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Législation ouvrière et sociale en Australie et Nouvelle-Zélande
In: http://hdl.handle.net/2027/hvd.hnp2sk
At head of title: République Française. Ministère du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes. Office du travail. ; Mode of access: Internet.
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Les OMD dans la région de l'Amérique latine et des Caraïbes
In: Chronique ONU, Band 45, Heft 1, S. 33-34
ISSN: 2411-9911
Migration, informalité transfrontalière et paradoxe de la'intégration entre PVD: la région des Caraïbes
In: Canadian journal of development studies: Revue canadienne d'études du développement, Band 20, Heft 1, S. 127-158
ISSN: 0225-5189
Migration, informalité transfrontalière et paradoxe de l'intégration entre PVD: la région des Caraïbes
In: Canadian journal of development studies: Revue canadienne d'études du développement, Band 20, Heft 1, S. 127-158
ISSN: 2158-9100
Rencontres Caraïbe-Amazonie: méthodes et expériences d'inventaire du patrimoine : actes des rencontres du 23 au 27 novembre 2011, Région Guyane
In: Cahiers du patrimoine 100
Régionalisme et migrations dans la Caraïbe
La question de l'existence d'une identité caribéenne est un objet de préoccupation réelle dans le monde intellectuel et politique de cette région. La poser en terme d'unité n'est pas neutre politiquement, dans un contexte où le lourd héritage colonial a longtemps pesé sur la vision que les Caribéens avaient d'eux-mêmes et sur celle que les autres avaient de la région. Jusqu'à récemment, il était plus courant de penser la question des Caraïbes plutôt que de la Caraïbe. Pourtant, la trame de fond historique et culturelle commune - dont la logique mercantiliste, le modèle social et spatial de la plantation et le processus de créolisation nous semblent être les éléments structurants - a façonné au fil des siècles une base culturelle et identitaire partagée que la prise de conscience de nouveaux enjeux régionaux ne fait que renforcer. Il nous semble que les mouvements de population ont eu une fonction déterminante dans la prise de conscience régionale, qu'il s'agisse des logiques institutionnelles d'intégration proprement dites ou, plus largement, de l'émergence d'un sentiment d'appartenance au bassin caribéen. Les migrations intra-régionales sont aussi anciennes que la genèse de ces sociétés caribéennes elles-mêmes, qu'elles ont façonnées au gré des transferts culturels et d'échanges de toutes sortes. Il apparaît donc légitime de s'interroger sur le rôle joué par ces migrations dans le processus de coopération et d'intégration régionale - ou plus largement dans la dynamique régionaliste, celle qui rapproche les peuples au moins autant que les entités politiques et économiques.
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Régionalisme et migrations dans la Caraïbe
La question de l'existence d'une identité caribéenne est un objet de préoccupation réelle dans le monde intellectuel et politique de cette région. La poser en terme d'unité n'est pas neutre politiquement, dans un contexte où le lourd héritage colonial a longtemps pesé sur la vision que les Caribéens avaient d'eux-mêmes et sur celle que les autres avaient de la région. Jusqu'à récemment, il était plus courant de penser la question des Caraïbes plutôt que de la Caraïbe. Pourtant, la trame de fond historique et culturelle commune - dont la logique mercantiliste, le modèle social et spatial de la plantation et le processus de créolisation nous semblent être les éléments structurants - a façonné au fil des siècles une base culturelle et identitaire partagée que la prise de conscience de nouveaux enjeux régionaux ne fait que renforcer. Il nous semble que les mouvements de population ont eu une fonction déterminante dans la prise de conscience régionale, qu'il s'agisse des logiques institutionnelles d'intégration proprement dites ou, plus largement, de l'émergence d'un sentiment d'appartenance au bassin caribéen. Les migrations intra-régionales sont aussi anciennes que la genèse de ces sociétés caribéennes elles-mêmes, qu'elles ont façonnées au gré des transferts culturels et d'échanges de toutes sortes. Il apparaît donc légitime de s'interroger sur le rôle joué par ces migrations dans le processus de coopération et d'intégration régionale - ou plus largement dans la dynamique régionaliste, celle qui rapproche les peuples au moins autant que les entités politiques et économiques.
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La nouvelle stratégie Union Européenne-Caraïbes : quelle place pour les entités infra-étatiques françaises de la Caraïbe ?
International audience ; Les relations entre l'Union européenne (ci-après UE) et les pays de la Caraïbe sont sous-tendues par presque quarante ans de coopération pour le commerce et le développement 1 , formalisées par des instruments juridiques que sont par exemple l'accord de Cotonou 2 ou l'accord de partenariat économique CARIFORUM/UE 3. Ce dernier instrument est entre autres, la résultante d'une nouvelle dynamique des relations entre l'Union et la partie Caraïbe du groupe ACP 4 et le fondement d'un « partenariat stratégique », le terme stratégique désignant l'importance des liens à maintenir ou à établir avec la partie concernée 5. Ils formalisent par ailleurs une nouvelle donne de la relation à travers un partenariat, qui devient comme le soulignait le Professeur Jean RAUX, « Le […] maître-mot de la politique extérieure 1 Voir par exemple, F. GRANELL, La coopération au développement de la Communauté européenne, Editions de l'Université de Bruxelles, coll. Commentaire Mégret, n° 13, 2005, 475 p. 2
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La nouvelle stratégie Union Européenne-Caraïbes : quelle place pour les entités infra-étatiques françaises de la Caraïbe ?
International audience ; Les relations entre l'Union européenne (ci-après UE) et les pays de la Caraïbe sont sous-tendues par presque quarante ans de coopération pour le commerce et le développement 1 , formalisées par des instruments juridiques que sont par exemple l'accord de Cotonou 2 ou l'accord de partenariat économique CARIFORUM/UE 3. Ce dernier instrument est entre autres, la résultante d'une nouvelle dynamique des relations entre l'Union et la partie Caraïbe du groupe ACP 4 et le fondement d'un « partenariat stratégique », le terme stratégique désignant l'importance des liens à maintenir ou à établir avec la partie concernée 5. Ils formalisent par ailleurs une nouvelle donne de la relation à travers un partenariat, qui devient comme le soulignait le Professeur Jean RAUX, « Le […] maître-mot de la politique extérieure 1 Voir par exemple, F. GRANELL, La coopération au développement de la Communauté européenne, Editions de l'Université de Bruxelles, coll. Commentaire Mégret, n° 13, 2005, 475 p. 2
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Transformations of dairy farming systems in New Zealand : declining self-sufficiency and financialization ; Transformations des systèmes de production du lait en Nouvelle-Zélande : perte d'autonomie et financiarisation
This thesis looks at the evolution of dairy farming and agrarian systems in New Zealand. It explains and characterizes the original path followed by dairy production in this country, which relied on low-input grazing systems until the 90s before moving away from it. It aims also at describing mechanisms underlying the emergence of financialised dairy production structures. Finally, we assess the socio-economic implications of both the shift toward higher-input dairy systems and the financialization of dairy production. This research uses the theoretical framework of Comparative agriculture supplemented by the Anglo-Saxon branch of Agrarian studies. It relied on the analysis-diagnosis the agrarian situation of two small rural areas (the Upper Thames Valley and the Selwyn district). Our work shows how fundamental has been the economic context to explain the focus on low-input grazing systems which characterised dairy farming in the New Zealand until the 90s. It argues that the economic liberalization has been a huge incentive for farmers to shift towards higher-input systems during the 90s. The economic analysis show that low-input systems are nevertheless more efficient in terms of added value and farm income generated per hectare. For its part, financialization permitted to accelerate the development of dairy production, but did not lead to more efficient production systems in terms of added value generated. However, it allows investors who do not take parts into the productive process to capture a significant part of this added value. Finally, the question arises whether or not the agricultural development observed in New Zealand since the 90s is relevant in terms of sustainable development. ; Cette thèse porte sur l'évolution des systèmes de production du lait et des systèmes agraires néo-zélandais. Elle vise à expliquer et caractériser l'orientation particulière prise par le développement de la production laitière en Nouvelle-Zélande, laquelle a longtemps reposé sur des systèmes herbagers avant de s'en détourner à partir des années 1990. Il s'agit également de comprendre les mécanismes sous-jacents à l'émergence de structures de production du lait financiarisées. Enfin elle évalue les conséquences socio-économiques de la perte d'autonomie des systèmes de production et de la financiarisation. Cette recherche a mobilisé le cadre théorique de l'Agriculture comparée et s'est également appuyée sur le courant anglo-saxon des « Agrarian studies ». Elle a reposé sur l'analyse-diagnostic de la situation agraire de deux petites régions agricoles (Haute-vallée de Thames et Région de Selwyn). Nos travaux montrent l'importance du contexte économique et politique pour expliquer l'orientation de la production laitière néo-zélandaise vers des systèmes herbagers. Ils mettent également en évidence le rôle central de la libéralisation de l'économie pour expliquer la tendance à la perte d'autonomie observée depuis 1990. L'analyse économique montre que les systèmes herbagers demeurent toutefois performants en termes de création de valeur ajoutée et de revenu agricole par hectare. De son côté, si la financiarisation de la production laitière a permis d'accélérer son développement sur l'île Sud, elle n'a pas conduit à la mise en œuvre de systèmes de production plus performants en termes de création de valeur ajoutée. En revanche, elle amène à ce qu'une part importante de cette valeur ajoutée soit captée par des investisseurs ne prenant pas part au procesus productif. Au final, la question se pose de la pertinence du développement agricole à l'œuvre en Nouvelle-Zélande depuis les années 1990 du point de vue du développement durable.
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Transformations of dairy farming systems in New Zealand : declining self-sufficiency and financialization ; Transformations des systèmes de production du lait en Nouvelle-Zélande : perte d'autonomie et financiarisation
This thesis looks at the evolution of dairy farming and agrarian systems in New Zealand. It explains and characterizes the original path followed by dairy production in this country, which relied on low-input grazing systems until the 90s before moving away from it. It aims also at describing mechanisms underlying the emergence of financialised dairy production structures. Finally, we assess the socio-economic implications of both the shift toward higher-input dairy systems and the financialization of dairy production. This research uses the theoretical framework of Comparative agriculture supplemented by the Anglo-Saxon branch of Agrarian studies. It relied on the analysis-diagnosis the agrarian situation of two small rural areas (the Upper Thames Valley and the Selwyn district). Our work shows how fundamental has been the economic context to explain the focus on low-input grazing systems which characterised dairy farming in the New Zealand until the 90s. It argues that the economic liberalization has been a huge incentive for farmers to shift towards higher-input systems during the 90s. The economic analysis show that low-input systems are nevertheless more efficient in terms of added value and farm income generated per hectare. For its part, financialization permitted to accelerate the development of dairy production, but did not lead to more efficient production systems in terms of added value generated. However, it allows investors who do not take parts into the productive process to capture a significant part of this added value. Finally, the question arises whether or not the agricultural development observed in New Zealand since the 90s is relevant in terms of sustainable development. ; Cette thèse porte sur l'évolution des systèmes de production du lait et des systèmes agraires néo-zélandais. Elle vise à expliquer et caractériser l'orientation particulière prise par le développement de la production laitière en Nouvelle-Zélande, laquelle a longtemps reposé sur des systèmes herbagers avant de s'en détourner à partir des années 1990. Il s'agit également de comprendre les mécanismes sous-jacents à l'émergence de structures de production du lait financiarisées. Enfin elle évalue les conséquences socio-économiques de la perte d'autonomie des systèmes de production et de la financiarisation. Cette recherche a mobilisé le cadre théorique de l'Agriculture comparée et s'est également appuyée sur le courant anglo-saxon des « Agrarian studies ». Elle a reposé sur l'analyse-diagnostic de la situation agraire de deux petites régions agricoles (Haute-vallée de Thames et Région de Selwyn). Nos travaux montrent l'importance du contexte économique et politique pour expliquer l'orientation de la production laitière néo-zélandaise vers des systèmes herbagers. Ils mettent également en évidence le rôle central de la libéralisation de l'économie pour expliquer la tendance à la perte d'autonomie observée depuis 1990. L'analyse économique montre que les systèmes herbagers demeurent toutefois performants en termes de création de valeur ajoutée et de revenu agricole par hectare. De son côté, si la financiarisation de la production laitière a permis d'accélérer son développement sur l'île Sud, elle n'a pas conduit à la mise en œuvre de systèmes de production plus performants en termes de création de valeur ajoutée. En revanche, elle amène à ce qu'une part importante de cette valeur ajoutée soit captée par des investisseurs ne prenant pas part au procesus productif. Au final, la question se pose de la pertinence du développement agricole à l'œuvre en Nouvelle-Zélande depuis les années 1990 du point de vue du développement durable.
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Transformations of dairy farming systems in New Zealand : declining self-sufficiency and financialization ; Transformations des systèmes de production du lait en Nouvelle-Zélande : perte d'autonomie et financiarisation
This thesis looks at the evolution of dairy farming and agrarian systems in New Zealand. It explains and characterizes the original path followed by dairy production in this country, which relied on low-input grazing systems until the 90s before moving away from it. It aims also at describing mechanisms underlying the emergence of financialised dairy production structures. Finally, we assess the socio-economic implications of both the shift toward higher-input dairy systems and the financialization of dairy production. This research uses the theoretical framework of Comparative agriculture supplemented by the Anglo-Saxon branch of Agrarian studies. It relied on the analysis-diagnosis the agrarian situation of two small rural areas (the Upper Thames Valley and the Selwyn district). Our work shows how fundamental has been the economic context to explain the focus on low-input grazing systems which characterised dairy farming in the New Zealand until the 90s. It argues that the economic liberalization has been a huge incentive for farmers to shift towards higher-input systems during the 90s. The economic analysis show that low-input systems are nevertheless more efficient in terms of added value and farm income generated per hectare. For its part, financialization permitted to accelerate the development of dairy production, but did not lead to more efficient production systems in terms of added value generated. However, it allows investors who do not take parts into the productive process to capture a significant part of this added value. Finally, the question arises whether or not the agricultural development observed in New Zealand since the 90s is relevant in terms of sustainable development. ; Cette thèse porte sur l'évolution des systèmes de production du lait et des systèmes agraires néo-zélandais. Elle vise à expliquer et caractériser l'orientation particulière prise par le développement de la production laitière en Nouvelle-Zélande, laquelle a longtemps reposé sur des systèmes herbagers avant de s'en détourner à partir des années 1990. Il s'agit également de comprendre les mécanismes sous-jacents à l'émergence de structures de production du lait financiarisées. Enfin elle évalue les conséquences socio-économiques de la perte d'autonomie des systèmes de production et de la financiarisation. Cette recherche a mobilisé le cadre théorique de l'Agriculture comparée et s'est également appuyée sur le courant anglo-saxon des « Agrarian studies ». Elle a reposé sur l'analyse-diagnostic de la situation agraire de deux petites régions agricoles (Haute-vallée de Thames et Région de Selwyn). Nos travaux montrent l'importance du contexte économique et politique pour expliquer l'orientation de la production laitière néo-zélandaise vers des systèmes herbagers. Ils mettent également en évidence le rôle central de la libéralisation de l'économie pour expliquer la tendance à la perte d'autonomie observée depuis 1990. L'analyse économique montre que les systèmes herbagers demeurent toutefois performants en termes de création de valeur ajoutée et de revenu agricole par hectare. De son côté, si la financiarisation de la production laitière a permis d'accélérer son développement sur l'île Sud, elle n'a pas conduit à la mise en œuvre de systèmes de production plus performants en termes de création de valeur ajoutée. En revanche, elle amène à ce qu'une part importante de cette valeur ajoutée soit captée par des investisseurs ne prenant pas part au procesus productif. Au final, la question se pose de la pertinence du développement agricole à l'œuvre en Nouvelle-Zélande depuis les années 1990 du point de vue du développement durable.
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Transformations of dairy farming systems in New Zealand : declining self-sufficiency and financialization ; Transformations des systèmes de production du lait en Nouvelle-Zélande : perte d'autonomie et financiarisation
This thesis looks at the evolution of dairy farming and agrarian systems in New Zealand. It explains and characterizes the original path followed by dairy production in this country, which relied on low-input grazing systems until the 90s before moving away from it. It aims also at describing mechanisms underlying the emergence of financialised dairy production structures. Finally, we assess the socio-economic implications of both the shift toward higher-input dairy systems and the financialization of dairy production. This research uses the theoretical framework of Comparative agriculture supplemented by the Anglo-Saxon branch of Agrarian studies. It relied on the analysis-diagnosis the agrarian situation of two small rural areas (the Upper Thames Valley and the Selwyn district). Our work shows how fundamental has been the economic context to explain the focus on low-input grazing systems which characterised dairy farming in the New Zealand until the 90s. It argues that the economic liberalization has been a huge incentive for farmers to shift towards higher-input systems during the 90s. The economic analysis show that low-input systems are nevertheless more efficient in terms of added value and farm income generated per hectare. For its part, financialization permitted to accelerate the development of dairy production, but did not lead to more efficient production systems in terms of added value generated. However, it allows investors who do not take parts into the productive process to capture a significant part of this added value. Finally, the question arises whether or not the agricultural development observed in New Zealand since the 90s is relevant in terms of sustainable development. ; Cette thèse porte sur l'évolution des systèmes de production du lait et des systèmes agraires néo-zélandais. Elle vise à expliquer et caractériser l'orientation particulière prise par le développement de la production laitière en Nouvelle-Zélande, laquelle a longtemps reposé sur des systèmes herbagers avant de s'en détourner à partir des années 1990. Il s'agit également de comprendre les mécanismes sous-jacents à l'émergence de structures de production du lait financiarisées. Enfin elle évalue les conséquences socio-économiques de la perte d'autonomie des systèmes de production et de la financiarisation. Cette recherche a mobilisé le cadre théorique de l'Agriculture comparée et s'est également appuyée sur le courant anglo-saxon des « Agrarian studies ». Elle a reposé sur l'analyse-diagnostic de la situation agraire de deux petites régions agricoles (Haute-vallée de Thames et Région de Selwyn). Nos travaux montrent l'importance du contexte économique et politique pour expliquer l'orientation de la production laitière néo-zélandaise vers des systèmes herbagers. Ils mettent également en évidence le rôle central de la libéralisation de l'économie pour expliquer la tendance à la perte d'autonomie observée depuis 1990. L'analyse économique montre que les systèmes herbagers demeurent toutefois performants en termes de création de valeur ajoutée et de revenu agricole par hectare. De son côté, si la financiarisation de la production laitière a permis d'accélérer son développement sur l'île Sud, elle n'a pas conduit à la mise en œuvre de systèmes de production plus performants en termes de création de valeur ajoutée. En revanche, elle amène à ce qu'une part importante de cette valeur ajoutée soit captée par des investisseurs ne prenant pas part au procesus productif. Au final, la question se pose de la pertinence du développement agricole à l'œuvre en Nouvelle-Zélande depuis les années 1990 du point de vue du développement durable.
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