Commémoration du Centenaire de la naissance d'Albert Laprade
In: Bulletin de la Classe des Beaux-Arts, Band 65, Heft 1, S. 231-246
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In: Bulletin de la Classe des Beaux-Arts, Band 65, Heft 1, S. 231-246
In: Barcelone, S. 239-253
In: Ethnologie française: revue de la Société d'Ethnologie française, Band 35, Heft 4, S. 667-677
ISSN: 2101-0064
Résumé Le 28 mars 2002, les membres de l'Association des anciens Travailleurs Renault de l'Île Seguin ( atris ) organisaient une réunion publique, dix ans après la sortie de la dernière voiture des chaînes de montage de Boulogne-Billancourt. La fermeture de cette usine, longtemps considérée comme un laboratoire social, symbole de la croissance industrielle des « Trente Glorieuses », a été durement vécue par ses salariés, contraints de quitter un site que nombre d'entre eux croyaient pérenne. Elle a aussi laissé à l'abandon un territoire jusqu'alors fortement marqué par la culture ouvrière. Tandis que l'île Seguin est en cours de destruction, aucun espace n'est prévu pour préserver les mémoires du site. Face au risque d'oubli, les membres de l' atris , que l'auteur a rencontrés, témoignent de leur passé ouvrier et militant par la contribution à des films, expositions ou publications. Leurs discours révèlent le refus d'accepter la fermeture en demeurant dans une temporalité de l'« avant ». Mais par leur revendication d'obtenir réparation pour les discriminations qu'ils estiment avoir subies, ils expriment aussi l'espoir de pouvoir transmettre leur vécu d'usine et de « tourner la page ».
In: Bulletin d'histoire politique, Band 7, Heft 2, S. 146
ISSN: 1929-7653
In: Matériaux pour l'histoire de notre temps, Band 27, Heft 1, S. 6-9
In: Autres temps: cahiers d'ethique sociale et politique, Band 17, Heft 1, S. 79-82
ISSN: 2261-1010
In: Le temps des médias: revue d'histoire, Band 31, Heft 2, S. 219-229
ISSN: 2104-3671
In: Revue française de science politique, Band 23, Heft 1, S. 33-58
ISSN: 1950-6686
Fêtes et commémorations en République Populaire de Mongolie, par Françoise Aubin
Les fêtes et commémorations forment, en tout pays communiste, un champ important des techniques de mobilisation professionnelle et idéologique des masses en vue de la réalisation du plan de développement économique. En Mongolie elles ont en outre hérité leurs caractères spécifiques des anciennes fêtes de la société nomade. Durant la fête annuelle principale, le nadom, qui coupe juste en son milieu l'année calendérique, les manifestations à caractère politique de type occidental, telles que défilé, réceptions officielles, sont doublées de manifestations purement hédonistiques de type traditionnel - les compétitions dans les "trois sports nationaux" en particulier. Le ressort de son mécanisme de stimulation des masses repose sur une dialectique de l'échange des cadeaux, qui jouait un rôle régulateur essentiel dans l'ancienne vie des steppes. Cette dialectique, transposée, se résoud maintenant, à l'étape de la préparation de la fête, en un cadeau des travailleurs au gouvernement sous forme d'un dépassement des indices planifiés impartis à l'individu ou à l'équipe de travail, et, à l'étape de la célébration, en un cadeau de réponse de la part du gouvernement, sous forme de l'annonce de la réalisation du Plan, de réjouissances et de collations de récompenses et de prix. Le nadom est accompagné d'une multitude d'autres commémorations, qui servent à une relance périodique de la propagande, laquelle est placée, pour l'année entière, sous le signe d'une dominante - un jubilé révolutionnaire en général - ou sa préparation pour l'année à venir.
[Revue française de science politique XXIII (1), février 1973, pp. 33-58.]
In: Jeune Afrique, Heft 2456, S. 16
In: Jeune Afrique l'intelligent: hebdomadaire politique et économique international ; édition internationale, Heft 2357, S. 84
ISSN: 0021-6089
In: Esprit, Band Février, Heft 2, S. 124-142
Fallait-il légiférer sur l'histoire ? Fallait-il reconnaître l'esclavage comme un crime contre l'humanité ? Ces deux questions ont beaucoup agité les historiens et donné lieu à des déclarations collectives contradictoires. En menant une enquête historique sur les dispositions législatives et commémoratives concernant l'abolition de l'esclavage, on comprend mieux en quoi la continuité de notre histoire, et de la pensée républicaine, n'est pas brisée par la volonté de reconnaître officiellement la responsabilité de la France dans le système esclavagiste.
In: Socio: la nouvelle revue des sciences sociales, Heft 7, S. 101-118
ISSN: 2425-2158
In: Hommes & migrations: première revue française des questions d'immigration, Band 1222, Heft 1, S. 20-23
ISSN: 2262-3353
Si la ville a été, il y a un peu plus de 400 ans, le lieu où fut signé ce texte législatif parmi les plus célèbres de l'histoire européenne, Nantes n avait pas de légitimité particulière à commémorer la proclamation du fameux édit. Sauf à considérer comme le fit la municipalité, que c'était l'occasion idéale pour rappeler quelques grands principes qui y sont en germe et qui fondent notre démocratie. Tout en s'interrogeant sur cette question toujours actuelle : comment plusieurs entités humaines peuvent-elles vivre ensemble sur un même territoire, au-delà des différences qui les séparent et parfois les opposent ?
In: Bulletin d'histoire politique, Band 6, Heft 1, S. 109
ISSN: 1929-7653
In: Le débat: histoire, politique, société ; revue mensuelle, Band 82, Heft 5, S. 90-87
ISSN: 2111-4587