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In: Futuribles: revue d'analyse et de prospective, Heft 332, S. 139-146
ISSN: 0003-181X
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 332, S. 139-146
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
In: Eurostudia, Band 4, Heft 2, S. 0
ISSN: 1718-8946
Si on prend l'idée de Braudel d'une grammaire des civilisations plus au sérieux que le fait le livre du même titre, il faut définir plus clairement les composants qu'ont les formes culturelles en commun. L'hypothèse de travail de M. Hodgson selon laquelle la différence entre les cultures dépend moins de leurs éléments constitutifs que du poids relatif des derniers et de leur interrelation peut nous servir de fil conducteur. Cet article met en perspective plusieurs tentatives de traiter de cette problématique. On peut analyser des civilisations, en se référant à Durkheim et Mauss, comme différentes manières de mettre en relation le culturel, le politique et l'économique. On peut aussi les analyser, sous le point de vue des dynamiques de longue durée, en mettant l'accent sur les structures élémentaires des traditions. À cet égard les idées de Hodgson s'avèrent particulièrement utiles. Enfin on peut, tel que le fait S. N. Eisenstadt, regarder des civilisations comme des cadres dans lesquels ont lieu des transformations de longue durée des rapports entre les niveaux culturel, institutionnel et organisationnel d'une société.
International audience ; Short presentation of the Pre-Islamic South Arabian civilization. ; Du VIIIe siècle avant J.-C. au VIe siècle de l'ère chrétienne, dans le Sud de la péninsule Arabique, nous voyons émerger, croître puis disparaître des royaumes qui partagent une culture commune : une même écriture, des techniques d'irrigation similaires, des pratiques architecturales et religieuses identiques ; un système politique et social commun. Cet ensemble constitue la civilisation sudarabique ; son étude a été baptisée « sabéologie », du nom du plus célèbre de ses royaumes : Saba'.Par la monumentalité de son architecture, le raffinement de ses arts et la fascination qu'exercent ses inscriptions, cette période a reçu une attention particulière de la part des archéologues et historiens qui œuvrent au Yémen depuis la fin du XIXe siècle.Cette civilisation doit son essor à une maîtrise rare de l'agriculture irriguée et au développement du commerce caravanier de résines aromatiques. Elle illustre à quel point l'Arabie préislamique ne fut pas seulement le vaste désert parcouru de nomades que l'on imagine aisément.
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International audience ; Short presentation of the Pre-Islamic South Arabian civilization. ; Du VIIIe siècle avant J.-C. au VIe siècle de l'ère chrétienne, dans le Sud de la péninsule Arabique, nous voyons émerger, croître puis disparaître des royaumes qui partagent une culture commune : une même écriture, des techniques d'irrigation similaires, des pratiques architecturales et religieuses identiques ; un système politique et social commun. Cet ensemble constitue la civilisation sudarabique ; son étude a été baptisée « sabéologie », du nom du plus célèbre de ses royaumes : Saba'.Par la monumentalité de son architecture, le raffinement de ses arts et la fascination qu'exercent ses inscriptions, cette période a reçu une attention particulière de la part des archéologues et historiens qui œuvrent au Yémen depuis la fin du XIXe siècle.Cette civilisation doit son essor à une maîtrise rare de l'agriculture irriguée et au développement du commerce caravanier de résines aromatiques. Elle illustre à quel point l'Arabie préislamique ne fut pas seulement le vaste désert parcouru de nomades que l'on imagine aisément.
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International audience ; Short presentation of the Pre-Islamic South Arabian civilization. ; Du VIIIe siècle avant J.-C. au VIe siècle de l'ère chrétienne, dans le Sud de la péninsule Arabique, nous voyons émerger, croître puis disparaître des royaumes qui partagent une culture commune : une même écriture, des techniques d'irrigation similaires, des pratiques architecturales et religieuses identiques ; un système politique et social commun. Cet ensemble constitue la civilisation sudarabique ; son étude a été baptisée « sabéologie », du nom du plus célèbre de ses royaumes : Saba'.Par la monumentalité de son architecture, le raffinement de ses arts et la fascination qu'exercent ses inscriptions, cette période a reçu une attention particulière de la part des archéologues et historiens qui œuvrent au Yémen depuis la fin du XIXe siècle.Cette civilisation doit son essor à une maîtrise rare de l'agriculture irriguée et au développement du commerce caravanier de résines aromatiques. Elle illustre à quel point l'Arabie préislamique ne fut pas seulement le vaste désert parcouru de nomades que l'on imagine aisément.
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International audience ; Short presentation of the Pre-Islamic South Arabian civilization. ; Du VIIIe siècle avant J.-C. au VIe siècle de l'ère chrétienne, dans le Sud de la péninsule Arabique, nous voyons émerger, croître puis disparaître des royaumes qui partagent une culture commune : une même écriture, des techniques d'irrigation similaires, des pratiques architecturales et religieuses identiques ; un système politique et social commun. Cet ensemble constitue la civilisation sudarabique ; son étude a été baptisée « sabéologie », du nom du plus célèbre de ses royaumes : Saba'.Par la monumentalité de son architecture, le raffinement de ses arts et la fascination qu'exercent ses inscriptions, cette période a reçu une attention particulière de la part des archéologues et historiens qui œuvrent au Yémen depuis la fin du XIXe siècle.Cette civilisation doit son essor à une maîtrise rare de l'agriculture irriguée et au développement du commerce caravanier de résines aromatiques. Elle illustre à quel point l'Arabie préislamique ne fut pas seulement le vaste désert parcouru de nomades que l'on imagine aisément.
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International audience ; Short presentation of the Pre-Islamic South Arabian civilization. ; Du VIIIe siècle avant J.-C. au VIe siècle de l'ère chrétienne, dans le Sud de la péninsule Arabique, nous voyons émerger, croître puis disparaître des royaumes qui partagent une culture commune : une même écriture, des techniques d'irrigation similaires, des pratiques architecturales et religieuses identiques ; un système politique et social commun. Cet ensemble constitue la civilisation sudarabique ; son étude a été baptisée « sabéologie », du nom du plus célèbre de ses royaumes : Saba'.Par la monumentalité de son architecture, le raffinement de ses arts et la fascination qu'exercent ses inscriptions, cette période a reçu une attention particulière de la part des archéologues et historiens qui œuvrent au Yémen depuis la fin du XIXe siècle.Cette civilisation doit son essor à une maîtrise rare de l'agriculture irriguée et au développement du commerce caravanier de résines aromatiques. Elle illustre à quel point l'Arabie préislamique ne fut pas seulement le vaste désert parcouru de nomades que l'on imagine aisément.
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Based on multi-disciplinary studies conducted in Asia (India, Bhutan, China, Japan, Malaysia, Philippines, New Zealand), this volume on Identity in Crossroad Civilisations: Ethnicity, Nationalism and Globalism in Asia demonstrates how identity is defined, negotiated and conceptualised in response to increasing globalisation in the region. Asian expressions of identity reflect, in many ways, their adaptability to the changing economic, political and social climates and at the same time question Samuel Huntington's popular yet controversial thesis on the clash of civilisations. This book also engages Benedict Anderson's idea of 'imagined communities' and shows how its operation impacts on both community and individual identity in an environment that is increasingly characterised by border crossings and transnationalism. Contemporary Asian realities, as examined in the essays, demonstrate the need to rethink previous notions of identity and nationalism.
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In: International relations: the journal of the David Davies Memorial Institute of International Studies, Band 21, Heft 1, S. 111-118
ISSN: 1741-2862
The global anti-torture norm has been one of the main examples of a global civilising process. It refl ects modern sensibilities to cruelty and excessive force which were highlighted in Norbert Elias's account of the 'civilising process'. The idea of defending civilisation has also been used to defend torture in the war against terror. Exceptional methods are needed, it has been argued, to protect civilised ways of life. Notions of constitutional or 'civilised torture' have been introduced to try to harmonise these competing views. They have been employed in the attempt to reconcile civilised self-images with the use of excessive force. The future role of torture in the 'war against terror' depends on the interplay between these competing conceptions of the civilising process.