International audience ; [Among its many concepts, the science of the population uses two apparently close terms: depopulation, or deficit of births over deaths, and population decline. Demographic developments in and within the European Union illustrate the nuances between these two concepts.] ; Parmi ses nombreux concepts, la science de la population utilise deux termes apparemment proches : dépopulation et dépeuplement. Les évolutions démographiques de et au sein de l'Union européenne permettent d'illustrer les nuances entre ces deux concepts.
International audience ; [Among its many concepts, the science of the population uses two apparently close terms: depopulation, or deficit of births over deaths, and population decline. Demographic developments in and within the European Union illustrate the nuances between these two concepts.] ; Parmi ses nombreux concepts, la science de la population utilise deux termes apparemment proches : dépopulation et dépeuplement. Les évolutions démographiques de et au sein de l'Union européenne permettent d'illustrer les nuances entre ces deux concepts.
With the beginning of the year 1999, a further important step towards deeper integration of Europe took place: The European Monetary Union (EMU) was put into force. Undoubtedly, this has, beside other effects, also considerable effects on the economic geography of the integrating area. Possible and probable spatial effects of EMU was the motive to establish an international working group within the ARL-DATAR (Délégati-on à l'Aménagement du Territoire et à l'Action Régionale) cooperation agreement in order to shed some light on these effects. The present volume consists of papers having been elaborated by members of the working group. Considerations are made with regard to - consequences for the regions of a changed relationship in which countries being members of the euro-zone stand to each other, - macroeconomic consequences for regions of their being a member of EMU, - effects of the possible concentration of industrial activities in regions and of trends towards specialisation of regions in certain industries, - effects of EMU using a multiregional general equilibrium model, - distinguishing between static and dynamic effects of the Euro. Based on these deliberations recommendations are formulated and spatial orientated policy conclusions are given even though one fear seems to be unfounded: the aim of territorial cohesion in the EU seems not to be touched systematically by the common currency in a negative way.
Introduction / Giuliana Laschi and Marco Balboni. - Les origines de la "question du Sahara Occidental" : enjeux historiques, defis politiques / Francesco Correale. - The principle, the right of self-determination and the people of Western Sahara / Carlos Ruiz Miguel. - Fish before peace : the EU's controversial fisheries in occupied Western Sahara / Herik Hagen. - The principle of sovereignty of natural resources and its consequences / Hans Corell. - Legal aspects of the European Union's approach towards Western Sahara / Ricardo Passos. - The 2013 fisheries protocol between the EU and Morocco : fishing "too south" continues? / Enrico Milano
En juin 2016, les électeurs britanniques ont fait le choix du Brexit, ouvrant ainsi une nouvelle crise au sein de l'Union européenne. Contrairement à ce qui avait pu être craint, force est de constater qu'il y a pas eu pour l'instant de choc financier de grande ampleur. Les bourses mondiales ont bien résisté. Le vote s'est cependant traduit par une baisse de la livre vis-à-vis des autres monnaies. La croissance au Royaume-Uni devrait néanmoins fortement ralentir à partir de 2017 mais la zone euro et le reste de l'économie mondiale ne serait que modérément affectée à court terme. La croissance des pays industrialisés marquerait le pas en 2016 et se stabiliserait à 1,5 % jusqu'en 2018. La baisse du pétrole avait soutenu le pouvoir d'achat des ménages en 2015, mais ce soutien s'arrêterait avec la remontée du prix. La politique monétaire aux États-Unis resterait expansionniste, mais la normalisation graduelle des taux d'intérêt atténuerait le soutien. En revanche, l'économie américaine serait moins pénalisée par l'appréciation du dollar. Inversement, la baisse de l'euro qui avait soutenu la croissance des pays de lazone en 2015 jouerait également de façon moins favorable. Dans ces conditions, le chômage continuerait certes à baisser mais à un rythme beaucoup moinsrapide, si bien que fin 2018 le chômage dans la zone euro serait toujours supérieur à celui de l'année 2007. L'inflation n'atteindrait pas la cible de 2 %. Ainsi, bien que le mouvement de reprise ne serait pas interrompu, sauf pour le Royaume-Uni, il resterait trop lent et insuffisant pour effacer les stigmates laissés par la Grande Récession et la crise des dettes souveraines. Malgré le ralentissement des pays industrialisés, l'économie mondiale retrouverait un rythme de croissance proche de 3 % à partir de 2017. Le ralentissement de l'économie chinoise se poursuivrait mais serait compensé par la forte croissance de l'Inde et la sortie anticipée de récession en Russie et au Brésil.
En juin 2016, les électeurs britanniques ont fait le choix du Brexit, ouvrant ainsi une nouvelle crise au sein de l'Union européenne. Contrairement à ce qui avait pu être craint, force est de constater qu'il y a pas eu pour l'instant de choc financier de grande ampleur. Les bourses mondiales ont bien résisté. Le vote s'est cependant traduit par une baisse de la livre vis-à-vis des autres monnaies. La croissance au Royaume-Uni devrait néanmoins fortement ralentir à partir de 2017 mais la zone euro et le reste de l'économie mondiale ne serait que modérément affectée à court terme. La croissance des pays industrialisés marquerait le pas en 2016 et se stabiliserait à 1,5 % jusqu'en 2018. La baisse du pétrole avait soutenu le pouvoir d'achat des ménages en 2015, mais ce soutien s'arrêterait avec la remontée du prix. La politique monétaire aux États-Unis resterait expansionniste, mais la normalisation graduelle des taux d'intérêt atténuerait le soutien. En revanche, l'économie américaine serait moins pénalisée par l'appréciation du dollar. Inversement, la baisse de l'euro qui avait soutenu la croissance des pays de lazone en 2015 jouerait également de façon moins favorable. Dans ces conditions, le chômage continuerait certes à baisser mais à un rythme beaucoup moinsrapide, si bien que fin 2018 le chômage dans la zone euro serait toujours supérieur à celui de l'année 2007. L'inflation n'atteindrait pas la cible de 2 %. Ainsi, bien que le mouvement de reprise ne serait pas interrompu, sauf pour le Royaume-Uni, il resterait trop lent et insuffisant pour effacer les stigmates laissés par la Grande Récession et la crise des dettes souveraines. Malgré le ralentissement des pays industrialisés, l'économie mondiale retrouverait un rythme de croissance proche de 3 % à partir de 2017. Le ralentissement de l'économie chinoise se poursuivrait mais serait compensé par la forte croissance de l'Inde et la sortie anticipée de récession en Russie et au Brésil.
En juin 2016, les électeurs britanniques ont fait le choix du Brexit, ouvrant ainsi une nouvelle crise au sein de l'Union européenne. Contrairement à ce qui avait pu être craint, force est de constater qu'il y a pas eu pour l'instant de choc financier de grande ampleur. Les bourses mondiales ont bien résisté. Le vote s'est cependant traduit par une baisse de la livre vis-à-vis des autres monnaies. La croissance au Royaume-Uni devrait néanmoins fortement ralentir à partir de 2017 mais la zone euro et le reste de l'économie mondiale ne serait que modérément affectée à court terme. La croissance des pays industrialisés marquerait le pas en 2016 et se stabiliserait à 1,5 % jusqu'en 2018. La baisse du pétrole avait soutenu le pouvoir d'achat des ménages en 2015, mais ce soutien s'arrêterait avec la remontée du prix. La politique monétaire aux États-Unis resterait expansionniste, mais la normalisation graduelle des taux d'intérêt atténuerait le soutien. En revanche, l'économie américaine serait moins pénalisée par l'appréciation du dollar. Inversement, la baisse de l'euro qui avait soutenu la croissance des pays de lazone en 2015 jouerait également de façon moins favorable. Dans ces conditions, le chômage continuerait certes à baisser mais à un rythme beaucoup moinsrapide, si bien que fin 2018 le chômage dans la zone euro serait toujours supérieur à celui de l'année 2007. L'inflation n'atteindrait pas la cible de 2 %. Ainsi, bien que le mouvement de reprise ne serait pas interrompu, sauf pour le Royaume-Uni, il resterait trop lent et insuffisant pour effacer les stigmates laissés par la Grande Récession et la crise des dettes souveraines. Malgré le ralentissement des pays industrialisés, l'économie mondiale retrouverait un rythme de croissance proche de 3 % à partir de 2017. Le ralentissement de l'économie chinoise se poursuivrait mais serait compensé par la forte croissance de l'Inde et la sortie anticipée de récession en Russie et au Brésil.
En juin 2016, les électeurs britanniques ont fait le choix du Brexit, ouvrant ainsi une nouvelle crise au sein de l'Union européenne. Contrairement à ce qui avait pu être craint, force est de constater qu'il y a pas eu pour l'instant de choc financier de grande ampleur. Les bourses mondiales ont bien résisté. Le vote s'est cependant traduit par une baisse de la livre vis-à-vis des autres monnaies. La croissance au Royaume-Uni devrait néanmoins fortement ralentir à partir de 2017 mais la zone euro et le reste de l'économie mondiale ne serait que modérément affectée à court terme. La croissance des pays industrialisés marquerait le pas en 2016 et se stabiliserait à 1,5 % jusqu'en 2018. La baisse du pétrole avait soutenu le pouvoir d'achat des ménages en 2015, mais ce soutien s'arrêterait avec la remontée du prix. La politique monétaire aux États-Unis resterait expansionniste, mais la normalisation graduelle des taux d'intérêt atténuerait le soutien. En revanche, l'économie américaine serait moins pénalisée par l'appréciation du dollar. Inversement, la baisse de l'euro qui avait soutenu la croissance des pays de lazone en 2015 jouerait également de façon moins favorable. Dans ces conditions, le chômage continuerait certes à baisser mais à un rythme beaucoup moinsrapide, si bien que fin 2018 le chômage dans la zone euro serait toujours supérieur à celui de l'année 2007. L'inflation n'atteindrait pas la cible de 2 %. Ainsi, bien que le mouvement de reprise ne serait pas interrompu, sauf pour le Royaume-Uni, il resterait trop lent et insuffisant pour effacer les stigmates laissés par la Grande Récession et la crise des dettes souveraines. Malgré le ralentissement des pays industrialisés, l'économie mondiale retrouverait un rythme de croissance proche de 3 % à partir de 2017. Le ralentissement de l'économie chinoise se poursuivrait mais serait compensé par la forte croissance de l'Inde et la sortie anticipée de récession en Russie et au Brésil.
En juin 2016, les électeurs britanniques ont fait le choix du Brexit, ouvrant ainsi une nouvelle crise au sein de l'Union européenne. Contrairement à ce qui avait pu être craint, force est de constater qu'il y a pas eu pour l'instant de choc financier de grande ampleur. Les bourses mondiales ont bien résisté. Le vote s'est cependant traduit par une baisse de la livre vis-à-vis des autres monnaies. La croissance au Royaume-Uni devrait néanmoins fortement ralentir à partir de 2017 mais la zone euro et le reste de l'économie mondiale ne serait que modérément affectée à court terme. La croissance des pays industrialisés marquerait le pas en 2016 et se stabiliserait à 1,5 % jusqu'en 2018. La baisse du pétrole avait soutenu le pouvoir d'achat des ménages en 2015, mais ce soutien s'arrêterait avec la remontée du prix. La politique monétaire aux États-Unis resterait expansionniste, mais la normalisation graduelle des taux d'intérêt atténuerait le soutien. En revanche, l'économie américaine serait moins pénalisée par l'appréciation du dollar. Inversement, la baisse de l'euro qui avait soutenu la croissance des pays de lazone en 2015 jouerait également de façon moins favorable. Dans ces conditions, le chômage continuerait certes à baisser mais à un rythme beaucoup moinsrapide, si bien que fin 2018 le chômage dans la zone euro serait toujours supérieur à celui de l'année 2007. L'inflation n'atteindrait pas la cible de 2 %. Ainsi, bien que le mouvement de reprise ne serait pas interrompu, sauf pour le Royaume-Uni, il resterait trop lent et insuffisant pour effacer les stigmates laissés par la Grande Récession et la crise des dettes souveraines. Malgré le ralentissement des pays industrialisés, l'économie mondiale retrouverait un rythme de croissance proche de 3 % à partir de 2017. Le ralentissement de l'économie chinoise se poursuivrait mais serait compensé par la forte croissance de l'Inde et la sortie anticipée de récession en Russie et au Brésil.
En juin 2016, les électeurs britanniques ont fait le choix du Brexit, ouvrant ainsi une nouvelle crise au sein de l'Union européenne. Contrairement à ce qui avait pu être craint, force est de constater qu'il y a pas eu pour l'instant de choc financier de grande ampleur. Les bourses mondiales ont bien résisté. Le vote s'est cependant traduit par une baisse de la livre vis-à-vis des autres monnaies. La croissance au Royaume-Uni devrait néanmoins fortement ralentir à partir de 2017 mais la zone euro et le reste de l'économie mondiale ne serait que modérément affectée à court terme. La croissance des pays industrialisés marquerait le pas en 2016 et se stabiliserait à 1,5 % jusqu'en 2018. La baisse du pétrole avait soutenu le pouvoir d'achat des ménages en 2015, mais ce soutien s'arrêterait avec la remontée du prix. La politique monétaire aux États-Unis resterait expansionniste, mais la normalisation graduelle des taux d'intérêt atténuerait le soutien. En revanche, l'économie américaine serait moins pénalisée par l'appréciation du dollar. Inversement, la baisse de l'euro qui avait soutenu la croissance des pays de lazone en 2015 jouerait également de façon moins favorable. Dans ces conditions, le chômage continuerait certes à baisser mais à un rythme beaucoup moinsrapide, si bien que fin 2018 le chômage dans la zone euro serait toujours supérieur à celui de l'année 2007. L'inflation n'atteindrait pas la cible de 2 %. Ainsi, bien que le mouvement de reprise ne serait pas interrompu, sauf pour le Royaume-Uni, il resterait trop lent et insuffisant pour effacer les stigmates laissés par la Grande Récession et la crise des dettes souveraines. Malgré le ralentissement des pays industrialisés, l'économie mondiale retrouverait un rythme de croissance proche de 3 % à partir de 2017. Le ralentissement de l'économie chinoise se poursuivrait mais serait compensé par la forte croissance de l'Inde et la sortie anticipée de récession en Russie et au Brésil.