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Afrique-France: comme on se retrouve!
In: Jeune Afrique, Band 54, Heft 2760, S. 62-104
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Reconstruire l'Afrique: nouvelle gouvernance et projet de développement
In: L' ésprit économique
In: Le monde en question
Autopsie du développement pernicieux: le cas du Togo ; (1963 - 2013)
In: Etudes africaines
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Les modèles d'organisation des filières cotonnières et leur incidence sur la productivité et sur le revenu de l'agriculteur
Le coton est l'une des cultures de rente les plus importantes en Afrique subsaharienne où il est presque exclusivement cultivé par de petits exploitants agricoles. On y dénombre environ 1,7 million de cotonculteurs, qui plantent du coton en rotation avec des cultures vivrières. La plupart des ménages africains cultivant le coton vivent toujours en dessous du seuil de pauvreté de 1,5 USD par jour, même si la filière cotonnière est relativement bien organisée et présente une infrastructure développée avec des services de conseil agricole, des institutions de recherche et de développement des semences établies dans de nombreuses régions d'Afrique. Par rapport à d'autres régions du monde productrices de coton, les conditions de culture en Afrique révèlent également un haut niveau de biodiversité, une utilisation durable de l'eau (due à la pratique de l'agriculture pluviale) et une utilisation de pesticides relativement modeste. À cet égard, la filière du coton africain offre de bonnes opportunités pour l'introduction de politiques ciblées de lutte contre la pauvreté, de sécurisation alimentaire et de mise en oeuvre de méthodes agricoles écologiques. La filière du coton dans plusieurs pays d'Afrique subsaharienne présente des modèles organisationnels divers, allant de la concurrence atomistique à des structures monopolistiques. Ces modèles diffèrent dans le type de services fournis et dans les contrats d'achat proposés aux petits exploitants agricoles. Il en résulte le débat actuel pour savoir quelle forme d'organisation de la filière cotonnière procure le plus d'avantages aux agriculteurs. La présente étude contribuera à la discussion en comparant les différents modèles d'organisation de la filière en fonction de plusieurs indicateurs clés, à savoir leur capacité à réduire la contamination du coton, à fournir des intrants et à augmenter les rendements et les revenus des agriculteurs. Cette étude élargira également le débat en introduisant de nouveaux critères pour évaluer l'efficacité de ces modèles organisationnels, comme leur capacité à stabiliser les prix d'achat pour les producteurs, leur aptitude à associer culture du coton et cultures vivrières, ainsi que leur capacité à garantir la durabilité sociale et écologique aux acheteurs de textile en coton dans le secteur de la distribution. Cette étude montre que les modèles d'organisation basés sur l'agriculture contractuelle donnent de meilleurs résultats que les structures reposant sur la concurrence atomistique et ce, pour presque tous les critères. Mais elle confirme également que chaque pays devrait, plutôt que de chercher à reproduire un modèle standard, concevoir son propre système d'organisation de la filière cotonnière en prenant en considération les structures développées historiquement ainsi que les pratiques, les attentes et les modèles de comportement des parties prenantes. La base empirique de cette étude comprend les connaissances et l'expérience acquises sur de nombreuses années grâce au programme de la Competitive African Cotton Initiative (COMPACI). Un riche ensemble de données établi à partir des partenaires africains de COMPACI a été analysé. Le programme COMPACI s'efforce d'améliorer le revenu et les conditions de vie de près de 500 000 petits producteurs de coton africains dans sept pays (Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Malawi, Mozambique, Zambie et Cameroun).
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L'ambiguïté du limes: quel avenir de la politique Européenne de voisinage?
In: Studia politica: Romanian political science review ; revista română de ştiinţă politică, Band 14, Heft 4, S. 471-481
The approach of the European Union towards several regions that might be considered as "gates" to the rest of the world, such as North Africa and the Middle East or the Black Sea area, is becoming more and more ambiguous. This is certainly a paradox, since the actual conditions of world politics would seem to require, on the contrary, a more integrated strategy, and one that is more oriented towards clearly defined objectives. This article proposes a comparative reading of the different European initiatives linked to the European Neighborhood Policy addressed to the two above-mentioned regions: the Barcelona Process, EuroMed and the Union for the Mediterranean, on the one hand, and the Black Sea Synergy and the Eastern Partnership, on the other hand. The content of these cooperations, as well as their objectives and the State and other institutional actors that contribute to them will be examined. The ambiguous nature and the lack of global coherence of these initiatives can be explained through the competition among member States but also among the European institutions in their attempts to assume a leadership position in these policies. Another explanation is the lack of a properly political global strategy of the EU, that should gather the consensus of all member States and link the technical and economic aspects of cooperation to a wider vision of the role and the objectives of the EU in the world.
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