L'avenir des relations entre l'Union europeenne et les pays ACP
In: Revue du marché commun et de l'Union Européenne, Heft 407, S. 233-237
ISSN: 0035-2616
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In: Revue du marché commun et de l'Union Européenne, Heft 407, S. 233-237
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In: Arbeitspapiere zur EU-Entwicklungspolitik 1
In: Nord-Süd aktuell: Vierteljahreszeitschrift für Nord-Süd und Süd-Süd-Entwicklungen, Band 18, Heft 4, S. 653-658
ISSN: 0933-1743
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In: Jeune Afrique, Band 39, Heft 1986, S. 39-77
Gegenwärtig finden Diskussionen zur Neufassung des Lome-Abkommens statt, die die Beziehungen zwischen EU und AKP-Ländern auf eine neue Basis stellen sollen. Das Dossier zieht eine Bilanz der EU-Kooperationspolitik der 25 vergangenen Jahre und gibt einen Ausblick auf die Zukunft. Bisher wurde durch die Politik die Abhängigkeit der AKP-Staaten von Monokulturen aufrechterhalten, auch wenn es einige positive Gegenbeispiele gibt. Vor allem die Instrumente der Finanz- und Handelspolitik, die nie reformiert wurden, stellten ein Handikap dar. Ungeachtet der liberalen Tendenzen in der globalen Wirtschaft will sich die EU aber nicht vollständig zu der Politik struktureller Anpassung der Weltbank bekennen, sondern vertritt die Idee einer Partnerschaft. Der gegenwärtige Streit mit den USA um die Bananenordnung kündigt bereits die bevorstehenden Veränderungen an, die den Privatsektor stärker begünstigen werden. Zu der Thematik äußern sich sechs Vertreter aus EU, AKP-Ländern und Privatwirtschaft: Joao de Deus Pinheiro, Ng'andu Peter Magande, Philip Lowe, Guy-Alain Gauze, Michel Rocard, Michel Roussin. (DÜI-Wgm)
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In: Revue française d'administration publique 111.2004
Avant-propos Source vitale d'aliments, d'emplois et de revenus, la pêche contribue à la sécurité alimentaire et à la réduction de la pauvreté de plusieurs pays côtiers d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique ACP). Cependant, la plupart de ces pays, notamment le Sénégal, la Mauritanie et la Namibie, restent très dépendants d'un petit nombre de d'espèces exportées. Néanmoins, le secteur de la pêche offre aux pays ACP de réelles opportunités économiques à long terme parce que l'UE importe 60% du poisson consommé sur son marché. Dans certaines régions comme l'Afrique de l'Ouest, la surexploitation des ressources halieutiques a considérablement affecté les stocks et les écosystèmes menaçant tout effort en faveur du développement durable. Il est donc crucial de gérer la ressource avec discernement, d'instaurer des systèmes de contrôle efficace, pour éviter la surpêche et l'effondrement des stocks de poisson ce qui permettra aux pays ACP de tirer des avantages substantiels de ce secteur économique. Divers instruments régissent les relations de pêche entre les États ACP et l'UE, notamment les politiques nationales de pêche ACP, la Politique Commune de la Pêche de l'UE, les instruments de coopération pour le développement et les accords de pêche bilatéraux conclus entre l'UE et les États ACP individuels. Les accords bilatéraux facilitent l'accès des pêcheurs des pays européens aux ressources halieutiques grâce au paiement de compensations financières qui constituent une source importante de revenus pour les États ACP. Ces accords posent un certain nombre de défis en ce qui concerne:(i)l'exploitation durable des ressources marines et la protection de l'environnement, (ii)la protection des communautés pratiquant la pêche artisanale, (iii) l'optimisation des bénéfices de l'exploitation de la pêche grâce aux opérations apportant une valeur ajoutée, et (iv) les systèmes de surveillance. Ces questions affectant lles relations de pêche ACP-UE sont aussi abordées dans le cadre des négociations sur les Accords de Partenariat Economique (APE) entre les pays ACP et l'UE. La révision de la Politique Commune de la Pêche (PCP) visant une pêche plus durable et une plus grande protection de l'environnement marin devrait offrir une amélioration nette pour les pêcheurs des pays ACP. Dans ce contexte, le CTA, en collaboration avec le Secrétariat ACP, la Commission européenne et le Secrétariat du Commonwealth, continue à apporter un appui aux pays ACP, notamment en fournissant une plateforme d'échanges d'information aux experts sur l'avenir des relations pêche ACP-UE ACP et UE. Plus de 350 experts et décideurs ACP et UE des Ministères du Commerce et de la Pêche, ainsi que des représentants du Groupe ACP à Bruxelles, de la Commission Européenne, du secteur privé, d'ONG, d'associations de pêche, d'organisations internationales, d'agences de coopération pour le développement et d'organismes de recherche de l'UE ont activement contribué aux deux séminaires techniques qui ont eu lieu à Bruxelles en avril 2003 et en décembre 2004. Une consultation électronique a ensuite pris le relais pour approfondir les deux thèmes majeurs que sont l'accès aux marchés et la pêche illégale, non déclarée et non réglementée (INN). Cette publication reprend les principales perspectives de ces acteurs sur les sujets considérés comme prioritaires dans les relations de pêche ACP-UE. Améliorer l'accès à l'information Les recommandations soulignent notamment le rôle clé des technologies de l'information et de la communication (TIC). Le CTA offre des services et des produits qui améliorent l'accès à l'information pour le développement agricole et rural des pays ACP. Dans le domaine des pêches et en collaboration avec les principaux partenaires impliqués dans ce domaine, le CTA facilite par exemple des plateformes de dialogue in situ ou sous forme électronique et des programmes de renforcement de capacités comme des formations et le financement de la participation d'experts ACP à des réunions internationales pour qu'ils puissent ainsi y faire valoir la perspective ACP. Le CTA offre aussi des portails d'information (sites web qui couvrent le secteur de la pêche : 'Agritrade', 'Connaissances pour le développement' et 'ICT Update'. Ce dernier bulletin a notamment examiné les utilisations des TIC dans le secteur des pêches. Pour ceux qui n'ont pas accès à l'Internet, le CTA continue d'appuyer divers autres médias comme la radio rurale, le téléphone portable, la presse et l'édition – le magazine Spore/Esporo et un large éventail de publications dont bon nombre sont consacrées au secteur des pêches. Tout récemment, le CTA a lancé une nouvelle collection de guides pratiques qui offrent de l'information technique dans un langage simple et qui peuvent être facilement reproduits – une occasion de plus pour aborder le domaine de la pêche. Au vu des demandes croissantes de nos partenaires ACP et de l'importance que revêt le secteur de la pêche, je réitère l'engagement du CTA et de ses partenaires de renforcer ces services, de fournir des plateformes permettant de capitaliser les expériences des uns et des autres et de faciliter l'échange de compétences et d'expériences. Je saisis aussi l'occasion pour remercier tous nos partenaires et les auteurs ACP et UE qui ont bien voulu mettre en forme toutes ces riches expériences. Je vous souhaite bonne lecture. Dr. Hansjörg Neun Directeur du CTA ; Cette publication reprend les principales perspectives des principaux acteurs sur des sujets considérés comme prioritaires dans les relations de pêche ACP-UE.
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In: Arbeitspapiere zur EU-Entwicklungspolitik 3
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Le premier janvier 2008 inaugure une nouvelle phase dans la politique de coopération économique pour le développement de l'Union européenne (UE), phase caractérisée par la ratification d'accords de partenariat économique (APE) avec les économies d'Afrique, Caraïbes et Pacifique (ACP). Les APE sonnent le glas de la dimension commerciale contenue dans les accords de Cotonou et redéfinissent la forme et la substance des rapports qu'entretiennent les vingt-sept membres de l'UE avec les soixante-dix-huit pays du groupe ACP.
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Le premier janvier 2008 inaugure une nouvelle phase dans la politique de coopération économique pour le développement de l'Union européenne (UE), phase caractérisée par la ratification d'accords de partenariat économique (APE) avec les économies d'Afrique, Caraïbes et Pacifique (ACP). Les APE sonnent le glas de la dimension commerciale contenue dans les accords de Cotonou et redéfinissent la forme et la substance des rapports qu'entretiennent les vingt-sept membres de l'UE avec les soixante-dix-huit pays du groupe ACP.
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Depuis 1965, plusieurs formes d'accords avec les pays ACP ont vu le jour. Mais force est de constater que le commerce du sucre entre ces deux groupes de pays a toujours été une matière clé de ces accords. De plus, le commerce interne de sucre de l'Union Européenne est et a été réglementé et contrôlé de plusieurs manières. Depuis octobre 2017, par exemple, les quotas sucriers ne sont plus de vigueur, ce qui signifie que la quantité de production de sucre n'est plus réglementée, entraînant une augmentation de cette production et une amélioration de la balance commerciale (négative) de l'Union en matière de sucre. Sur le marché mondial, nous pouvons mettre en avant un pays gros producteur de sucre : le Brésil. D'un point de vue de l'Union Européenne (3e plus grand producteur de sucre au monde), cette production se centralise sur 6 pays : la France, l'Allemagne, la Pologne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Belgique puisqu'en 2000 ils représentaient 68% de la production européenne et 83% en 2017. De cette manière, nous remarquons une spécialisation de certains pays au détriment d'autre qui, comme l'Irlande, ont arrêter de produire des betteraves sucrières. Au niveau des acteurs de ce marché, nous pouvons identifier 3 acteurs principaux sur le marché européen : le producteur de betteraves, le producteur de sucre transformant la betterave en sucre blanc et le consommateur ou l'utilisateur de sucre. Les producteurs de sucre en Europe sont peu nombreux et constituent de grands groupes sucriers. Cependant, les deux autres acteurs ne possèdent pas autant de pouvoir puisqu'ils sont dispersés et très nombreux. En ce qui concerne les relations commerciales en termes de sucre outre un libre accès (non réciproque) au marché européen pour les pays ACP/PMA, d'autres pays disposent de quotas à l'importation à tarif réduit ou sans tarif. Bref, l'UE devrait protéger les petits acteurs de ce marché sans influence ce-dernier via notamment des paiements directs aux producteurs de betteraves sucrières ou en leur donnant l'opportunité de négocier ensemble les prix avec les groupes sucriers comme c'est déjà le cas maintenant. De plus, l'UE doit faire attention de ne pas donner libre-accès à son marché à certains pays pratiquant du dumping sur leur production et/ou exportations de sucre. ; Master [120] en sciences de gestion, Université catholique de Louvain, 2018
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Depuis 1965, plusieurs formes d'accords avec les pays ACP ont vu le jour. Mais force est de constater que le commerce du sucre entre ces deux groupes de pays a toujours été une matière clé de ces accords. De plus, le commerce interne de sucre de l'Union Européenne est et a été réglementé et contrôlé de plusieurs manières. Depuis octobre 2017, par exemple, les quotas sucriers ne sont plus de vigueur, ce qui signifie que la quantité de production de sucre n'est plus réglementée, entraînant une augmentation de cette production et une amélioration de la balance commerciale (négative) de l'Union en matière de sucre. Sur le marché mondial, nous pouvons mettre en avant un pays gros producteur de sucre : le Brésil. D'un point de vue de l'Union Européenne (3e plus grand producteur de sucre au monde), cette production se centralise sur 6 pays : la France, l'Allemagne, la Pologne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Belgique puisqu'en 2000 ils représentaient 68% de la production européenne et 83% en 2017. De cette manière, nous remarquons une spécialisation de certains pays au détriment d'autre qui, comme l'Irlande, ont arrêter de produire des betteraves sucrières. Au niveau des acteurs de ce marché, nous pouvons identifier 3 acteurs principaux sur le marché européen : le producteur de betteraves, le producteur de sucre transformant la betterave en sucre blanc et le consommateur ou l'utilisateur de sucre. Les producteurs de sucre en Europe sont peu nombreux et constituent de grands groupes sucriers. Cependant, les deux autres acteurs ne possèdent pas autant de pouvoir puisqu'ils sont dispersés et très nombreux. En ce qui concerne les relations commerciales en termes de sucre outre un libre accès (non réciproque) au marché européen pour les pays ACP/PMA, d'autres pays disposent de quotas à l'importation à tarif réduit ou sans tarif. Bref, l'UE devrait protéger les petits acteurs de ce marché sans influence ce-dernier via notamment des paiements directs aux producteurs de betteraves sucrières ou en leur donnant l'opportunité de négocier ensemble les prix avec les groupes sucriers comme c'est déjà le cas maintenant. De plus, l'UE doit faire attention de ne pas donner libre-accès à son marché à certains pays pratiquant du dumping sur leur production et/ou exportations de sucre. ; Master [120] en sciences de gestion, Université catholique de Louvain, 2018
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Depuis 1965, plusieurs formes d'accords avec les pays ACP ont vu le jour. Mais force est de constater que le commerce du sucre entre ces deux groupes de pays a toujours été une matière clé de ces accords. De plus, le commerce interne de sucre de l'Union Européenne est et a été réglementé et contrôlé de plusieurs manières. Depuis octobre 2017, par exemple, les quotas sucriers ne sont plus de vigueur, ce qui signifie que la quantité de production de sucre n'est plus réglementée, entraînant une augmentation de cette production et une amélioration de la balance commerciale (négative) de l'Union en matière de sucre. Sur le marché mondial, nous pouvons mettre en avant un pays gros producteur de sucre : le Brésil. D'un point de vue de l'Union Européenne (3e plus grand producteur de sucre au monde), cette production se centralise sur 6 pays : la France, l'Allemagne, la Pologne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Belgique puisqu'en 2000 ils représentaient 68% de la production européenne et 83% en 2017. De cette manière, nous remarquons une spécialisation de certains pays au détriment d'autre qui, comme l'Irlande, ont arrêter de produire des betteraves sucrières. Au niveau des acteurs de ce marché, nous pouvons identifier 3 acteurs principaux sur le marché européen : le producteur de betteraves, le producteur de sucre transformant la betterave en sucre blanc et le consommateur ou l'utilisateur de sucre. Les producteurs de sucre en Europe sont peu nombreux et constituent de grands groupes sucriers. Cependant, les deux autres acteurs ne possèdent pas autant de pouvoir puisqu'ils sont dispersés et très nombreux. En ce qui concerne les relations commerciales en termes de sucre outre un libre accès (non réciproque) au marché européen pour les pays ACP/PMA, d'autres pays disposent de quotas à l'importation à tarif réduit ou sans tarif. Bref, l'UE devrait protéger les petits acteurs de ce marché sans influence ce-dernier via notamment des paiements directs aux producteurs de betteraves sucrières ou en leur donnant l'opportunité de négocier ensemble les prix avec les groupes sucriers comme c'est déjà le cas maintenant. De plus, l'UE doit faire attention de ne pas donner libre-accès à son marché à certains pays pratiquant du dumping sur leur production et/ou exportations de sucre. ; Master [120] en sciences de gestion, Université catholique de Louvain, 2018
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Depuis 1965, plusieurs formes d'accords avec les pays ACP ont vu le jour. Mais force est de constater que le commerce du sucre entre ces deux groupes de pays a toujours été une matière clé de ces accords. De plus, le commerce interne de sucre de l'Union Européenne est et a été réglementé et contrôlé de plusieurs manières. Depuis octobre 2017, par exemple, les quotas sucriers ne sont plus de vigueur, ce qui signifie que la quantité de production de sucre n'est plus réglementée, entraînant une augmentation de cette production et une amélioration de la balance commerciale (négative) de l'Union en matière de sucre. Sur le marché mondial, nous pouvons mettre en avant un pays gros producteur de sucre : le Brésil. D'un point de vue de l'Union Européenne (3e plus grand producteur de sucre au monde), cette production se centralise sur 6 pays : la France, l'Allemagne, la Pologne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Belgique puisqu'en 2000 ils représentaient 68% de la production européenne et 83% en 2017. De cette manière, nous remarquons une spécialisation de certains pays au détriment d'autre qui, comme l'Irlande, ont arrêter de produire des betteraves sucrières. Au niveau des acteurs de ce marché, nous pouvons identifier 3 acteurs principaux sur le marché européen : le producteur de betteraves, le producteur de sucre transformant la betterave en sucre blanc et le consommateur ou l'utilisateur de sucre. Les producteurs de sucre en Europe sont peu nombreux et constituent de grands groupes sucriers. Cependant, les deux autres acteurs ne possèdent pas autant de pouvoir puisqu'ils sont dispersés et très nombreux. En ce qui concerne les relations commerciales en termes de sucre outre un libre accès (non réciproque) au marché européen pour les pays ACP/PMA, d'autres pays disposent de quotas à l'importation à tarif réduit ou sans tarif. Bref, l'UE devrait protéger les petits acteurs de ce marché sans influence ce-dernier via notamment des paiements directs aux producteurs de betteraves sucrières ou en leur donnant l'opportunité de négocier ensemble les prix avec les groupes sucriers comme c'est déjà le cas maintenant. De plus, l'UE doit faire attention de ne pas donner libre-accès à son marché à certains pays pratiquant du dumping sur leur production et/ou exportations de sucre. ; Master [120] en sciences de gestion, Université catholique de Louvain, 2018
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