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A travers cette recherche, on a compris que l'entreprise ne décide de pénétrer des marchés étrangers qu'après avoir étudié de nombreux facteurs. La décision devra également tenir compte des possibilités financières de l'entreprise, du comportement de ses concurrents, et de la pertinence de ses différentes stratégies d'entrée entre autres. Alors, lorsqu'elle envisage une expansion internationale, elle doit faire correspondre sa stratégie internationale avec ses objectifs et évaluer à la fois ses points forts et ses points faibles, ainsi que les opportunités et les risques que des activités à l'étranger pourraient impliquer. Actuellement tous les pays du monde donnent une importance capitale à l'investissement étranger. Le but est d'attirer des investisseurs étrangers tout en leurs y aménageant des conditions favorables, et l'Algérie un de ces pays qui a encourager l'investissements étranger par le biais des lois de 1993 et 2001 qui ont pour objectifs l'amélioration du climat d'investissement par la politique de motivation financières, exonération des taxes douanières, dispense de la taxe foncière. Cette recherche s'appui sur une étude de cas dans l'entreprise Danone Algérie reconnue par ses divers produits et sa position sur le marché mondial de l'agroalimentaire. L'objectif général de cette étude est de mieux comprendre d'une part le comportement stratégique de l'entreprise à l'international, et d'autre part d'analyser les méthodes d'implantation et son développement.

Contrairement à l'opinion qui prévaut, l'histoire des investissements occidentaux directs dans les économies centralement planifiées est déjà longue. Dès les années vingts, le gouvernement de la Russie soviétique a spécialement promulgué un décret sur les investissements dits en concession ouvrant ainsi le pays aux investisseurs étrangers.
L'idée d'appliquer certaines formes de participation étrangère en tant qu'instrument de la coopération inter-systémique a réapparu vers la fin des années soixante et a pris toute sa force dans les années soixante-dix et quatre-vingts. Aujourd'hui, les premières émotions passées, les sociétés mixtes sont devenues une réalité dans les relations économiques Est-Ouest.
L'auteur entend analyser, dans le cadre d'une approche comparative, les motivations sous-jacentes à ces réalisations, l'évolution des réglementations, la dimension, les formes et la structure industrielle des investissements occidentaux ainsi que leur poids dans les économies de quatre pays socialistes : la Roumanie, la Hongrie, la Pologne et la Bulgarie.
Il en conclut que leur importance est jusqu'ici négligeable et loin des attentes initiales. Cependant, l'attitude des décideurs des pays socialistes à leur égard paraît rester positive puisque le nombre de ceux qui autorisent des investissements occidentaux s'accroît et que les législations afférentes se libéralisent de jour en jour dans les pays qui ont été les premiers à faire ce choix.

Nombreux sont les travaux qui montrent que les employés et les firmes du pays d'accueil bénéficient des innovations techniques et organisationnelles des investisseurs étrangers. Or, ces innovations constituent un avantage concurrentiel que l'investisseur va essayer de préserver en limitant ce transfert de connaissances par des mesures de protection de son savoir-faire. Dès lors, on peut se demander si le transfert est réel et dans quelle mesure il profite aux employés ? Pour répondre à cette question, nous avons procédé à une étude de cas de quatre entreprises étrangères installées en Pologne dans la région de Lodz.

This book is an effort to provide a "primary source", a guide for Chinese/American cross-cultural negotiations, which has been constructed and amassed by professionals living and working in China. Research included personal interviews, surveys, case studies, face-to-face negotiations, and consulting, melded with a broad body of international business. This book that has two focuses, China market entry and negotiations, Both China and the United States are vast, complex markets, with different histories and cultures. China market entry requires extensive research and understanding, of the inextricably linked elements of (a) how business is managed in China, (b) understanding the China market, and (c) negotiating all elements of your China market entry and ongoing business. To be successful in China, your firm will face these elements in terms of explicable and solvable activities. Research into data, theory, and perceptual cultural differences between your firm and your Chinese counterparts adds magnitude to your China overall business strategy, and mandatory and essential negotiations. Dr. Steven J. Clarke arrived in academia in 2017 after spending 45+ years in international business. He is currently an Hinrich Foundation Honorary Global Trade Leader, having collaborated with the Hinrich Foundation and RMIT University on the state of the art Masters of Global Trade (by industry for industry) program, helping the future global trade leaders meet the dynamic and contemporary issues facing business leaders improving sustainable trade, benefitting many and contributing to great levels of peace. In 1998, Steve moved to Bangkok, Thailand, where he consulted for retail stores and brands in Asia, including Central Department Stores, Robinson Department Store, Nike, Adidas and Reebok. He was responsible for the design and sourcing for brands and retail, including men's furnishing, sportswear, sport apparel, kids and outerwear. In 2002, he founded Freesia Development in Shanghai with government officials in China to help foreign companies enter the market.

Résumé Cet article analyse l'influence de la préférence des consommateurs pour les biens nationaux sur le choix d'une entreprise étrangère entre exportation et investissement direct. Nous faisons apparaître un aspect particulier de l'interdépendance des entreprises : l'investissement direct se justifie, non pas par la détention d'un avantage concurrentiel par rapport au concurrent local, mais résulte au contraire d'un rapport de force défavorable à l'entreprise étrangère.