12 février 1927 ; 1927/02/12 (N1)-1927/02/26 (N3). ; Note : N1-3 ont paru sous le titre de : "L'Observateur. Hebdomadaire. Politique, diplomatie, arts littérature, sciences". ; Appartient à l'ensemble documentaire : MAEDI007 ; Appartient à l'ensemble documentaire : MAEDIGen0
05 mars 1927 ; 1927/03/05 (N4)-1927/03/26 (N7). ; Note : Le N4 a paru sous le titre de : "L'Observateur. Hebdomadaire. Politique, diplomatie, arts littérature, sciences. ; Appartient à l'ensemble documentaire : MAEDI007 ; Appartient à l'ensemble documentaire : MAEDIGen0
Obwohl die Reichstage des Alten Reiches mit ihrer europäischen Dimension und die multilateralen Kongresse als politische und soziale Handlungs- und Erfahrungsräume Unterschiede aufweisen, eröffnet ihre vergleichende Betrachtung spezifische Erkenntnispotentiale, denn die Einbeziehung beider Versammlungstypen erlaubt Beobachtungen in der longue durée über zwei Jahrhunderte hin. Reichstage und Kongresse sind als kulturelle Erfahrungsräume und als Orte der Generierung von Wissensbeständen über das Fremde durch Entwicklungsmuster geprägt, die tendenziell sinkende Alteritätserfahrungen erkennen lassen, sodass sich pointiert von einer "Ent-Fremdung" dieser Räume sprechen lässt. Die vatikanische Überlieferung avancierte tendenziell zu einem Ort gespeicherten und operationalisierten Wissens über frühere Missionen. Wissensgeschichtlich bedeutsame Entwicklungsstufen sind im Verhältnis zu konfessioneller Alterität zu erkennen. Für die ersten Jahrzehnte der Reformation belegen die Nuntiaturberichte, dass über konfessionelle Grenzen hinweg die humanistische Gelehrtenwelt mit ihren Normen eine Kommunikationsplattform für den Austausch über gelehrte Konversationsinhalte bildete. Nach einer Verhärtung konfessioneller Fronten ist auf den Kongressen in Nimwegen und Baden wieder ein offenerer transkonfessioneller intellektueller Austausch zu beobachten, mit beträchtlichen Folgen für die Potentiale von Wissensproduktion und -zirkulation.
In Russland und im Westen verfestigen sich zurzeit diametral entgegengesetzte Interpretationen der Krise in der Ukraine und der Rolle internationaler Akteure. Dass ein gemeinsames Verständnis von den Ereignissen fehlt, erschwert internationale Bemühungen um eine Lösung der Krise auf dem Verhandlungsweg. Die Unterschiede in den Interpretationen wurzeln in gegensätzlichen Narrativen von der Entwicklung der regionalen und internationalen Beziehungen in den vergangenen beiden Jahrzehnten. Bei der Formulierung westlicher Politik ist es wichtig, das russische Narrativ und die sich aus ihm ergebende Handlungslogik zu berücksichtigen. (SWP-Aktuell)
Dossier : « Diplomaties en renouvellement » (sous la direction de Laurence Badel et Stanislas Jeannesson) ; Dans le cadre de la LOLF (Loi organique relative aux lois de finances), de la RGPP (Révision générale des politiques publiques) ou de la modernisation de l'Etat, tout un ensemble de mesures visent à rationaliser, voire à réduire, l'action de l'Etat à l'étranger et à optimiser le travail des diplomates. Dans le même temps, certains auteurs vont parfois jusqu'à écrire qu'avec la forte croissance des rencontres entre responsables politiques de différents pays, la montée en puissance de nouveaux acteurs (ONG, entreprises, collectivités locales, organisations internationales.), les nouveaux moyens de communication (Internet, visioconférences.), le travail des diplomates perdrait de son importance, les relations internationales pouvant être conduites sans leur concours. Cette crainte n'est pas nouvelle mais est contredite par l'observation du travail quotidien des agents du ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE). Il semble en effet y avoir un hiatus important entre les théories sur la diplomatie, qui la présentent comme une pratique dépassée, et l'observation que l'on peut faire du travail quotidien des diplomates. Les différentes facettes de l'activité diplomatique peuvent se résumer en quatre verbes, souvent utilisés par les diplomates eux-mêmes lorsqu'ils parlent de leur travail : représenter, informer, négocier, organiser. Prises séparément, ces activités ne fondent pas un métier spécifique, mais c'est leur combinaison, la présence constante de ces quatre dimensions qui donne une tonalité particulière au travail diplomatique. Il n'est pas possible ici de reprendre une à une les différentes facettes du métier. Nous avons donc choisi de centrer l'analyse sur deux aspects du travail pertinents par rapport à la question de l'éventuelle évolution du rôle des diplomates : d'une part, l'augmentation des déplacements des responsables politiques et la place des diplomates dans la préparation des ...
Dossier : « Diplomaties en renouvellement » (sous la direction de Laurence Badel et Stanislas Jeannesson) ; Dans le cadre de la LOLF (Loi organique relative aux lois de finances), de la RGPP (Révision générale des politiques publiques) ou de la modernisation de l'Etat, tout un ensemble de mesures visent à rationaliser, voire à réduire, l'action de l'Etat à l'étranger et à optimiser le travail des diplomates. Dans le même temps, certains auteurs vont parfois jusqu'à écrire qu'avec la forte croissance des rencontres entre responsables politiques de différents pays, la montée en puissance de nouveaux acteurs (ONG, entreprises, collectivités locales, organisations internationales.), les nouveaux moyens de communication (Internet, visioconférences.), le travail des diplomates perdrait de son importance, les relations internationales pouvant être conduites sans leur concours. Cette crainte n'est pas nouvelle mais est contredite par l'observation du travail quotidien des agents du ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE). Il semble en effet y avoir un hiatus important entre les théories sur la diplomatie, qui la présentent comme une pratique dépassée, et l'observation que l'on peut faire du travail quotidien des diplomates. Les différentes facettes de l'activité diplomatique peuvent se résumer en quatre verbes, souvent utilisés par les diplomates eux-mêmes lorsqu'ils parlent de leur travail : représenter, informer, négocier, organiser. Prises séparément, ces activités ne fondent pas un métier spécifique, mais c'est leur combinaison, la présence constante de ces quatre dimensions qui donne une tonalité particulière au travail diplomatique. Il n'est pas possible ici de reprendre une à une les différentes facettes du métier. Nous avons donc choisi de centrer l'analyse sur deux aspects du travail pertinents par rapport à la question de l'éventuelle évolution du rôle des diplomates : d'une part, l'augmentation des déplacements des responsables politiques et la place des diplomates dans la préparation des voyages officiels ; d'autre part, l'impact des technologies de l'information et de la communication sur le travail d'information.
Dans le contexte des nouvelles relations internationales forgées par la Seconde Guerre mondiale, le Grand-Duché de Luxembourg s'affirme comme un acteur de marque du multilatéralisme, en tant que membre fondateur de la plupart des grandes institutions internationales - l'Organisation des Nations unies (1945), l'Organisation du traité de l'Atlantique du Nord (1949), le Conseil de l'Europe (1949),- ainsi que de l'intégration européenne, à commencer par la Communauté européenne du Charbon et de l'Acier (1951), dont les premières institutions sont accueillies à Luxembourg. L'adhésion aux systèmes d'alliances atlantique et européennes s'accompagne d'une nouvelle politique extérieure luxembourgeoise sous l'impulsion du légendaire ministre des Affaires étrangères Joseph Bech (1887-1975). Après la Libération, il porte une attention particulière à l'organisation institutionnelle du ministère des Affaires étrangères, à la professionnalisation de la diplomatie nationale et à la formation d'un corps diplomatique d'excellence, pour représenter le pays dans le monde, pour promouvoir ses valeurs et pour défendre ses intérêts à travers la coopération internationale bi- et multilatérale.