Suchergebnisse
51 Ergebnisse
Sortierung:
Les discours de l'internet: nouveaux corpus, nouveaux modèles?
In: Les carnets du Cediscor 8
Securite et surete des donnees numeriques
In: Défense nationale et sécurité collective. [Französische Ausgabe], Band 61, Heft 11, S. 131-144
ISSN: 1950-3253, 0336-1489
Problems involved in protecting electronic data are scrutinized. An account of the preparation for a military aerial mission illustrates a diversity of tasks, data organization, and memory storage technologies. Methods of protecting and sharing data are outlined and long-term data storage options explained. Principles for managing the life cycle and quantity of data are noted.
Génération numérique et nouvelle économie
In: Agora: débats, jeunesses, Band 38, Heft 1, S. 98-111
ISSN: 1968-3758
The net generation and new economy
This article aims to draw the professional and social integration of the Net generation, i. e. young people who, keen on data processing, have oriented their studies on fields in phase with the " new economy" to which testify the multimedia, data processing and biotechnology. On the basis of an online survey and accounts of integration, the present analysis seeks to know if their integration in companies and in the society is established under the sign of the " Internet culture " in use in the new economy whose four qualities represent the keystone : flexibility, open-mind, innovation and immediacy.
Le CID - Corpus of Interactional Data -: protocoles, conventions, annotations
the analysis of language and speech is based on the study of a variety of areas ranging from phonetic to pragmatic, while taking into account the way in which they are expressed. For modern languages, while each area has a certain level of autonomy, it can only be explained in its interaction with others: linguistic information is the product of the convergence of multiple sources of information, which is also constrained by the environment in which the message was produced. Language analysis can therefore only be carried out taking into account the different ways in which information is expressed. However, to date, there is no integrated theory dealing with information from the different levels of the language chain, which is by its very nature a multi-modal sensory content. Although many annotation projects have developed in recent years, problems remain: annotated multimodal resources are hardly available for French; annotation standards do not fully meet needs and tools are not adapted. However, the development of this type of resources is useful in several respects, including the description of the information in each of the areas and their interactions. We present the Corpus of Interactional Data (CID), an audio and video corpus with 8 hours of dilogary in French, the annotations under consideration (phonetically, prosodic, morphosyntactical, mimo-gestual) and their state of implementation. ; L'analyse du langage et de la parole repose sur l'étude de domaines variés allant de la phonétique à la pragmatique, tout en prenant en compte les modalités de leur expression. Pour la linguistique moderne, si chaque domaine dispose d'un certain niveau d'autonomie, il ne peut être expliqué que dans son interaction avec les autres : l'information linguistique est le produit de la convergence de multiples sources d'information, information aussi contrainte par l'environnement où le message a été produit. L'analyse linguistique ne peut donc se faire qu'en tenant compte des différentes modalités d'expression de ...
BASE
Autoformation et contextes institutionnels : Une approche socio-historique
A entendre certains discours, qu'il s'agisse de politiques, de praticiens ou de commerciaux, on pourrait penser que l'autoformation est une émanation des technologies contemporaines, tel un effet qui leur serait inhérent et qui conduirait implacablement l'artefact technique à formater l'activité humaine. Dans l'enseignement supérieur, le maître, au sens noble du terme, se verrait détrôner par des sites spécialisés où il suffirait de se connecter. Les campus numériques ou autres universités virtuelles pourraient ainsi proposer, à n'importe quel étudiant dans le monde, tout le savoir disponible sur un sujet par le seul miracle du téléchargement. Avec les nouveaux fantasmes encyclopédiques et le rêve borgesien de la métabibliothèque labyrinthique à l'échelle planétaire, se téléscopent de vieilles chimères totalitaires qui excluent le facteur humain des activités d'apprentissage et de formation et achèvent de transformer ces processus complexes en simples produits marchands. [.]
BASE
Les utilisations de la visioconférence en France : des indices de changement éducatif
Dans l'enseignement, la visioconférence est généralement considérée comme un outil de « télé-présence », c'est-à-dire de transmission à distance de cours, sans changement de la manière habituelle d'enseigner. Cependant, les préconisations d'utilisation de la visioconférence formulées par des acteurs techniques, des prescripteurs politiques et des représentants de collectivités locales visent à transformer l'enseignement en lui assignant comme principal objectif l'aménagement du territoire, afin de réaliser des réductions de coûts, voire des économies d'échelle. Nous montrerons ici comment ces préconisations se heurtent aux actions des acteurs éducatifs, qui, en s'appuyant sur l'autonomie et l'égalité entre les établissements d'enseignement supérieur, s'approprient la visioconférence en l'insérant dans les modalités « traditionnelles » de partenariats et d'enseignement. Mais on ne doit pas en conclure pour autant que la visioconférence reproduit simplement l'enseignement « traditionnel ». La majorité des utilisations que nous avons observées ont en commun le fait de constituer des cours sur, et par, la visioconférence – ce que nous désignons par le syntagme « utilisations autoréférentielles ». Nous résumons ici quelques réflexions et résultats de la thèse que nous avons soutenue en décembre 2002 à l'Université Grenoble 3.
BASE
Autoformation et contextes institutionnels : Une approche socio-historique
A entendre certains discours, qu'il s'agisse de politiques, de praticiens ou de commerciaux, on pourrait penser que l'autoformation est une émanation des technologies contemporaines, tel un effet qui leur serait inhérent et qui conduirait implacablement l'artefact technique à formater l'activité humaine. Dans l'enseignement supérieur, le maître, au sens noble du terme, se verrait détrôner par des sites spécialisés où il suffirait de se connecter. Les campus numériques ou autres universités virtuelles pourraient ainsi proposer, à n'importe quel étudiant dans le monde, tout le savoir disponible sur un sujet par le seul miracle du téléchargement. Avec les nouveaux fantasmes encyclopédiques et le rêve borgesien de la métabibliothèque labyrinthique à l'échelle planétaire, se téléscopent de vieilles chimères totalitaires qui excluent le facteur humain des activités d'apprentissage et de formation et achèvent de transformer ces processus complexes en simples produits marchands. [.]
BASE
L'université et les technologies de l'information et de la communication : explosions, errements et doutes
Avec le Plan d'Action Gouvernemental pour l'entrée de la France dans la Société de l'Information (PAGSI, 1998), le Premier ministre fait des technologies de l'information et de la communication, à la suite du gouvernement étasunien et comme de nombreux autres responsables politiques européens, un axe fort de sa politique. Concernant l'ensemble des grands secteurs d'intervention de l'Etat, cette action vise le développement de l'Internet et des services qui peuvent lui être attachés, l'éducation constituant une priorité du programme. Même si l'enseignement scolaire est le premier concerné, plusieurs initiatives vont toucher l'enseignement supérieur. Trois opérations sont lancées entre 2000 et 2003 : campus numériques, environnements numériques de travail pour l'étudiant, universités numériques en région. Ainsi, de nombreuses expérimentations impliquant de nouveaux acteurs sont menées ici et là, dans des établissements souvent très dissemblables. Au-delà des conflits animés par des positions idéologiquement très tranchées, ces transformations en cours interrogent l'université tout autant qu'elles la révèlent. Nous proposons dans notre intervention de tracer les grandes lignes de force de cette situation nationale en rappelant l'antériorité de l'introduction des TIC à l'université et en montrant comment ces questions croisent le débat beaucoup plus large des missions de l'université.
BASE
Autoformation et contextes institutionnels : Une approche socio-historique
A entendre certains discours, qu'il s'agisse de politiques, de praticiens ou de commerciaux, on pourrait penser que l'autoformation est une émanation des technologies contemporaines, tel un effet qui leur serait inhérent et qui conduirait implacablement l'artefact technique à formater l'activité humaine. Dans l'enseignement supérieur, le maître, au sens noble du terme, se verrait détrôner par des sites spécialisés où il suffirait de se connecter. Les campus numériques ou autres universités virtuelles pourraient ainsi proposer, à n'importe quel étudiant dans le monde, tout le savoir disponible sur un sujet par le seul miracle du téléchargement. Avec les nouveaux fantasmes encyclopédiques et le rêve borgesien de la métabibliothèque labyrinthique à l'échelle planétaire, se téléscopent de vieilles chimères totalitaires qui excluent le facteur humain des activités d'apprentissage et de formation et achèvent de transformer ces processus complexes en simples produits marchands. [.]
BASE
L'université et les technologies de l'information et de la communication : explosions, errements et doutes
Avec le Plan d'Action Gouvernemental pour l'entrée de la France dans la Société de l'Information (PAGSI, 1998), le Premier ministre fait des technologies de l'information et de la communication, à la suite du gouvernement étasunien et comme de nombreux autres responsables politiques européens, un axe fort de sa politique. Concernant l'ensemble des grands secteurs d'intervention de l'Etat, cette action vise le développement de l'Internet et des services qui peuvent lui être attachés, l'éducation constituant une priorité du programme. Même si l'enseignement scolaire est le premier concerné, plusieurs initiatives vont toucher l'enseignement supérieur. Trois opérations sont lancées entre 2000 et 2003 : campus numériques, environnements numériques de travail pour l'étudiant, universités numériques en région. Ainsi, de nombreuses expérimentations impliquant de nouveaux acteurs sont menées ici et là, dans des établissements souvent très dissemblables. Au-delà des conflits animés par des positions idéologiquement très tranchées, ces transformations en cours interrogent l'université tout autant qu'elles la révèlent. Nous proposons dans notre intervention de tracer les grandes lignes de force de cette situation nationale en rappelant l'antériorité de l'introduction des TIC à l'université et en montrant comment ces questions croisent le débat beaucoup plus large des missions de l'université.
BASE
Autoformation et contextes institutionnels : Une approche socio-historique
A entendre certains discours, qu'il s'agisse de politiques, de praticiens ou de commerciaux, on pourrait penser que l'autoformation est une émanation des technologies contemporaines, tel un effet qui leur serait inhérent et qui conduirait implacablement l'artefact technique à formater l'activité humaine. Dans l'enseignement supérieur, le maître, au sens noble du terme, se verrait détrôner par des sites spécialisés où il suffirait de se connecter. Les campus numériques ou autres universités virtuelles pourraient ainsi proposer, à n'importe quel étudiant dans le monde, tout le savoir disponible sur un sujet par le seul miracle du téléchargement. Avec les nouveaux fantasmes encyclopédiques et le rêve borgesien de la métabibliothèque labyrinthique à l'échelle planétaire, se téléscopent de vieilles chimères totalitaires qui excluent le facteur humain des activités d'apprentissage et de formation et achèvent de transformer ces processus complexes en simples produits marchands. [.]
BASE
Technologies, éducation et formation
The links between education and technology had existed for a long time before the emergence of the socalled information and communication technologies. Their analysis comes within several fields of research such as computer science, education and cognitive sciences in addition to information and communication sciences (ICS),. ICS have obvious assets to speak for themselves: their interdisciplinary approaches enable them to connect the technical, social, semiotic and political levels. Besides, the goals and methods of information sciences fully intersect with those of communication sciences. ; Les liens entre éducation et technique, bien antérieurs à l'apparition des «technologies de l'information et de la communication» (Tic), relèvent de plusieurs disciplines: informatique, sciences de l'éducation, sciences de la cognition et Sic. Les Sic ont des atouts: leurs approches interdisciplinaires permettent d'articuler les niveaux technique, social, sémiotique, politique et les objets et méthodes des sciences de l'information rejoignent pleinement ceux des sciences de la communication
BASE
Technologies, éducation et formation
The links between education and technology had existed for a long time before the emergence of the socalled information and communication technologies. Their analysis comes within several fields of research such as computer science, education and cognitive sciences in addition to information and communication sciences (ICS),. ICS have obvious assets to speak for themselves: their interdisciplinary approaches enable them to connect the technical, social, semiotic and political levels. Besides, the goals and methods of information sciences fully intersect with those of communication sciences. ; Les liens entre éducation et technique, bien antérieurs à l'apparition des «technologies de l'information et de la communication» (Tic), relèvent de plusieurs disciplines: informatique, sciences de l'éducation, sciences de la cognition et Sic. Les Sic ont des atouts: leurs approches interdisciplinaires permettent d'articuler les niveaux technique, social, sémiotique, politique et les objets et méthodes des sciences de l'information rejoignent pleinement ceux des sciences de la communication
BASE