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Derek W. Spring, Russian imperialism in Asia in 1914.
In the decade before 1914 the preferred policy of the Russian government was to maintain its interests in the bordering independent countries in Asia, by indirect means rather than by annexation, political action or further economic involvement by the state. This policy gave increased importance to the development of Russian trade and private enterprise in these countries as a foundation for the protection of Russian political and strategic interests. By 1914 however there was widespread consciousness in Russian government and commercial circles that this policy was failing. The weakness of the foundations of the Russian commercial effort and the prospective loss of geographical advantages, particularly in the Middle East with the advance of the Baghdad Railway, thus faced the Russian government with a dilemma. It became necessary to accept the equalising of conditions of trade and limitations of Russian investment possibilities, with a consequent loss of economic and ultimately political influence. Or political action must be taken, falling short of unproductive annexation, but reserving by artificial means Russian predominance in those areas of political and strategic importance. Government policy was tending towards this latter solution by 1914 in Turkish Armenia, Persia, Mongolia and northern Manchuria in particular.

Du point de vue de l'analyse structurale basée sur la théorie du complexe de sécurité régionale, l'article analyse la question de savoir comment quelque chose devient une question de sécurité en Asie centrale. L'Asie centrale est considérée comme une formation régionale non structurée, ou « quasi-complexe de sécurité », dans laquelle les préoccupations de sécurité traditionnelles, telles que les rivalités inter-étatiques et le dilemme de sécurité, ne sont que partiellement applicables. Une telle situation donne lieu à des problèmes de sécurité liés à un manque de coordination entre les pays d'Asie centrale. Dans le même temps, les principales menaces et défis dans les pays d'Asie centrale sont essentiellement de nature interne, et sont la conséquence directe d'un État faible. Aux niveaux inter-régional et mondial, les défis de sécurité sont déterminés par le caractère périphérique de l'Asie centrale et par la transformation de la perception du droit international.

Les questions ouvertes par vos correspondants ont été refermées depuis la fin de 2012. Le Parti et l'État sont parvenus à mettre la conjoncture économique sous contrôle au prix d'un renforcement de la censure, d'un étouffement des mouvements sociaux et d'un semblant de redistribution. Mais pour la Chine, l'essentiel, ce sont les marchés extérieurs. Une économie dans laquelle les ménages épargnent la moitié de leurs gains n'est pas fondée sur la consommation de masse. C'est l'État qui a su gérer la formidable augmentation des investissements dans les infrastructures et le bâtiment, dont profite surtout l'élite. La question de l'environnement est nouvelle et fait peur ; elle est traitée en termes de responsabilité individuelle.

3. I.C. Glover (University of London) memberikan dâftar judul - prasaran-prasaran yang dikemukakan di seminar tentang zaman purba Asia Tenggara yang berlangsung di London bulan September 1973.

L'année 2018 marque le 25e anniversaire du début des relations diplomatiques entre l'Union européenne (UE) et les pays d'Asie centrale. Au cours de cette période, l'UE n'a cessé d'accroître sa présence dans la région. Pour autant, l'UE n'est pas encore devenue un acteur puissant en Asie centrale. En comparaison avec d'autres acteurs, et en particulier la Russie, la Chine et les États-Unis, l'influence politique et économique de l'UE reste limitée. Toutefois, l'avantage relatif de l'UE par rapport aux autres acteurs réside dans l'image positive et bienveillante qui lui est attribuée. L'UE peut tirer parti de son attractivité et de son « soft power », un avantage qui tend à diminuer rapidement depuis peu. Afin de conserver son image positive dans la région, l'UE doit envisager de prendre des mesures appropriées en révisant sa stratégie. Une option consiste à développer des outils de communication basés sur Internet, qui seront adaptés à l'Asie centrale, sans pour autant nécessiter d'importantes ressources de la part de l'UE.

Cet article étudie l'engagement de l'Union européenne et de la Fédération russe en Asie centrale. Tous deux sont parmi les principaux acteurs externes dans la région – avec les États-Unis et la Chine – et sont engagés dans des relations suivies avec les États d'Asie centrale, tant sur le plan politique et économique que de le domaine de la sécurité. Considérant les dynamiques en cours dans les relations euro-russes face à la crise ukrainienne, cet article cherche à comprendre comment Bruxelles et Moscou définissent leurs intérêts dans cette partie de l'ancienne Union soviétique, et jusqu'à quel point leurs objectifs et politiques en Asie centrale peuvent être considérés comme concurrents. L'article conclut que l'Union européenne et la Russie attribuent un niveau différent de priorité à l'Asie centrale dans leurs politiques étrangères. Par ailleurs, bien que promouvant des valeurs politiques opposées et ayant les intérêts énergétiques concurrents, aucun des deux acteurs n'est soumis au risque d'une forte confrontation avec l'autre dans aucun domaine dans la région.