé d'un combat de plumes sur la notion de paix de ...
BASE
Figures d'Israël: l'identite juive entre marranisme et sionisme ; (1648 - 1998)
In: Forum
Entre courtoisie et révolte. La correspondance de Condé (1648-1659)
In: Histoire, économie & société: HES : époches moderne et contemporaine, Band 14, Heft 3, S. 427-443
ISSN: 1777-5906
Résumé Apostrophe initiale et formule de politesse finale composent l'appareil courtois de la lettre-missive. La correspondance du Condé de la Fronde et de l'exil montre que loin de constituer un invariant, il exprime, en établissant un dialogue, la position respective des correspondants et varie avec elle. Il fait donc partie intégrante de la lettre au même titre que le corps du texte dont il précise la signification. L'identification du code permet d'identifier ses détériorations, soit voulues à des fins de propagande ou pour consolider des réseaux de clientèle, soit imposées par des revers.
La paix de Westphalie (1648): une histoire sociale, XVIIe - XVIIIe siècles
In: Histoire et société
In: essais d'histoire moderne
Zélateurs et politiques face à la guerre de Trente ans (1618-1648)
Que la guerre de Trente ans, qui secoua le Saint-Empire entre 1618 et 1648, soit une guerre de religion, ne faisait aucun doute pour les contemporains. D'emblée, son enjeu fut la mise en place d'un État apte à supporter la différence confessionnelle. Et c'est au sens fort de cette gageure - l'invention d'un État fondé sur une paix de religion -, et non au sens faible d'une guerre confessionnelle affrontant catholiques et protestants que la guerre de Trente ans fut perçue comme une guerre de religion allemande greffée d'intérêts étrangers. En conséquence, elle fut constamment accompagnée de réflexions sur la finalité de la mêlée ; le combat d'épées et de canons fut constamment doublé d'un combat de plumes sur la notion de paix de religion, qui parfois l'anticipa, parfois le souligna, parfois le cautionna. Or les hommes qui s'exprimèrent sur la paix à venir n'étaient pas que des héros de la plume, mais exerçaient des fonctions religieuses et politiques. L'objet de cette contribution est de montrer comment ils pensèrent la guerre qu'ils vivaient et projetèrent la paix, comment tantôt, par leurs écrits sur la guerre et la paix, ils ouvrirent des conditions de possibilité au combat, comment, tantôt, ils tentèrent de freiner l'événement, comment, tantôt, ils furent dépassés par lui. Comment, donc, la théorisation de la guerre s'ancra dans des pratiques, des situations et des conflits politiques.
BASE
Douceur, négociations et réconciliation : le gouvernement de Louis XIV face à la Fronde des grands (1648-1661) ; Gouvernement de Louis XIV face à la Fronde des grands (1648-1661)
In: http://hdl.handle.net/20.500.11794/20845
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 ; La Fronde est une révolte qui n'a pas été réprimée dans le sang ni contenue par la force par le gouvernement de Louis XIV. En fait, sous l'influence du ministre Mazarin, la monarchie française a mis un terme au conflit en utilisant la clémence et la douceur, des valeurs considérées comme royales à l'époque. Néanmoins, la méthode gouvernementale employée afin de venir à bout des troubles est teintée de tempérance. Il semble que la répression soit plus sévère face à des révoltés de moins haute naissance. La résolution du conflit présente un certain nombre d'étapes dans le but d'éloigner de façon progressive les révoltés les plus radicaux. Alors que la vision traditionnelle de l 'histoire considère le gouvernement de France comme étant absolu, il semble en fait qu'il ait besoin de l'appui de certains privilégiés de la société avec qui il doit collaborer. De ce nombre font partie les grands nobles, dont la puissance des plus mécontents d'entre eux a su paralyser le gouvernement pendant la Fronde. Après avoir écarté les grands révoltés, il importe à la monarchie de les reconquérir. Elle utilise alors le système de patronage-clientèle pour y parvenir. Une fois l'amnistie négociée, le gouvernement peut récupérer la fidélité de ses puissants collaborateurs et s'assurer d'une réconciliation réussie pour le bien de l'État.
BASE