Devenir garçon, devenir fille
In: Sciences humaines: SH, Band 261, Heft 7, S. 19-19
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In: Sciences humaines: SH, Band 261, Heft 7, S. 19-19
In: Sciences humaines: SH, Band 261, Heft 7, S. 29-29
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 206, S. 27
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
El presente trabajo intentará dar cuenta de cómo se entrelazan mutuamente la filosofía y la cuestión política en Gilles Deleuze. Para llevar a cabo nuestro trabajo primero trataremos algunas formas de abordar la relación de la obra de Deleuze con la Política, el Estado y la Historia, señalando que su filosofía de la diferencia necesariamente debe comprenderse en términos de inmanencia y vida. Luego, buscaremos dar cuenta de las figuras políticas a las que recurre Deleuze en su obra y cómo se entrelazan y diferencian entre sí el sujeto político deleuziano (las minorías) de las mayorías. Posteriormente indagaremos sobre los elementos que impiden que su filosofía política recaiga en los dualismos tradicionales y por qué implica plantear un nuevo abordaje político en devenir. Finalmente, cerraremos nuestro trabajo con algunas conclusiones al respecto. ; This paper will attempt to give an account of how mutually intertwined philosophy and political issue in Gilles Deleuze. To carry out our work first we'll try to address the relationship of the work of Deleuze with the Politics, the state and history, noting that his philosophy of difference must necessarily be understood in terms of immanence and life. Then, we will seek to realize the political figures that Deleuze uses in his work and how they are intertwined and differ from each Deleuze's political subject (minorities) of the majority. Subsequently, we'll inquire about the elements that prevent political philosophy rests on traditional dualisms and why involves raising a new political approach in future. Finally, we will close our work with some conclusions about. ; Fil: Zícari, Julian Norberto. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas; Argentina. Universidad de Buenos Aires; Argentina
BASE
In: Multitudes, Band 85, Heft 4, S. 97-103
ISSN: 1777-5841
À l'âge de la catastrophe climatique, le « planétaire » renvoie souvent à des figures, des échelles et des approches censées être universelles de nos troubles terrestres. Les existences et subjectivités planétaires n'ont toutefois aucune évidence : ce sont des formes de responsabilité collective en train de s'inventer. À l'aide de l'analyse du planétaire proposée par Gayatri Spivak et de la reconsidération de l'humain comme praxis proposée par Sylvia Wynter, cet article esquisse la voie d'un devenir planétaire conçu comme une praxis. Un tel projet appelle des articulations pluralistes du planétaire, qui aillent au-delà d'une cohabitation étendue et plus juste.
In: Vie sociale: cahiers du CEDIAS, Band 10, Heft 2, S. 203-215
L'invention du « Welfare State » moderne ne peut être comprise sans être située dans un mouvement international plus large qui débute à la fin du xix e siècle et pousse toutes les nations industrielles à prendre au sérieux la question de l'insécurité ouvrière, puis à vouloir stabiliser le salariat, quitte à remettre en cause les principes de l'ordre libéral. Après la Seconde Guerre mondiale, le social est considéré comme le complément indispensable de l'économique (Déclaration de Philadelphie 1944). Les réalisations qui en sont issues permettront à Esping Andersen de parler de trois idéaux types : national universaliste, corporatiste continental et résiduel. Dans les années soixante-dix, l'installation durable dans la crise économique et sociale s'accompagne d'un nouveau référentiel libéral de l'action publique : les juristes reculent devant les économistes et les « managers ». Il faut « responsabiliser l'acteur social ». Au début du xxi e siècle un troisième moment se fait jour avec les Objectifs du millénaire pour le développement ( omd ), le social est réévalué comme condition de la cohésion sociale et de la croissance.
Notre monde suffoque. Tandis que la terre est exploitée sans limites par une course effrénée aux richesses, de trop nombreuses populations vivent dans une grande pauvreté, subissent discriminations ou violences... Que l'on se situe d'un point de vue social ou environnemental, l'urgence s'impose de construire un monde qui établisse de nouvelles relations avec le vivant. C'est là un des défis majeurs du xxie siècle. Cet essai appelle à porter sur la Nature un regard nouveau, radicalement différent de celui qui a permis à la Modernité occidentale de piller unelarge part de la planète et de l'humanité. Il nous invite à réaliser que nous ne sommes pas hors de l'univers ni dans l'univers : nous sommes l'univers. Séverine Kodjo-Grandvaux plaide pour une nouvelle manière d'être au monde en vibrant avec le tout-vivant. Pas seulement en harmonie avec le cosmos, mais surtout en éveil, à l'écoute, dans l'attention. Entrer en résonance et transformer l'écologie en une échologie. Alors pourra-t-on sortir de soi et habiter pleinement le monde. Pour être, enfin. Et devenir vivants.
In: Sciences humaines: SH, Band 288, Heft 1, S. 35-35
In: Genèses: sciences sociales et histoire, Band 70, Heft 1, S. 2-3
ISSN: 1776-2944
In: Cahiers d'anthropologie sociale, Band 2, Heft 2, S. 85-100
ISSN: 2728-3372
In: Communications, Band 70, Heft 1, S. 229-242
ISSN: 2102-5924
In: Autres temps: cahiers d'ethique sociale et politique, Band 39, Heft 1, S. 35-37
ISSN: 2261-1010
In: Actuel Marx, Band 45, Heft 1, S. 97-118
ISSN: 1969-6728