Understanding Euroscepticism
In: Revue française de science politique, Band 61, Heft 6, S. 1174-1175
ISSN: 0035-2950
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In: Revue française de science politique, Band 61, Heft 6, S. 1174-1175
ISSN: 0035-2950
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 373, Heft 3, S. 29-44
ISSN: 2410-9231
Le résultat des élections parlementaires européennes de 2014 est largement perçu comme ayant été une victoire pour l'euroscepticisme et les acteurs politiques qui veulent la sortie de leurs pays de l'UE. Le récit des médias a mis l'accent en particulier sur le succès des eurosceptiques (Szczerbiak & Taggart : 2004) de l'UKIP en Grande-Bretagne et du Front national (FN) en France, qui ont émergé comme les plus grands partis, dans leur pays respectif, avec le vote des élections européennes. Cet article soutient, cependant, que ce récit spécifique débouche sur une conclusion trop nuancée du résultat des élections. Il souligne que le résultat des élections est la nature différenciée des euroscepticismes qui ont émergé à travers l'UE. En examinant plusieurs cas – le cas de l'Irlande, de la France, de la Grèce, de la Pologne, de l'Espagne et du Royaume-Uni – il montre que la nature de l'opposition à l'intégration européenne exprimée par les partis « vainqueurs » des élections européennes dans chaque État varie de façon significative. Voir ces résultats à travers le prisme du 'withdrawalist' du FN et de l'UKIP conduit à exclure l'émergence des opposants à l'intégration européenne dont la position est fondée sur une critique des politiques adoptées par l'UE pour faire face à la crise économique et financière européenne. L'article conclut en replaçant l'émergence de cet euroscepticisme dans le contexte de l'impact catastrophique de la crise sur l'économie européenne, et comment elle n'est pas seulement compréhensible, mais peut-être même mise en sourdine compte tenu de la dévastation causée par la crise.
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 373, Heft 3, S. 7-28
ISSN: 2410-9231
Les élections européennes de mai 2014 ont été dominées par la poussée des forces eurosceptiques. La nature de cette mobilisation demeure toutefois profondément hétérogène, entre euroscepticisme « soft » mainstream et formes plus radicales d'opposition à la construction européenne, qu'incarnent en particulier les droites radicales populistes. L'analyse de ce succès suggère la conjonction d'un vote protestataire à l'échelle nationale sur fond de crise économique, et d'un rejet croissant de l'Union, notamment à l'ouest de l'Europe. Les enjeux européens ont occupé une place centrale dans l'offre programmatique des principaux acteurs de la droite radicale populiste européenne. Ces derniers ont articulé un discours protectionniste et anti-immigration, assorti d'une critique forte des plans d'austérité et de sauvetage de l'Euro, consolidant leur base électorale populaire. L'analyse de leurs performances montre cependant d'importantes variations, qui témoignent de la fragmentation de cette famille politique et de son incapacité à se constituer en force organisée au sein du Parlement européen.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Heft 4, S. 927-928
ISSN: 0032-342X
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 373, Heft 3, S. 66-78
ISSN: 2410-9231
L'Euroscepticisme est loin d'être un phénomène nouveau et il est largement antérieur au déclenchement de la crise financière. En effet, le détachement inquiétant entre les citoyens européens et les institutions de l'Union européenne a été une question centrale du débat public européen au cours des deux dernières décennies, pendant lesquelles le soutien populaire et gouvernemental à l'intégration européenne a constamment diminué dans la majorité des États membres. Cependant, initialement l'Italie se distingue parce qu'elle a suivi une tendance inverse dans le panorama eurosceptique croissant en Europe. Inspirée par des personnalités fédéralistes pro-européennes italiennes telles que Mario Albertini ou Altiero Spinelli, l'Italie a été considérée comme l'un des membres de l'Union les plus pro-européens. Pourtant, la Grande Récession et la crise de la dette publique de la zone euro ont entraîné l'apparition de nouveaux mouvements antieuropéens contre l'ordre établi dans les États membres, l'Italie incluse. À ce jour, avec seulement 34 pour cent des Italiens qui font encore confiance aux institutions européennes, le pro-européanisme italien à la Albertini semble soudain être en question.
In: Le débat: histoire, politique, société ; revue mensuelle, Band 193, Heft 1, S. 129-136
ISSN: 2111-4587
In: Revue politique et parlementaire, Band 116, Heft 1070, S. 137-160
ISSN: 0035-385X
World Affairs Online
In: Annuaire français de relations internationales, Band 9, S. 389-405
World Affairs Online
In: Revue française de science politique, Band 55, Heft 2, S. 341-342
ISSN: 0035-2950
In: L' Europe en formation: revue d'études sur la construction européenne et le fédéralisme = journal of studies on European integration and federalism, Band 364, Heft 2, S. 323-342
ISSN: 2410-9231
Résumé En étudiant les points communs et les différences entre les partis eurosceptiques de cinq états membres de l'Union européenne (Bulgarie, Finlande, Hongrie, Pays-Bas, Royaume-Uni), et en se fondant sur une définition et une classification des partis eurosceptiques, cet article démontre que l'euroscepticisme dans les nouveaux États membres ne devrait pas être perçu comme un retour au nationalisme ni à la période précédant le processus d'adhésion. Lorsque l'on compare les eurosceptiques dans les nouveaux et les anciens États membres, les partis eurosceptiques doivent être considérés comme une partie intégrante du processus d'européanisation: s'il est question de matières relevant de l'intégration européenne, il y aura toujours des opposants exprimant leur crainte de la perte de l'identité nationale à partir de ces partis eurosceptiques.
In: Politique européenne, Band 57, Heft 3, S. 178-186
ISSN: 2105-2875
In: Revue française de science politique, Band 55, Heft 2, S. 341-342
ISSN: 0035-2950
A review essay on a book by Anthony Forster, Euroscepticism in Contemporary British Politics: Opposition to Europe in the British Conservative and Labour Parties since 1945 (London: Routledge, 2002). Adapted from the source document.
In: Critique internationale: revue comparative de sciences sociales, Heft 3, S. 79-101
ISSN: 1149-9818, 1290-7839
Starting with a historical overview of the political struggle against the European integration project since the 1960s, this article underlines the both permanent & changing features of British Euroscepticism. The most recent period has seen a flourishing of skeptical groups that have formed not only outside the parliamentary arena but the two main parties as well. European issues have become an increasingly prominent feature in British politics, weakening the bipartisan system by prompting factionism, the creation of new parties, the rise of new way of doing politics & the political involvement of social groups. British Euroscepticism revolves around concerns over socio-economical, political & geopolitical issues. These three arguments reflect three different kinds of discourses: utilitarian (Is European integration good for British economy?), institutional (Does European involvement in the EU undermine the British parliament's sovereignty?) & (inter)nationalist (Is EU membership compatible with the UK's role in worldwide leadership?). Adapted from the source document.
In: Revue française d'administration publique, Band 95, Heft 1, S. 349-356
The EC administration and law abidance, or the virtues of permanent dialogue between members of the executive, legislative and judicial branches of (EC) Government.
Euroscepticism has settled over the past years as a result of the Commission's resignation in Mardi 1999. Critics and opponents develop hostility toward the European Union and the perspective of enlargement is feared by public opinion. The author concentrates on three essential features of the European Community. Legislation follows several contradictory debates between Institutions and Member States. The rule of law
In: Revue française de science politique, Band 59, Heft 5, S. 997-1020
ISSN: 0035-2950