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In: Jahrbuch für europäische Verwaltungsgeschichte 3
World Affairs Online
In: Quaderni lo Stato 7
In: Abhandlungen zur rechtswissenschaftlichen Grundlagenforschung Band 95
Dieser Band vereint die Beiträge führender italienischer und deutscher Rechts- wie Allgemeinhistoriker, die anlässlich eines Symposiums zu Ehren von Gerhard Dilcher den Stand der Forschung einschließlich der jeweiligen historiographischen Vorverständnisse in beiden Ländern reflektierten und Perspektiven der Rechts- und Verfassungsgeschichte der letzten Jahre aufzeigten. Thematisch wie personell greift der Band damit Leitfragen auf und knüpft an Diskussionszusammenhänge an, die Dilcher in seinen Schriften mitgeprägt hat. Diese Leitfragen sind: - Orale Rechtskultur und Verschriftlichung, einschließlich der Frage des Rechtsbegriffs und der Zwangsgewalt im Frühmittelalter; - Stadtkommune und die Staatsbildung im Mittelalter und Früher Neuzeit; - Rechtswissenschaft und Rechtstransfer seit dem 19. Jahrhundert.
In: Reihe der Villa Vigoni 19
In: Studien und Materialien zur Geschichte der Philosophie Band 96
In: Studien und Materialien zur Geschichte der Philosophie Band 96
Die Forschungen Gianna Gigliottis zeigen, wie Kant – der Philosoph der Erfahrung in all ihren Formen, der Theoretiker des Wissens und der Ethik als Wissen – der Wegbereiter grundlegender Strömungen der Philosophie des 19. und 20. Jahrhunderts sein konnte und wie seine Texte noch heute einen fruchtbaren Anreiz für die historiographische Forschung bilden. In der Erforschung der wichtigsten Themen des Neokantismus und der Phänomenologie zeigt sich, dass die Konzepte des Apriori und des Transzendentalen entscheidende Herausforderungen für das Denken Cohens, Natorps, Rickerts, Husserls und Cassirers darstellten. Überdies verdeutlichen die Studien über die Entstehung und Entwicklung des Neokantismus und der Phänomenologie die entscheidende Bedeutung der Werke Kants für das zeitgenössische Denken, im Vergleich gelesen mit größter historischer und philologischer Sorgfalt.
none ; ABSTRACT La tesi si prefigge l'obiettivo di indagare sull'evoluzione del potere legislativo in Albania dal 1912 fino ad'oggi. L'argomento è stato determinato dal forte interesse di approfondire e collocare storicamente le conoscenze avute precedentemente nell'ambito giuridico. Partendo da questa premessa, la definizione del tema è stata una ricerca continua cercando di circoscrivere lo studio in modo ragionevole con la consapevolezza che il tema scelto si riferisce ad un lasso di tempo pieno di importanti eventi per l'Albania durante il quale l'obiettivo della ricerca trova riscontri sulle radici e l'esercizio del potere legislativo. Nell'affrontare la ricerca storico-giuridica lo studio si propone l'analisi mirata e il confronto delle informazioni e dei dati appresi dalle fonti di origine e tempi diversi. Si fa riferimento non solo alle fonti della storiografia albanese ma anche ai documenti archivistici, dell'Archivio Centrale dello Stato, del Ministero degli Esteri dell'Albania, dell'Archivio dell'Istituto della Storia, della Biblioteca della Corte Costituzionale Albanese, della Biblioteca Nazionale Albanese, alle Carte Costituzionali albanesi e straniere e ai giornali pubblicati durante il periodo in esame. Un altro punto di riferimento sono i vari autori stranieri o albanesi come Heaton-Armstrong, Bernd J. Ficher, Joseph Swire, Pietro Pastorelli, Arben Puto, Aleks Luarasi, Feti Gjilan, Paskal Milo, Luan Omari, ma anche alle memorie dei protagonisti della storia come Ismail Qemali, Sejfi Vllamasi e Vlora Ekrem Bej. L'esposizione della tesi è stata organizzata presentando all'inizio un' introduzione che approfondisce l'argomento indagato, la metodologia utilizzata e i risultati. Seguono 9 capitoli. Il primo capitolo presenta la situazione geo-politica dell'Albania che determinò la necessità di proclamare l'indipendenza dall'Impero Ottomano. L'evento segnò l'istituzione del "primo Parlamento albanese" che firmò i primi atti costituzionali dello stato moderno albanese. Il secondo capitolo si concentra ...
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En posant cette question, chacun pense trouver d'abord des réponses dans le célèbre article "Mourir pour la patrie" rédigé en anglais en 1951 par Ernst Kantorowicz. Il faut reconnaître que c'est en grande partie sur ou en réaction contre les bases conceptuelles et terminologiques jetées par l'auteur de "Frédéric II" que la recherche allemande a poursuivi ses interrogations, appliquées d'ailleurs tant à l'Empire qu'au royaume de France, quant au contenu, à l'évolution, à l'emploi et aux déformations que ce mot a connus dans les Etats et territoires de l'Occcident médiéval. Evolution suivie depuis le rappel de son sens gréco-romain, puis sa redéfinition à la faveur du grand rassemblement carolingien pour aboutir enfin à des variations sémantiques et symboliques imputables en partie aux constructions politiques et idéologiques différenciées qu'ont engagées souverains de France et rois allemands. A considérer l'ensemble des travaux récemment produits sur le sujet, on peut constater dans un premier temps que l'étude du terme et de sa fonction politique suit à peu près parallèlement celle de la natio, en ce sens que l'historien se trouve confronté à un choix entre une théorie de la continuité ou un processus transcendant. Afin de baliser le débat, nous partirons de quelques réflexions inspirées par l'observation du terme en aval, c'est-à-dire au Moyen Age tardif, particulièrement à partir de la "Vita" de l'empereur Charles IV et de l'acception que des humanistes ont pu donner au mot. On constatera que la patria garde alors tout son ambivalence, sa charge émotionnelle, hésite entre l'espace et le sacré et attire à lui tant l'origine que la naissance, tant la langue que le destin commun. Cette constatation impose de remettre à plat dans un premier temps les grandes lignes de la pensée kantorowiczienne: naissance de l'Etat par la perpétuité, pouvoir charismatique du souverain, dilatation faite de translation et d'imitation du "public" par une émotionnalisation, une mystique et une sacralisation de ses attributs, production intellectuelle d'une théologie politique. A partir de cet ensemble, la thèse de Thomas Eichenberger, marquante à plus d'un titre ("Patria. Studien zur Bedeutung des Wortes im Mittelalter (6-12 Jahrhundert)", 1991), sera examinée et discutée. Elle observe, comme Kantorowicz le fit en son temps, les mécanismes et les implications d'une "descente sur terre" de la patrie céleste et chrétienne et plonge en quelque sorte la notion dans le bain royal, princier et territorial d'un Occident recomposé par l'Empire carolingien et son morcellement, c'est-à-dire confronte la notion aux imperatifs et limites des regna, des gentes et de l'imperium. En prenant appui sur ses conclusions, nous montrerons qu'il faut sur certains points approfondir une de ses hypothèses qui tient à la constatation selon laquelle, contre toute attente, le mot n'a pas été relégué dans un sens archéologique, voire archaïque, ou en tout état de cause carolingien et tout au plus "prénational", mais s'est enrichi de telle manière qu'il continue à demeurer d'une grande actualité au XIIIe siècle et à constituer un facteur créateur d'ordre spatial et mental. De ce point de vue, les acquis de la recherche allemande concernant le royaume capétien seront d'un grand secours. Nous les synthétiserons à l'aide de l'étude fondamentale consacrée par Bernd Schneidmüller au "Nomen Patriae. Die Entstehung Frankreichs in der politisch-geographischen Terminologie (10-13 Jahrhundert)" (1987). Etudiant le processus qui conduit en France à une synthèse progressive entre Patria, Gallia, Francia et Rex, constellation achevée au moment où la réception du droit romain enrichit les doctrines de la souveraineté, l'auteur jette par comparaison un regard sur l'Empire dont l'évolution atteste au contraire que les principautés constituèrent le meilleur refuge à la patria investie d'un sens géographique, souverain et symbolique adéquat, principautés constituant, au terme de l'acte fondateur de la Bulle d'Or de 1356, le rempart le plus sûr de la "nation" allemande. En évoquant les prolongements possibles d'une étude de la notion de patria, particulièrement en direction de son écho dans l'historiographie médiévale, de sa contribution à une histoire des préjugés, de son lien possible, pensable et même nécessaire avec la problématique de la memoria ainsi que de sa contribution à une histoire renouvelée des relations internationales au Moyen Age (mais aussi des frontières.) ; nous conclurons provisoirement sur l'apport de l'étude de la notion de patria à l'histoire politique en général et à l'observation des liens sociaux en particulier. Car il convient de souligner la nécessité d'une prise en compte des groupes sociaux impliqués dans son emploi tant il est vrai que des identités politiques rapportées à des espaces géographiquement déterminés et historiquement ancrés dans une conscience modelée par une histoire, des valeurs, une culture et une langue communes sont d'abord affaire de ceux qui vivent ensemble, dans un régime accepté de concert et qui mérite, à leurs yeux, en cas de nécessité, qu'on se scarifie pour son représentant ou les principes sur lesquels il repose. Modernité de l'histoire médiévale.
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Questa ricerca si propone di ricostruire l'evoluzione della politica di sicurezza della Repubblica Federale Tedesca durante il periodo generalmente definito di "distensione internazionale" (o détente). Si è deciso di condurre l'analisi intorno ad alcune questioni che sono state individuate come centrali per lo sviluppo della politica di sicurezza dell'Alleanza Atlantica, nelle quali la Germania occidentale ha avuto un ruolo significativo cercando di avanzare propri specifici interessi nazionali. Le tematiche scelte sono: il cambiamento strategico avvenuto nell'ambito del sistema di sicurezza transatlantico, il dibattito intorno al Trattato di Non Proliferazione Nucleare, i negoziati per la Conferenza di Helsinki e quelli per la riduzione di armamenti convenzionali nel continente europeo (MBFR). Attraverso una ricostruzione della posizione tedesco‐occidentale nei dibattiti sopra citati si cercheranno di delineare le caratteristiche della politica di sicurezza che la classe politica di Bonn elaborò e portò avanti durante gli anni della distensione. Nella tesi verrà dato particolare risalto ai tentativi della Germania occidentale di cominciare a porsi nella comunità internazionale – a partire dalla metà degli anni '60 – come un attore ormai maturo e indipendente. Pur mantenendo uno stretto rapporto con gli alleati occidentali ed evitando accuratamente un rischioso isolamento internazionale, la Bundesrepublik Deutschland (BRD) manifestava infatti in quel periodo un'insofferenza piuttosto esplicita nei confronti di una gestione del contesto internazionale che essa giudicava eccessivamente improntata alle esigenze delle due superpotenze. Tale considerazione fu determinante nella decisione della Germania occidentale di voler partecipare attivamente alla distensione, senza subirla. Una manifestazione evidente di quest'approccio nella politica estera dei governi di Bonn fu senza dubbio la Neue Ostpolitik, ovvero l'innovativa politica portata avanti dalla Repubblica Federale Tedesca nei confronti degli stati del Patto di Varsavia. Negli stessi anni della nuova Ostpolitik (tra la fine degli anni '60 e l'inizio del decennio successivo) la BRD cercò di modificare ‐ almeno in parte ‐ anche il rapporto con gli alleati occidentali e dunque la propria Westpolitik, con l'intenzione di intraprendere una politica estera che fosse in ogni campo (dunque anche nel delicato settore della sicurezza) maggiormente in linea con i propri specifici interessi. Contesto temporale L'arco temporale che viene preso in esame nella tesi va dal 1967 al 1975. Si è scelto come termine iniziale il 1967, considerandolo un anno cruciale sia per le evoluzioni del sistema internazionale, sia per le novità che si presentarono nel contesto politico interno della Repubblica Federale Tedesca. Per quanto riguarda lo scenario internazionale, nel 1967 ebbero luogo due eventi che a nostro avviso permettono di ritenere tale anno uno spartiacque nella storia della Guerra Fredda, ovvero l'adozione da parte della NATO del "Rapporto Harmel" e il cambiamento di dottrina strategica della stessa alleanza occidentale. Mentre con il Rapporto Harmel gli stati membri del campo occidentale prendevano in considerazione il perseguimento di una politica – possibilmente comune e coordinata ‐ di distensione con il blocco comunista, con l'adozione della dottrina di "Risposta Flessibile" l'Alleanza Atlantica di fatto riconosceva il raggiungimento sovietico di una parità nucleare strategica con gli USA e cercava di adattare la propria strategia ai mutati equilibri internazionali. Anche dal punto di vista della storia della Germania occidentale il 1967 è una data che si può giudicare particolarmente rilevante al fine di stabilire un'utile periodizzazione. Nel dicembre del 1966 infatti ‐ a seguito della caduta del governo Erhard (CDU/CSU‐FDP) – nella Repubblica Federale Tedesca venne costituito un governo di Große Koalition, ovvero basato sull'alleanza dei partiti conservatori con i socialdemocratici dell'SPD. Tale coalizione di governo rappresentava una novità del tutto inedita nella storia politica della Germania occidentale. Sebbene infatti il Cancelliere ‐ nella persona di Kurt Kiesinger ‐ fosse ancora una volta espressione delle forze conservatrici della CDU, i socialdemocratici arrivavano per la prima volta al potere (con la nomina di Willy Brandt a capo dell'importante Ministero degli Esteri). L'azione politica di questa nuova alleanza di governo fu funzionale all'avvio di un "processo di emancipazione" della Repubblica Federale Tedesca, che la vedeva definire i suoi interessi in modo più autonomo dai propri alleati rispetto alla prima fase della propria esistenza politica. L'analisi della politica di sicurezza tedesco‐occidentale rappresenta dunque un interessante banco di prova per riscontrare i segni di tale evoluzione e individuare le caratteristiche di continuità e discontinuità rispetto agli anni precedenti. Come termine finale della ricerca si è scelto invece l'anno 1975, data comunemente considerata dagli storici come l'apice della distensione, a causa della conclusione della Conferenza di Helsinki e dell'emanazione del relativo Atto Finale. La seconda metà degli anni '70 rappresenta infatti una fase significativamente diversa dal periodo precedente, in cui i presupposti della distensione entrarono progressivamente in crisi e – con il cambiamento sia delle problematiche del contesto internazionale sia dei suoi principali protagonisti – si è ritenuto dunque opportuno non inserirla nella stessa trattazione. Fonti della ricerca Le fonti su cui si basa questa ricerca comprendono sia pubblicazioni di carattere storiografico e memorialistico, sia documenti d'archivio. Per quanto riguarda la letteratura, ci si è concentrati sulle opere fondamentali di storiografia relative alla Guerra Fredda e in particolare alla fase di distensione e su volumi e saggi sulla storia e l'analisi della politica estera e di sicurezza della Germania occidentale, tanto nel contesto generale del conflitto Est‐Ovest quanto nel periodo specifico che va dalla fine degli anni '60 alla metà del decennio successivo. Per l'approfondimento del tema specifico ci si è poi serviti ‐ oltre che di volumi storiografici, memorialistica e saggi in libri collettanei ‐ anche di articoli scientifici pubblicati in importanti riviste internazionali quali Cold War History, Diplomatic History, History & Memory, War in History, Contemporary European History, Bulletin of German Historical Institute (Washington D.C.), Journal of Cold War Studies e Journal of Transatlantic Studies, e alcune pubblicazioni tedesche tra cui Europa Archiv (edita dalla Deutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik ‐ DGAP), Vierteljahrshefte für Zeitgeschichte (pubblicata dall'Institut für Zeitgeschichte di Monaco‐Berlino) e Archiv für Sozialgeschichte. Per quanto riguarda poi i protagonisti degli eventi discussi, oltre alla lettura delle relative memorie e autobiografie, sono state di grande utilità le raccolte pubblicate di loro scritti, interviste e discorsi. Dal punto di vista dei documenti, una fonte particolarmente utile sono stati i documenti diplomatici tedeschi pubblicati nelle raccolte ufficiali degli "Akten zur Auswärtigen Politik der Bundesrepublik Deutschland" (AAPD), editi per il Ministero degli Esteri dall'Istituto di Storia Contemporanea di Monaco‐Berlino. Sempre nell'ambito dei documenti pubblicati ‐ tra le altre utili raccolte ‐ sono state fondamentali per questa ricerca soprattutto le trascrizioni delle sessioni di lavoro della Commissione Esteri del Bundestag ("Der Auswärtige Ausschuss des Deutschen Bundestages; Sitzungsprotokolle"), attraverso le quali si è potuto ricostruire con una certa precisione il dibattito parlamentare relativo ai temi affrontati. Il lavoro di ricerca in archivio si è focalizzato esclusivamente sulle fonti tedesco‐occidentali. Per quanto riguarda le fonti provenienti dal Ministero degli Esteri si è fatto ampio uso dei fondi reperiti presso il "Politisches Archiv des Auswärtigen Amts" (PA AA) situato a Berlino. Un altro archivio fondamentale per realizzare questa ricerca è stato l'Archivio del Partito Socialdemocratico che si trova a Bonn‐Bad Godesberg, all'interno della "Friedrich Ebert Stiftung" (Fondazione politica dell'SPD). Nella Fondazione sono consultabili gli archivi personali dei principali protagonisti della classe politica socialdemocratica della BRD, tra cui l'Archivio Willy Brandt, il Deposito Egon Bahr e l'Archivio Helmut Schmidt. Un terzo archivio consultato è stato il "Bundesarchiv" (Archivio Federale) di Koblenz, presso il quale si è potuto analizzare il fondo dei documenti relativi all'Ufficio della Cancelleria. Un'altra fonte d'archivio – seppure d'importanza minore per questa ricerca (a causa dell'arco temporale solo in parte coincidente con il tema scelto) ‐ è stata poi rappresentata dal materiale del "Nuclear History Program" (NHP), una collezione di documenti declassificati provenienti dal Ministero della Difesa della Repubblica Federale Tedesca e di altre fonti raccolte sempre nell'ambito del NHP (quali atti di convegni e produzioni di storia orale). Il fondo relativo al progetto NHP è conservato attualmente al "Militärgeschichtliches Forschnungsamt" (Istituto di ricerca per la storia militare) di Potsdam. Poiché la tesi privilegia lo studio degli aspetti politici della sicurezza rispetto alla dimensione più propriamente militare, non sono state invece consultate le fonti primarie del Ministero della Difesa tedesco, salvo il suddetto fondo "NHP". Stato dell'arte, metodologia e obiettivi Nella tesi ci si propone di analizzare l'evoluzione della politica di sicurezza della Repubblica Federale Tedesca durante il periodo della distensione, ponendo una particolare attenzione all'istanza di emancipazione della stessa BRD nei confronti dei propri alleati. Una domanda alla quale si è cercato di rispondere è pertanto in che misura si possa per quel periodo parlare da una parte di una continuità della politica tedesco‐occidentale rispetto al passato e dall'altra parte di un progressivo scostamento, anche radicale, dallo stallo politico interno e internazionale in cui Bonn aveva finito per trovarsi a metà degli anni '60. L'analisi del periodo 1967‐1975 si pone anche come un imprescindibile punto di partenza per tentare di individuare la formazione di un'autonoma identità di sicurezza tedesca, il cui impatto divenne poi più evidente tra la metà degli anni '70 e la fine della Guerra Fredda. Tale aspetto ci sembra particolarmente utile anche ai fini di poter ampliare un quadro interpretativo storiografico circa le più generali relazioni transatlantiche nell'ultima fase del conflitto Est‐Ovest, in cui si può registrare una certa divergenza politico‐strategica tra l'Europa occidentale e l'alleato statunitense, derivante in larga misura da diverse valutazioni e percezioni delle minacce presentate dal contesto internazionale. Per quanto riguarda la storiografia disponibile sul tema di questa ricerca, si deve constatare come sia pressoché ancora assente uno studio completo sulla politica di sicurezza della Repubblica Federale Tedesca durante gli anni della distensione. Se infatti non mancano pubblicazioni "generali" degne di nota, 7 relative alla storia politica della BRD durante tutto il periodo della sua esistenza (di Helga Haftendorn, Timothy Garton Ash e Wolfram Hanrieder),1 o studi che si focalizzano su aspetti specifici della politica estera di Bonn (come quelli di Mary Elise Sarotte sulla Ostpolitik, William Glenn Gray sulla Dottrina Hallstein e la sua crisi, Petri Hakkarainen sulla CSCE e Arne Hofmann sul pensiero politico di Brandt)2, il panorama relativo alla politica di sicurezza appare più lacunoso e frammentario. Alcuni contributi – seppure utili – appaiono inoltre piuttosto datati e pertanto non si sono potuti avvalere delle fonti primarie d'archivio resesi nel frattempo disponibili. Tra essi si devono ad esempio menzionare il volume di Martin Müller sui negoziati MBFR e quello di Catherine Kelleher sul nucleare.3 Vi è poi un altro gruppo di autori che ha affrontato – in modo rigoroso e utilizzando anche fonti primarie – temi di politica di sicurezza tedescooccidentale, concentrandosi tuttavia su un arco temporale precedente a quello che si è scelto in questa ricerca. Le loro analisi sono estremamente interessanti e offrono importanti spunti per approfondire il campo di ricerca in questione. Fanno parte di questa serie le ricerche pubblicate nell'ambito del "Nuclear History Program" (NHP), progetto di ricerca internazionale attivo soprattutto negli anni '90, tra cui spiccano i volumi di Axel Gablik, Christoph Hoppe e Christian Tuschhoff, tutti focalizzati sul periodo compreso tra gli anni '50 e la metà degli anni '60.4 Il tentativo di Barry Blechman e Cathleen Fisher (dello statunitense Institute for Defense Analyses) di indagare le diverse attitudini dei vari partiti politici tedesco‐occidentali relativamente al tema del controllo degli armamenti ‐ nonostante sia privo di un solido inquadramento storico (avvalendosi esclusivamente del contributo di analisti politici) e risulti spesso frammentario ‐ suggerisce altresì interessanti piste di ricerca.5 Utili elementi relativi alla politica di sicurezza tedesca si trovano anche in due pubblicazioni in cui l'analisi della storia della Germania è affiancata a quella di Gran Bretagna e Francia, al fine di metterne in luce similitudini e divergenze, ovvero il volume di Beatrice Heuser sulle strategie nucleari europee6 e quello di Daniel Möckli sul tentativo di politica estera comune sperimentato dall'Europa occidentale tra la fine degli anni '60 e l'inizio degli anni '70.7 Le pubblicazioni più autorevoli nell'ambito della politica di sicurezza della BRD sono probabilmente quelle risultanti dalle molteplici ricerche compiute da Christoph Bluth e da Helga Haftendorn. Bluth ha dedicato un libro all'analisi della strategia nucleare della BRD e della Gran Bretagna durante tutta la Guerra Fredda e un altro volume invece alla dimensione convenzionale della sicurezza, analizzata dalla prospettiva di Bonn.8 Se si esclude il volume della Haftendorn9, peraltro datato e con un orizzonte temporale limitato al 1955‐1973, avente ad oggetto l'analisi della politica tedesco‐occidentale nel processo di disarmo e controllo degli armamenti in tutte le sue diverse sfaccettature, si deve constatare come manchi ancora ad oggi una ricerca sulla politica di sicurezza della Repubblica Federale Tedesca che riesca (esaminando in modo soddisfacente le singole tematiche comprese) a coprire tutto il periodo della détente. Vanno a colmare – almeno parzialmente – le lacune presenti nella storiografia sulla politica di sicurezza di Bonn, numerosi articoli dedicati alla Germania presenti in volumi collettanei di più ampio respiro, tra i quali si devono ricordare quelli di Oliver Bange e Gottfried Niedhart, e di Andreas Wenger, Vojtech Mastny e Christian Neunlist sulla CSCE;10 quelli di Wilfried Loth e Georges‐Henri Soutou, e di Piers Ludlow dedicati alla dimensione europea11 e quello di Carole Fink e Bernd Schaefer sulla Ostpolitik.12 A questi si devono aggiungere infine alcuni volumi relativi alle relazioni di Bonn con i propri alleati occidentali, tra cui si ricordano qui quello curato da Detlef Junker sui rapporti con gli USA e quello edito da Thomas Schwartz e Matthias Schulz più in generale sulle relazioni tra Europa e Stati Uniti.14 Se dunque la storiografia relativa alla politica estera della Germania occidentale è piuttosto ricca, si deve tuttavia notare come – in tale ambito ‐ l'analisi specifica della politica di sicurezza tedesco‐occidentale sia un campo ancora relativamente inesplorato dalla ricerca storica. La letteratura che prende in esame la storia della Repubblica Federale Tedesca durante gli anni della distensione si è infatti prevalentemente concentrata sulla Nuova Ostpolitik di Willy Brandt e sul suo impatto nel contesto internazionale, trascurando invece lo studio della politica di sicurezza e della posizione tedesco‐occidentale all'interno del contemporaneo vivace dibattito transatlantico su difesa, sicurezza e controllo degli armamenti. La maggior parte della storiografia (tedesca e internazionale) esistente sulla politica della BRD durante la distensione ha preso infatti in esame la straordinaria azione diplomatica dei governi tedesco‐occidentali nei confronti degli stati del blocco comunista e – nei casi in cui la storia tedesca è stata affrontata in un contesto più ampio – si è scelto di indagare principalmente come gli alleati di Bonn (e in primo luogo gli Stati Uniti) reagissero alla Ostpolitik attuata soprattutto a partire dal 1969 dal governo social‐liberale Brandt‐Scheel. Da quanto si riscontra nell'analisi del materiale bibliografico disponibile, la grande attenzione della storiografia nei confronti degli sviluppi della Ostpolitik non si è pertanto accompagnata ad una parallela analisi approfondita della Westpolitik tedesco‐occidentale dello stesso periodo. Si è deciso dunque di porre proprio tale tematica al centro di questa tesi, ritendendo che – negli stessi anni della celebre Ostpolitik – la politica estera della BRD presenti un'evoluzione particolarmente interessante anche a proposito delle relazioni con i propri alleati, soprattutto dal punto di vista dell'elaborazione strategica e della gestione della propria politica di sicurezza. Da un punto di vista concettuale la presente ricerca si colloca innanzitutto in quella tendenza storiografia che approfondisce lo studio della Guerra Fredda aggiungendo i punti di vista specifici di "junior partner", che consentano pertanto un superamento della tradizionale (e ormai decisamente in via di superamento) interpretazione strettamente bipolare del conflitto Est‐Ovest. Questo studio si prefigge dunque l'obiettivo di approfondire la conoscenza della politica di sicurezza della BRD tra gli anni '60 e '70 al fine sia di contribuire ad una migliore comprensione della specifica declinazione tedesco‐occidentale della strategia di distensione, sia di aggiungere al contempo un tassello alla storia dei rapporti transatlantici e in generale della politica occidentale durante tale fase della Guerra Fredda. Questo secondo obiettivo deriva dalla considerazione che la Repubblica Federale Tedesca tra la fine degli anni '60 e l'inizio del decennio successivo rappresentasse un attore chiave del contesto internazionale, passando rapidamente dall'essere il maggiore ostacolo per una distensione Est‐Ovest al rappresentarne il suo motore fondamentale. Tale cambio di approccio di Bonn nei confronti della propria questione nazionale e del più generale scenario europeo metteva in moto dinamiche per certi aspetti problematiche dal punto di vista degli stati del Patto di Varsavia e degli stessi alleati della BRD nel campo occidentale. La "questione tedesca" ‐ al centro della Guerra Fredda fin dalle origini del conflitto Est‐Ovest ‐ continuò probabilmente anche negli anni della distensione a rappresentare il fulcro degli sviluppi politici internazionali. Tutto ciò evidenzia pertanto come un'analisi critica della politica estera e di sicurezza della Repubblica Federale Tedesca possa contribuire in modo significativo ad un miglioramento della comprensione delle generali dinamiche di trasformazione in atto nel contesto storico della détente. In questa ricerca si è cercato di affrontare l'argomento scelto tenendo presente – oltre che il contesto tedesco – anche un quadro d'analisi d'insieme, che comprenda ad esempio il processo di elaborazione politico‐strategica dell'Alleanza Atlantica e le relazioni di Bonn con gli alleati europei e con la superpotenza egemone del campo occidentale. La politica del blocco occidentale è stata pertanto indagata da un punto vista sia multilaterale (dunque essenzialmente nel processo di integrazione europea e soprattutto nel contesto della NATO) sia – seppure in misura minore ‐ bilaterale (ovvero dei rapporti della Germania con i singoli alleati). L'obiettivo che ci si è posti è stato pertanto quello di contribuire ad un approfondimento della conoscenza della politica estera della BRD durante gli anni della distensione, collocando le strategie di Bonn nell'ambito delle politiche del campo occidentale e dei principali dibattiti in corso in quel periodo nel contesto delle relazioni transatlantiche. La scelta di prendere in esame un arco temporale piuttosto esteso (nove anni) e una molteplicità di tematiche – decisione peraltro necessaria per individuare i tratti di continuità e d'innovazione della politica di sicurezza della BRD rispetto al periodo precedente – non ha consentito tuttavia una ricostruzione esauriente e con un alto grado di dettaglio per ognuno degli argomenti affrontati (ciascuno dei quali sarebbe in se stesso degno e passibile di essere oggetto di una specifica tesi di dottorato). Se l'assenza di una trattazione più approfondita talvolta può apparire grave nella ricostruzione degli eventi, tuttavia l'obiettivo di ricostruire lo sviluppo della politica tedesco‐occidentale non avrebbe consentito altra scelta se non quella di analizzare appunto in modo congiunto alcuni snodi fondamentali di quel periodo e le principali questioni che – nell'ambito della sicurezza – impegnarono i governi di Bonn in tali anni, a discapito di un possibile maggiore approfondimento Struttura della tesi La tesi si compone di cinque capitoli e delle conclusioni. I primi due capitoli sono di carattere introduttivo per la trattazione dell'argomento centrale e sono serviti come strumenti per affrontare in modo rigoroso e documentato il tema scelto, inserendolo in un appropriato contesto storico e storiografico. Si è scelto infatti di dedicare un primo capitolo alla ricostruzione delle caratteristiche di quella fase della Guerra Fredda comunemente definita dagli studiosi come "distensione" e all'esame della principale storiografia esistente su tali anni, al fine di analizzare il contesto internazionale di cui ci si occuperà poi nello specifico dalla prospettiva tedesco‐occidentale. Considerata la complessità e l'eterogeneità del fenomeno della distensione internazionale, si è ritenuto infatti necessario dedicare all'inizio dell'esposizione un ampio spazio a tale tema, per comprenderne gli eventi centrali e le più rilevanti letture che ne hanno dato gli esperti. Prendendo in esame alcuni autori e le loro pubblicazioni, si è cercato perciò di presentare le principali interpretazioni relative al periodo della distensione, che presentano tra loro alcune analogie ma anche significative divergenze, sia per quanto riguarda il punto di vista scelto per affrontare l'argomento sia per le conclusioni che gli stessi storici ne hanno tratto. In questo primo capitolo si è dunque affrontata la distensione come tema generale e non circoscritto all'esperienza tedesca, reputando infatti imprescindibile rispetto al tema scelto un'analisi preliminare dell'intero contesto internazionale e delle dinamiche in atto negli anni '60 e '70. Dopo aver dunque esaminato e discusso la bibliografia fondamentale sulla distensione, si passa poi ad un'analisi della storia della Germania occidentale. Il secondo capitolo consiste infatti in una ricostruzione a grandi linee della storia politica della Repubblica Federale Tedesca dal dopoguerra (e dunque dalla sua fondazione) fino alla distensione e alla sua relativa crisi. Analizzando l'evoluzione della politica estera e di sicurezza della Germania occidentale in questo arco temporale, si è accordato ampio spazio allo sviluppo della Entspannungspolitik (politica di distensione) tedesca, riscontrando come tale esperienza sia stata centrale per una maturazione politica dello stato tedesco occidentale in direzione di una sempre più evidente emancipazione dalla stretta dipendenza dai propri alleati (e in parte anche dal proprio drammatico passato). A questi primi due capitoli, che hanno la funzione di definire il contesto internazionale della détente e le caratteristiche della politica tedesco‐occidentale in tale periodo, seguono i tre capitoli centrali della tesi. Il terzo capitolo si focalizza sul 1967, che ‐ come si è già accennato, rappresenta una data cruciale per la storia dell'Alleanza Atlantica e della stessa BRD, a causa dell'adozione del Rapporto Harmel, del cambiamento della dottrina strategica NATO e della formazione del governo di Große Koalition. Il quarto e il quinto capitolo sono invece di carattere tematico: ognuno di essi ricostruisce infatti ‐ durante tutto l'arco temporale scelto (1967‐1975) – il comportamento e il ruolo della Repubblica Federale Tedesca nell'ambito di due questioni centrali per la sicurezza tedesco‐occidentale quali, rispettivamente, il dibattito sugli armamenti nucleari e il tema dei negoziati multilaterali per una distensione politica (CSCE) e militare (MBFR) in Europa. Il terzo capitolo cerca pertanto di evidenziare quali fossero i presupposti per una distensione politica e militare, analizzando come l'Alleanza Atlantica cercava di affrontare il crescente problema della credibilità degli Stati Uniti nei confronti dei propri alleati e come la BRD reagiva ai cambiamenti in atto nel contesto politico‐strategico transatlantico. Il capitolo quarto, dopo aver delineato le principali tappe nell'evoluzione del rapporto della Germania occidentale con le armi nucleari, esamina in particolare il dibattito che si sviluppò a livello internazionale e nella Repubblica Federale Tedesca intorno al Trattato di Non Proliferazione Nucleare (TNP) del 1968. L'ultimo capitolo è poi dedicato all'intensa attività diplomatica svolta dal governo di Bonn nell'ambito della Conferenza di Helsinki (CSCE) e dei negoziati per un controllo degli armamenti convenzionali in Europa (MBFR). Si cercheranno infine di avanzare alcune conclusioni derivanti dall'analisi delle tematiche scelte in questa ricerca, nel tentativo di contribuire al dibattito più generale sul fenomeno della distensione internazionale e all'interpretazione storiografica riguardante la crescita politica della Repubblica Federale Tedesca durante gli anni '60 e '70.
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