Moralisation de la Science et autonomie de la recherche
In: Savoir/agir: revue trimestrielle de l'association savoir/agir, Volume 54, Issue 4, p. 109-117
ISSN: 1958-5535
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In: Savoir/agir: revue trimestrielle de l'association savoir/agir, Volume 54, Issue 4, p. 109-117
ISSN: 1958-5535
In: Politique; Articles, Issue 22, p. 101-135
ISSN: 1918-6584
Depuis la fin des années 1970, l'État québécois a déployé beaucoup d'efforts pour identifier et choisir, dans le cadre de sa politique scientifique et technologique, des domaines prioritaires dans lesquels concentrer ses dépenses de R-D. L'analyse de ces tentatives montre que le gouvernement du Québec a la plupart du temps fonctionné en vase clos sans vraiment impliquer, dans la prise de décision et le choix des domaines prioritaires, les représentants des universités et de l'entreprise. Interventionniste, l'État québécois s'est doté d'un appareil de politique scientifique et, de concert avec lui, a créé de nouveaux centres de recherche et mis sur pied de nouveaux programmes de soutien à la R-D. Toutefois, ces interventions n'ont pas été assez nombreuses et extensives pour réduire significativement l'autonomie du champ scientifique; les chercheurs sont en bonne partie demeurés libres d'orienter leurs travaux en fonction des enjeux et des intérêts propres à leur champ.
In: Sciences humaines: SH, Volume 220, Issue 11, p. 6-6
In: Synthese: an international journal for epistemology, methodology and philosophy of science, Volume 4, Issue 1, p. 280-291
ISSN: 1573-0964
International audience ; A la fin de la décennie 60, deux Roumanie émergent des présentations respectives française et américaine. La Roumanie de la France serait essentiellement latine, nationaliste sur un mode gaullien, dissidente, sinon indépendante, de Moscou. Dans le même temps, la Roumanie de Washington est perçue comme proche de Pékin et vogue également vers une autonomie qui convient aux diplomates partageant les analyses de Henry Kissinger. Y a-t-il eu ou non une autonomie de la Roumanie en termes de politique étrangère ? Afin de répondre à cette question, C. Durandin part de la vision américaine, puis analyse la vision française pour enfin en revenir à la vision des acteurs roumains eux-mêmes.
BASE
International audience ; A la fin de la décennie 60, deux Roumanie émergent des présentations respectives française et américaine. La Roumanie de la France serait essentiellement latine, nationaliste sur un mode gaullien, dissidente, sinon indépendante, de Moscou. Dans le même temps, la Roumanie de Washington est perçue comme proche de Pékin et vogue également vers une autonomie qui convient aux diplomates partageant les analyses de Henry Kissinger. Y a-t-il eu ou non une autonomie de la Roumanie en termes de politique étrangère ? Afin de répondre à cette question, C. Durandin part de la vision américaine, puis analyse la vision française pour enfin en revenir à la vision des acteurs roumains eux-mêmes.
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In: Monde arabe: Maghreb - Machrek, Issue 154: Algerie, p. 16-24
ISSN: 0336-6324, 1241-5294
Die unabhängige algerische Frauenbewegung entstand in den 80er Jahren. Die im Juni 1984 verkündete Familiengesetzgebung, die keine Forderung der Frauen berücksichtigt hatte, führte 1985 zur Gründung der "Association pour l'Egalite devant la Loi des Femmes et des Hommes". Weitere Vereinigungen folgten. Die Autorin geht auf die charakteristische Dynamik und Logik in den von den Frauen bestrittenen Kämpfen ein. Besondere Aufmerksamkeit wird der Entwicklung der politischen Sensibilität der Frauenbewegung und deren Beziehungen zu anderen Bewegungen im Kampf um Demokratie und Modernität gewidmet. (DÜI-Ott)
World Affairs Online
In: Maghreb - Machrek, Volume 154, Issue 4, p. 16-24
In: Genèses: sciences sociales et histoire, Volume 87, Issue 2, p. 90-112
ISSN: 1776-2944
Résumé Alors que la littérature managériale des années 1990 présente l'autonomie comme une des qualités que tout travailleur se doit de détenir et développer, l'article montre que l'autonomie ainsi fabriquée a pour principale caractéristique de récuser les supports historiques, sociaux et organisationnels qui avaient pu jusqu'alors soutenir des formes individuelles et collectives d'appropriation du travail par les informaticiens, et que, parce qu'elle est avant tout individuelle, psychologique et normative, elle s'avère finalement illusoire pour les salariés les plus fragiles.
In: Regards sur l'actualité, Issue 204, p. 3-24
ISSN: 0337-7091
In: Regards sur l'actualité, Issue 204, p. 3-23
ISSN: 0337-7091
World Affairs Online
International audience ; In its 1992 manifesto the Labour Party considered setting up a municipal authority in London. Empowering a pan-London authority was part and parcel of Labour's global programme of modernisation, one of the outstanding leitmotifs of the third way. But these plans did not take Kenneth Livingstone sufficiently into account. "Red" Ken still championed some of the collectivist values cherished by Old Labour which Blair and his friends would like to have once and for all consigned to the history of the Labour party. Taking full advantage of his popularity as a candidate and then as elected mayor, Livingstone was determined to make sure that the Greater London Authority should not be subjected to the will and whims of central government. At the outset, remaining faithful to his Greater London Council ways, Livingstone personified opposition to central government. His second victory in June 2004, on the other hand, was the opportunity for Londoners to judge their mayor and municipal authority according to their track record. ; Dans son manifeste électoral de 1992 le Parti travailliste envisage de rétablir une autorité municipale à Londres. La décentralisation vers une instance " supra " municipale dans la capitale s'inscrit dans son programme global de modernisation, leit motiv, par excellence, de la troisième voie. C'était sans tenir compte de Kenneth " le Rouge " Livingstone, défenseur acharné de certaines valeurs collectivistes chères au Old Labour que Blair et les siens voudraient avoir définitivement reléguées aux oubliettes du parti. Fort de sa popularité d'abord comme candidat, puis comme maire élu, Livingstone entend bien faire en sorte que la Mairie de Londres ne passe pas sous les fourches caudines du gouvernement central. Dans un premier temps, fidèle à ses habitudes de l'époque du Greater London Council, Livingstone incarne le contre-pouvoir. Sa deuxième victoire en juin 2004, en revanche, sera l'occasion pour l'électorat londonien de juger le maire et la Mairie de Londres selon leur bilan.
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International audience ; In its 1992 manifesto the Labour Party considered setting up a municipal authority in London. Empowering a pan-London authority was part and parcel of Labour's global programme of modernisation, one of the outstanding leitmotifs of the third way. But these plans did not take Kenneth Livingstone sufficiently into account. "Red" Ken still championed some of the collectivist values cherished by Old Labour which Blair and his friends would like to have once and for all consigned to the history of the Labour party. Taking full advantage of his popularity as a candidate and then as elected mayor, Livingstone was determined to make sure that the Greater London Authority should not be subjected to the will and whims of central government. At the outset, remaining faithful to his Greater London Council ways, Livingstone personified opposition to central government. His second victory in June 2004, on the other hand, was the opportunity for Londoners to judge their mayor and municipal authority according to their track record. ; Dans son manifeste électoral de 1992 le Parti travailliste envisage de rétablir une autorité municipale à Londres. La décentralisation vers une instance " supra " municipale dans la capitale s'inscrit dans son programme global de modernisation, leit motiv, par excellence, de la troisième voie. C'était sans tenir compte de Kenneth " le Rouge " Livingstone, défenseur acharné de certaines valeurs collectivistes chères au Old Labour que Blair et les siens voudraient avoir définitivement reléguées aux oubliettes du parti. Fort de sa popularité d'abord comme candidat, puis comme maire élu, Livingstone entend bien faire en sorte que la Mairie de Londres ne passe pas sous les fourches caudines du gouvernement central. Dans un premier temps, fidèle à ses habitudes de l'époque du Greater London Council, Livingstone incarne le contre-pouvoir. Sa deuxième victoire en juin 2004, en revanche, sera l'occasion pour l'électorat londonien de juger le maire et la Mairie de Londres selon leur bilan.
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International audience ; In its 1992 manifesto the Labour Party considered setting up a municipal authority in London. Empowering a pan-London authority was part and parcel of Labour's global programme of modernisation, one of the outstanding leitmotifs of the third way. But these plans did not take Kenneth Livingstone sufficiently into account. "Red" Ken still championed some of the collectivist values cherished by Old Labour which Blair and his friends would like to have once and for all consigned to the history of the Labour party. Taking full advantage of his popularity as a candidate and then as elected mayor, Livingstone was determined to make sure that the Greater London Authority should not be subjected to the will and whims of central government. At the outset, remaining faithful to his Greater London Council ways, Livingstone personified opposition to central government. His second victory in June 2004, on the other hand, was the opportunity for Londoners to judge their mayor and municipal authority according to their track record. ; Dans son manifeste électoral de 1992 le Parti travailliste envisage de rétablir une autorité municipale à Londres. La décentralisation vers une instance " supra " municipale dans la capitale s'inscrit dans son programme global de modernisation, leit motiv, par excellence, de la troisième voie. C'était sans tenir compte de Kenneth " le Rouge " Livingstone, défenseur acharné de certaines valeurs collectivistes chères au Old Labour que Blair et les siens voudraient avoir définitivement reléguées aux oubliettes du parti. Fort de sa popularité d'abord comme candidat, puis comme maire élu, Livingstone entend bien faire en sorte que la Mairie de Londres ne passe pas sous les fourches caudines du gouvernement central. Dans un premier temps, fidèle à ses habitudes de l'époque du Greater London Council, Livingstone incarne le contre-pouvoir. Sa deuxième victoire en juin 2004, en revanche, sera l'occasion pour l'électorat londonien de juger le maire et la Mairie de Londres selon leur ...
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