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Résumés des communications
In: Reflets: Revue d'intervention sociale et communautaire, Band 3, Heft 2, S. 312
ISSN: 1712-8498
Les rapports entre la communication de l'État et la communication européenne
Ce texte est issu d'une communication donnée au Gresec (Université Grenoble Alpes) à Échirolles, dans un colloque international intitulé "L'information-communication en Europe : perspectives nationales, transnationales ou comparatives", qui a eu lieu les 13 et 14 octobre 2016. Il s'agit d'un approfondissement des réflexions abordées lors de cette communication. Au travers de l'analyse des politiques de communications des membres de l'exécutif français (président et ministres) et des politiques de communication de la Commission européenne pendant trois crises financières internationales (Krach boursier de 1987, Crise asiatique de 1997-1998, Crise des Subprimes de 2007-2008), nous avons abordé la question des rapports politiques et symboliques entre l'État français et la Commission européenne. Les premiers résultats semblent indiquer les éléments suivants : 1° l'incompatibilité de la communication européenne avec le monopole de la représentation-incarnation de l'État 2° l'accompagnement par la communication de l'État de la communication européenne 3° le rôle de traduction de la communication de l'État 4° l'existence d'une scène politique partagée au niveau européen 5° le contrôle entier de l'État sur son monopole symbolique.
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Les rapports entre la communication de l'État et la communication européenne
Ce texte est issu d'une communication donnée au Gresec (Université Grenoble Alpes) à Échirolles, dans un colloque international intitulé "L'information-communication en Europe : perspectives nationales, transnationales ou comparatives", qui a eu lieu les 13 et 14 octobre 2016. Il s'agit d'un approfondissement des réflexions abordées lors de cette communication. Au travers de l'analyse des politiques de communications des membres de l'exécutif français (président et ministres) et des politiques de communication de la Commission européenne pendant trois crises financières internationales (Krach boursier de 1987, Crise asiatique de 1997-1998, Crise des Subprimes de 2007-2008), nous avons abordé la question des rapports politiques et symboliques entre l'État français et la Commission européenne. Les premiers résultats semblent indiquer les éléments suivants : 1° l'incompatibilité de la communication européenne avec le monopole de la représentation-incarnation de l'État 2° l'accompagnement par la communication de l'État de la communication européenne 3° le rôle de traduction de la communication de l'État 4° l'existence d'une scène politique partagée au niveau européen 5° le contrôle entier de l'État sur son monopole symbolique.
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Idéologie et communication
National audience ; "La psychologie sociale est la science des phénomènes de l'idéologie (cognitions et représentations sociales) et des phénomènes de communication." C'est ainsi que Serge Moscovici introduisait, il y a plus de vingt ans, un traité de psychologie sociale qui fait toujours référence (1984, p.7). Dans quelle mesure la psychologie sociale d'aujourd'hui rend-elle effectivement compte de ces deux registres de phénomènes ? Pour ce qui est l'idéologie, il s'agit d'une notion complexe qui subsume la plupart des notions de base de la discipline : représentations sociales en premier lieu, mais aussi attitudes, normes et valeurs, pour les plus étendues. Et la spécificité du regard psycho-social réside précisément dans la lecture idéologique qu'il peut proposer de phénomènes qui se manifestent aux niveaux individuel et inter-individuel (Cf. Wilhem Doise, 1982). Force est pourtant de constater que le terme même d'idéologie est d'une fréquence relativement faible dans le corpus des connaissances psycho-sociales ; et, plus fondamentalement, que les tentatives de conceptualiser l'idéologie y sont marginales. Mais il est vrai que l'on ne saurait ériger l'idéologie en objet de connaissance sans convoquer d'autres disciplines, sociologie et philosophie au premier chef, tandis que la psychologie sociale s'est progressivement transformée en une mosaïque de champs de recherche spécialisés. Il en émane des "micro-théories" non articulées entre elles, comme le regrette Alexandre Dorna (voir par exemple 2002), promoteur en France d'une psychologie politique qui quant à elle ne saurait se définir ni en faisant l'économie du concept d'idéologie, ni en négligeant les apports des autres sciences humaines et sociales. Il existe cependant un champ de la psychologie sociale expérimentale qui rend compte des mécanismes de la reproduction idéologique, champ dont le chef de file est Jean-Léon Beauvois, et qui sera présenté ici dans un premier temps. S'y dessinent notamment quelques caractéristiques essentielles de l'idéologie dominante dont on peut rendre compte via un modèle normatif de la nature humaine : le modèle personnologiste de l'individualisme libéral. Mais dans ces travaux, l'idéologie dominante n'est généralement pas traitée de front. De plus, il n'est pas aisé d'y trouver matière à articuler idéologie et communication. Il faut encore préciser que ces travaux s'inscrivent dans une perspective fonctionnaliste : ils mettent en évidence la fonction de reproduction des processus socio-cognitifs qu'ils décrivent.
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Idéologie et communication
National audience ; "La psychologie sociale est la science des phénomènes de l'idéologie (cognitions et représentations sociales) et des phénomènes de communication." C'est ainsi que Serge Moscovici introduisait, il y a plus de vingt ans, un traité de psychologie sociale qui fait toujours référence (1984, p.7). Dans quelle mesure la psychologie sociale d'aujourd'hui rend-elle effectivement compte de ces deux registres de phénomènes ? Pour ce qui est l'idéologie, il s'agit d'une notion complexe qui subsume la plupart des notions de base de la discipline : représentations sociales en premier lieu, mais aussi attitudes, normes et valeurs, pour les plus étendues. Et la spécificité du regard psycho-social réside précisément dans la lecture idéologique qu'il peut proposer de phénomènes qui se manifestent aux niveaux individuel et inter-individuel (Cf. Wilhem Doise, 1982). Force est pourtant de constater que le terme même d'idéologie est d'une fréquence relativement faible dans le corpus des connaissances psycho-sociales ; et, plus fondamentalement, que les tentatives de conceptualiser l'idéologie y sont marginales. Mais il est vrai que l'on ne saurait ériger l'idéologie en objet de connaissance sans convoquer d'autres disciplines, sociologie et philosophie au premier chef, tandis que la psychologie sociale s'est progressivement transformée en une mosaïque de champs de recherche spécialisés. Il en émane des "micro-théories" non articulées entre elles, comme le regrette Alexandre Dorna (voir par exemple 2002), promoteur en France d'une psychologie politique qui quant à elle ne saurait se définir ni en faisant l'économie du concept d'idéologie, ni en négligeant les apports des autres sciences humaines et sociales. Il existe cependant un champ de la psychologie sociale expérimentale qui rend compte des mécanismes de la reproduction idéologique, champ dont le chef de file est Jean-Léon Beauvois, et qui sera présenté ici dans un premier temps. S'y dessinent notamment quelques caractéristiques essentielles de l'idéologie ...
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L'injonction du numérique dans la communication politique : exemple de la communication gouvernementale
Ce mémoire tente de comprendre l'évolution du triptyque de la communication politique et des interactions entre les trois acteurs : la sphère médiatique, la sphère politique, les citoyens avec l'injonction des outils digitaux. Le canal numérique devient-il un canal exclusif de la communication politique ? Les hommes politiques doivent-ils réagir à l'immédiateté de l'opinion au détriment d'agir pour l'opinion ? Comment l'insertion du numérique dans la sphère politique et médiatique influe sur la relation gouvernants-gouvernés et la démocratie ? Nous analyserons cette évolution de la communication politique à travers une analyse de l'exercice du pouvoir du Premier ministre Manuel Valls, sur son utilisation des outils numériques, sa relation avec les citoyens, notamment sur l'espace numérique, et son omniprésence sur les deux agendas médiatiques et numériques. Ainsi qu'en interrogeant la notion d'espace public de Jurgen Habermas transposée sur l'espace numérique à travers les outils digitaux et les espaces de communication comme Facebook ou Twitter.
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L'injonction du numérique dans la communication politique : exemple de la communication gouvernementale
Ce mémoire tente de comprendre l'évolution du triptyque de la communication politique et des interactions entre les trois acteurs : la sphère médiatique, la sphère politique, les citoyens avec l'injonction des outils digitaux. Le canal numérique devient-il un canal exclusif de la communication politique ? Les hommes politiques doivent-ils réagir à l'immédiateté de l'opinion au détriment d'agir pour l'opinion ? Comment l'insertion du numérique dans la sphère politique et médiatique influe sur la relation gouvernants-gouvernés et la démocratie ? Nous analyserons cette évolution de la communication politique à travers une analyse de l'exercice du pouvoir du Premier ministre Manuel Valls, sur son utilisation des outils numériques, sa relation avec les citoyens, notamment sur l'espace numérique, et son omniprésence sur les deux agendas médiatiques et numériques. Ainsi qu'en interrogeant la notion d'espace public de Jurgen Habermas transposée sur l'espace numérique à travers les outils digitaux et les espaces de communication comme Facebook ou Twitter.
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L'injonction du numérique dans la communication politique : exemple de la communication gouvernementale
Ce mémoire tente de comprendre l'évolution du triptyque de la communication politique et des interactions entre les trois acteurs : la sphère médiatique, la sphère politique, les citoyens avec l'injonction des outils digitaux. Le canal numérique devient-il un canal exclusif de la communication politique ? Les hommes politiques doivent-ils réagir à l'immédiateté de l'opinion au détriment d'agir pour l'opinion ? Comment l'insertion du numérique dans la sphère politique et médiatique influe sur la relation gouvernants-gouvernés et la démocratie ? Nous analyserons cette évolution de la communication politique à travers une analyse de l'exercice du pouvoir du Premier ministre Manuel Valls, sur son utilisation des outils numériques, sa relation avec les citoyens, notamment sur l'espace numérique, et son omniprésence sur les deux agendas médiatiques et numériques. Ainsi qu'en interrogeant la notion d'espace public de Jurgen Habermas transposée sur l'espace numérique à travers les outils digitaux et les espaces de communication comme Facebook ou Twitter.
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Communication interculturelle: mode d'emploi
In: Questions contemporaines. Questions de communication
La communication publique
In: Revue française d'administration publique: publication trimestrielle, Heft 58, S. 185-295
ISSN: 0152-7401
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